Il n'y a pas que l'eurodéputé britannique Nigel Farage a s'être aperçu de la tyrannie de l'Union Européenne, nous en avons nous aussi déjà parlé, notamment avec les propos de Mme Testori de la DG Santé qui exprimait son aspiration à ce que ça soit la Commission européenne (non élue) qui décide, comme pour les animaux et le bétail, de qui et combien de gens devront être vaccinés à l'occasion des futures pandémies tant attendues...
Seulement voilà, après ce très intéressant (et récent) article britannique du Telegraph du 3 février dernier sur le financement public d'internautes censés contrer l'euroscepticisme sur internet, nous ne pouvions pas manquer la comparaison entre ce qui se passe en politique et ce qui se passe en matière de vaccination (un sujet finalement bien plus politique que scientifique). Car dans les deux cas, nous avons bien affaire à un véritable harcèlement idéologique.
Souvenons-nous en effet de la hargne que l'Union avait contre la pauvre Ministre de la Santé polonaise, Ewa Kopacz, qui a choisi de ne pas acheter les vaccins expérimentaux anti-H1N1 et qui pensait sans doute naïvement que l'UE respecterait ses décisions "en bonne mère de famille". Mais c'était en fait sans compter la volonté dictatoriale de vacciner un maximum de gens et surtout, surtout, d'éviter un maximum la possibilité de comparer.
Accepter de laisser choisir trop de gens en matière de vaccination, c'est créer la possibilité que le public puisse, à un certain moment, se rendre compte que les non vaccinés sont en bien meilleure santé que les vaccinés. Or l'U.E étant véritablement assiégée par des lobbies en tous genres, il faudra décidément ne jamais relâcher cette propagande assommante et débilitante. De même, accepter de laisser se développer l'euroscepticisme, c'est permettre à un moment donné que des peuples puissent décider souverainement qu'il vaut mieux choisir un autre chemin et se rendre compte qu'il y a plus d'avenir et de prospérité possible en dehors de l'Union que dedans.
La possibilité de comparer constitue, en elle-même, un outil puissant d'évolution et d'amélioration mais donc aussi de changement possible par rapport à la politique du statu quo. Or en matière vaccinale, comme en matière européenne, c'est exactement le même discours éculé qu'on nous rabâche en guise de réponse (bien inconsistante) aux critiques émergeant de partout: la solution c'est "plus de vaccins" nous dit-on, plus de rappels, plus de couverture vaccinale et plus de gens à vacciner contre un toujours plus grand nombre de maladies! De même, en matière européenne aussi, le discours est le même: "L'Europe n'est pas le problème, c'est la solution, il faut plus d'Europe!"
Soyez-en BIEN CONSCIENTS, toutes les ficelles seront utilisées pour maintenir une propagande écrasante et sectaire en faveur du statu quo: les officiels tenteront d'assimiler les personnes critiques sur les vaccins à des "dérives sectaires", à l'image finalement de cette affligeante charge moralisatrice d'Albert II à l'encontre des eurosceptiques qui se seraient selon lui écartés du seul bon chemin.
L'U.E se comporte avec vous comme si vous étiez de petits gamins dociles qu'ils suffit de rappeler à l'ordre pour qu'ils arrêtent de réfléchir ou qu'ils ne puissent réfléchir que dans un cadre contraint. Et c'est exactement pareil avec les vaccins, si vous n'obéissez pas, vous serez culpabilisés, traités de mauvais parents ou d'égoïstes, ou encore de gens fragiles qui auraient été influencés par des "sectes anti-vaccins". Pfffff!
Voyons maintenant comment vos députés européens gaspillent VOTRE propre argent afin de lutter sur Internet contre l'euroscepticisme galopant et ce, afin de maintenir LEURS privilèges et LEURS sièges d'eurodéputés....
L’Union européenne va-t-elle financer des patrouilles sur l’Internet ? :
Publié le : mercredi 13 février 2013
À l’approche des élections européennes de 2014, un article du Telegraph britannique du 3 février dernier, et qui n’a été repris par aucun média français, révèle que le Parlement européen envisagerait de financer, à hauteur de 2 à 3 millions d’euros, des agents ou « trolls » afin de contrecarrer tout ce que des eurocritiques pourraient écrire sur l’Internet (sites, Twitter, Facebook, etc.).
Ce journal sérieux aurait eu accès à des documents internes faisant état de propositions de dépenses, d’analyse et de planification, en vue d’une propagande sans précédent : « Une attention particulière doit être accordée aux pays qui ont connu une forte augmentation dans l’euroscepticisme. » L’UE « doit avoir la capacité de surveiller les conversations publiques » et « de comprendre les sujets tendances et avoir la capacité de réagir rapidement, de manière ciblée et pertinente, à participer et à influencer la conversation, par exemple, en fournissant des faits et des chiffres afin de déconstruire les mythes ».
Paul Nuttall, député de l’UKIP, a attaqué ces propositions, qui, selon lui, violent la neutralité de la fonction publique européenne en transformant des fonctionnaires en « trolls » afin de traquer sur l’Internet tout ce qui est considéré comme étant nuisible sur les réseaux sociaux.
Ces documents ajouteraient : « La crise économique et financière actuelle, ainsi que des taux élevés de chômage, en particulier parmi les jeunes, se traduit par une diminution de la confiance dans les institutions européennes (…) il est évident que l’image de l’Union européenne souffre. » « Afin d’inverser la perception que “l’Europe est le problème”, nous avons besoin de communiquer que la réponse aux défis actuels (…) est “plus d’Europe et non moins d’Europe”. »
Au final, ces documents confidentiels révélés par la presse britannique démontrent tout simplement que l’UE fédéraliste, mondialiste et ultralibérale, avoue qu’elle n’a pas assez de partisans, tant dans le virtuel que dans le réel. Il est de toute façon intolérable que celle-ci finance, avec des fonds publics, de faux internautes en vue de contrer la liberté d’expression populaire par un harcèlement idéologique en ligne.
Ludovic de Danne
Source: Egalité & Réconciliation
PS: On pourra aussi voir humoristiquement une similitude de plus entre les barbelés "piquants" de l'image d'illustration et les aiguilles des vaccins qu'on ne cesse de nous vendre matin, midi et soir, dans cette presse complaisante et fort peu objective d'une façon générale...
Voir aussi: Les grands experts sont dans leurs petits souliers
Vidéo délectable d'un vrai démocrate, Nigel Farage: