VACCIN HPV - TEMOIGNAGE
« Si je m’étais donné la peine de faire des recherches, et si j’avais trouvé ce que je sais aujourd’hui, nous aurions maintenant une fille en pleine santé. »
Glenda Smith
« Aucun consentement éclairé ne nous a été proposé avant que le Gardasil finisse par bouleverser toute notre vie »
Par Glenda Smith, 3 mai 2013
Le Gardasil a bouleversé toute ma vie !
A l’automne 2010, j’éprouvais des réticences à donner mon consentement pour qu’Angela puisse être vaccinée contre le HPV. Je me souviens avoir pensé que ma fille n’avait pas besoin de cela, mais je me disais que je n’étais peut-être pas une mère responsable si je ne la faisais pas vacciner. Selon l’information dont je disposais, le seul risque que ma fille pouvait courir c’était si elle souffrait de « grave maladie immunitaire comme le SIDA ». Je savais qu’Angela souffrait un peu de fatigue chronique et de la maladie cœliaque. Mais, on nous avait évoqué les mots « GRAVE » et « SIDA » - ce sont évidemment des mots forts qui ne semblaient pas correspondre au cas d’Angéla.
Ainsi, confiante dans ce que je sais maintenant être un vulgaire bout de papier peu informatif, j’ai signé et Angela a reçu ses vaccins.
En avril 2011, Angie avait 13 ans et était en huitième année quand elle reçut sa dernière dose du vaccin HPV.
Le 15 avril 2011, Angela me téléphona pour me dire qu’elle ne se sentait pas bien, elle se sentait malade, nauséeuse ; elle avait des vertiges et souffrait de douleurs abdominales terribles. Nous avons examiné tout ce qu’elle avait mangé. Les douleurs ne se sont pas apaisées. Chaque fois qu’elle mangeait, les choses empiraient. Elle pleurait et pleurait de douleur.
Angela n’a pas été capable de faire son voyage de fin de 8 ème année. Elle a raté ses 3 derniers mois d’école suite à une faiblesse extrême, à de terribles douleurs abdominales, des nausées et des vertiges. Les visites médicales, les analyses de sang n’ont rien arrangé. On ne s’est même pas préoccupé de sa dernière vaccination. Une endoscopie a révélé que sa maladie cœliaque était cependant sous contrôle. Le pédiatre lui a fait passer test sur test sans que cela révèle quoi que ce soit ; ses symptômes ont persisté. C’est alors que le pédiatre a commencé à douter de la sincérité d’Angela et a demandé qu’elle soit examinée dans un hôpital psychiatrique de la ville. Il n’a cependant pas été question que nous nous y rendions. Angela avait toujours été une jeune-fille stable, déterminée et patiente.
Ce n’est que quand j’ai fait part de ses différents symptômes à un service de santé local que j’ai brusquement réalisé qu’elle avait reçu le vaccin Gardasil.
Ce n’est qu’après avoir expliqué tous les effets indésirables qu’elle avait éprouvés à la suite de la vaccination que les médecins du Centre local de santé nous ont orientés vers le site du fabricant du vaccin (Merck) en nous suggérant de consulter la notice.
J’ai de suite été consternée par la longue liste d’effets secondaires qui étaient présentés de manière tout à fait différente de l’information qui m’avait été transmise.
La notice précisait qu’un système immunitaire affaibli constituait l’un des risques. Tout en bas de la liste des effets secondaires possibles, il était précisé qu’il ne s’agissait pas d’une liste complète ! Si j’avais eu l’occasion de lire ce document à temps, jamais je n’aurais donné mon accord pour qu’Angela reçoive le Gardasil. Au grand jamais !
Je me suis empressée de demander au Centre de santé pourquoi ce que j’avais découvert ne faisait pas partie de l’information que j’avais reçue avec le formulaire d’autorisation de la vaccination. Ils m’ont tout simplement répondu qu’ils n’y étaient pas obligés.
Une petite recherche dans le domaine des lois canadiennes concernant la santé montre pourtant que les médecins sont tenus de mentionner tous les risques. Ils sont tenus de mentionner tous les avantages comme aussi tous les effets secondaires indésirables qu’ils soient mineurs ou graves.
Les médecins sont en outre tenus de donner des informations sur les traitements alternatifs. Je sais maintenant qu’on aurait dû me parler du simple frottis régulier.
Il m’apparaissait maintenant évident que tout ce qui concernait le vaccin HPV relevait de tactiques manipulatoires.
Quand elle eut 14 ans, Angela s’est rendue à Toronto dans un hôpital de renommée mondiale. Elle y a fréquenté le département des enfants malades et rencontré divers spécialistes. De nombreuses prises de sang, procédures diverses, tests de vidange gastrique, MRE, et la liste continue. Une nouvelle endoscopie et coloscopie ont révélé des inflammations ci et là. Résultats : « cause inconnue… nous allons traiter ». Angela a ensuite reçu mise sous toute une série médicaments. On a traité les symptômes, mais sans aucune amélioration…
La 9ème année d’études commence et miraculeusement Angela parvient à tenir le coup pendant 6 semaines en se rendant à l’école 3 fois par semaine. Elle a ensuite craqué ; c’était trop pour elle. Elle ne parvenait pas à sortir du lit plusieurs jours d’affilée.
Encore et toujours des analyses de sang qui ne montrent rien…A plusieurs reprises, nous avons insisté pour qu’elle puisse suivre un enseignement à domicile.
Angela a fini par être épuisée émotionnellement et physiquement : un médecin disait une chose, pour un autre il s’agissait d’autre chose… et Angela s’épuisait en essayant de suivre leurs conseils. Aujourd’hui, deux ans plus tard, Angela n’a fondamentalement plus confiance dans les médecins.
Janvier 2012, Angela essaye de calmer ses douleurs abdominales en se roulant par terre en pleurs. Cette situation a duré des mois. Elle a finalement été admise pour 2 semaines à l’hôpital des enfants malades. Elle y était nourrie au moyen d’un tube qui rentrait par le nez et descendait dans l’estomac. C’est par cette voie qu’on lui administrait du Tolerex. Pendant ce temps, il lui était interdit de boire et de manger. Dès le début de ce traitement, elle s’est sentie encore plus mal et avait sans cesse des ballonnements. Mais en dépit de ses pleurs incessants, les soignants l’ont obligée à continuer. Ce furent deux semaines parmi les plus bouleversantes qu’elle n’est pas prête à oublier. Après avoir dû continuer ce régime pendant une semaine à la maison, nous avons décidé que, maintenant cela suffisait. Il s’avère maintenant qu’elle est très sensible aux hydrates de carbone et le premier ingrédient qu’on lui administrait à l’hôpital par le tube était de l’amidon de pommes de terre ! Encore une fois des souffrances parfaitement inutiles.
Aujourd’hui, Angela a presque 16 ans. Suite à toutes nos démarches et insistances, les médecins envisagent maintenant que le Gardasil ait pu être une cause possible de ses mystérieux problèmes auto-immuns.
Aujourd’hui, quand elle a de la chance, Angela fréquente l’université 2h1/2 par jour 3 ou 4 fois par semaine. Nous nous demandons quand elle parviendra à rattraper son retard et à suivre les cours normalement.
Angela est maintenant aidée par un spécialiste des problèmes gastro-intestinaux, par une équipe spécialisée dans les problèmes de la douleur et par un psychologue. Angela consulte également un docteur en naturopathie, un nutritionniste et le médecin qui dirige la clinique de naturopathie. Elle a essayé des traitements à base de vitamines, minéraux, des traitements par intraveineuse. Elle a dû prendre jusqu’à 20 compléments alimentaires par jour. Tout cela n’a fait que changer peu de chose dans sa vie. Elle continue à manger très peu pour éviter les douleurs et les ballonnements. Angela a aussi essayé l’acupuncture. Elle s’épuise à essayer trente-six mille choses sans que son état de santé puisse s’améliorer.
Avant le Gardasil, sa maladie cœliaque était complètement sous contrôle et malgré ses problèmes de fatigue chronique, elle faisait partie d’une équipe de basket ; elle jouait au volley, s’exerçait au trampoline, faisait de la gymnastique, de l’équitation, sortait avec des amis et était considérée comme une des plus brillantes élèves de sa classe. Sa plus grande joie et son ambition était de pouvoir, un jour, faire partie de l’équipe officielle de basket de la Haute Ecole. Une ambition à laquelle elle a bien entendu dû renoncer.
Aujourd’hui, elle peut tout juste faire des activités très légères qui ne durent pas plus de deux à trois heures par jour. Les sports auxquels elle s’adonnait ne lui sont désormais plus possibles. Si un jour elle est tentée d’exagérer, elle doit payer la note en passant 2 à 3 jours au lit. Etant donné sa faiblesse, elle ne voit plus ses amis que très rarement… Comment son état pourrait-il lui permettre de faire des projets d’avenir ? Il ne semble en outre exister aucun remède à son état. Elle pleure souvent en pensant à toutes ses activités qu’elle ne peut plus faire. Jour après jour, elle doit vivre avec l’un ou l’autre des symptômes suivants :
- Douleurs abdominales qui s’aggravent chaque fois qu’elle mange.
- Ballonnements qui s’aggravent aussi après avoir mangé.
- Extrême limitation dans le choix des aliments.
- Inflammation chronique des voies digestives.
- Faiblesse musculaire et générale ; difficultés à se tenir debout.
- Grande fatigue.
- Sommeil non réparateur.
- Vertiges
- Maux de tête
- Douleurs d’oreille
- Eruptions cutanées inexpliquées.
- Difficultés pour se déplacer, pour respirer.
- Démangeaisons inexpliquées.
- Aucune énergie en dehors d’une simple activité de 2 à 3 heures par jour.
- Variations de température incontrôlables.
- Agitation.
- Perte d’attention et de concentration.
Nous les parents, nous avons peur. Nous n’avons aucune idée de la manière dont ce cauchemar pourra se terminer. Quand pourra-t-elle retrouver une vie « normale » ?
J’ai dû quitter mon emploi quelques mois après qu’Angela soit tombée malade après son vaccin pour pouvoir m’occuper d’elle à plein temps. Ce sont un naturopathe et un nutritionniste qui nous aident le plus ; ce sont ces deux personnes qu’Angela apprécie le plus.
Les frais se sont accumulés avec la perte de mon travail et le coût des traitements d’Angela.
Le cas d’Angela n’est pas unique. Un groupe de 70 filles du monde entier font l’impossible pour la soutenir. – Je suis personnellement en contact avec plus de 1000 parents (leur nombre augmente chaque jour) dont les enfants souffrent des mêmes (voire pires) effets indésirables.
Même si Angela souffre beaucoup, nous devons néanmoins être reconnaissants car il y a des jeunes-filles qui font encore des convulsions après 5 ans, qui souffrent de paralysies, de troubles neurologiques. Il y a aussi des jeunes-filles qui ont payé le prix ultime : elles y ont laissé leur vie.
Il y a encore beaucoup de gens qui ne sont pas au courant que les symptômes dont leurs enfants souffrent sont dus au vaccin. Les preuves que le Gardasil est susceptible de provoquer ces symptômes sont pourtant accablantes.
Si je m’étais donné la peine de faire une recherche et si j’avais trouvé ce que je sais maintenant, nous aurions maintenant une jeune-fille normale et heureuse de vivre comme c’était absolument son droit le plus strict.
Nous avons voulu partager notre histoire dans l’espoir d’empêcher que pareil drame se reproduise dans une autre famille. Nous souhaitons aussi que notre témoignage puisse offrir quelque soutien aux familles qui sont également passées par ces souffrances. Nous pensons que c’est comme cela que nous pourrons aider Angela à supporter sa souffrance, à l’aider à réaliser que cette souffrance ne soit pas totalement vaine, à aussi garder la foi, à lui donner un peu de force et de courage.
Notre ultime message est simple : « Renseignez-vous bien avant de vous faire vacciner ! » (« Investigate before you inoculate ! »)
Source: SaneVax
« Le Gardasil n’a pas été évalué pour la cancérogénicité ou l’altération de la fertilité. Bravo ! Ils veulent vacciner toutes les jeunes-filles américaines de 12 ans avec un vaccin contre le cancer et ils ne savent même pas avec certitude si oui ou non le vaccin lui-même serait susceptible de provoquer le cancer, ou de rendre stériles les filles qui se font vacciner! » Dr Tim O'Shea – HPV – the First Cancer Vaccine Dr Tim O’Shea. http://www.whale.to/vaccines/gardasil_q.html