Cette info est finalement plus importante que le fait de commenter la perspective d'un Xième nouveau vaccin (contre le rhume des foins) qui n'est jamais qu'une vraie fausse solution de plus.
La Commission Européenne pousse terriblement, on le sait, à la vaccination: H1N1 mais aussi bien d'autres vaccins. A chaque fois, il faut financer toutes sortes d'initiatives pour augmenter les taux de vaccinations, y compris même, chez les migrants! Tout cela bien sûr au nom du prétendu Bien public.
Problème: la Commission Européenne n'en a en réalité rien à caler de la santé publique et l'a ENCORE prouvé une Xième fois récemment.
En effet, après avoir multiplié par 3 les taux de cesium radioactif dans les aliments pour ne surtout pas entraver les échanges commerciaux depuis Fukushima, la Commission réautorise à présent pour les poissons d'élevage les farines animales... celles-là même qui sont à l'origine de la crise de la vache folle!
C'est très important de faire les liens entre les scandales sanitaires car hélas, ils se tiennent tous et toujours, au nom du profit, on met la santé et la vie des gens en danger. C'est à chaque fois la même chose et avec la vaccination, on n'échappe évidemment pas à la règle!
Voici copie, ci-dessous, de l'excellent communiqué du député français Nicolas Dupont-Aignan sur son site (Debout la République) au sujet du retour des farines animales et du rôle de la Commission Européenne:
La Commission fait une queue de poisson à la santé des européens
En autorisant aujourd'hui le recours aux farines animales pour les poissons d'élevage, la Commission de Bruxelles adresse un bras d'honneur à tous les consommateurs européens.
Seulement une semaine après le début du scandale de la viande de cheval, cette décision démontre que la Commission n'a plus peur de rien ni de personne. Il faut rappeler que ce mode d'alimentation était interdit depuis la crise de la vache folle. A raison, les experts avaient estimé que nourrir des poissons avec des farines de porc et de volaille revêtait un risque sanitaire. Afin d'éviter un drame comme celui de la vache folle, les États et notamment la France avaient poussé à leur interdiction. La Commission à la solde des lobbys avait tout fait pour éviter cette interdiction. Aujourd'hui elle a décidé d'autoriser à nouveau leur utilisation.
C'est un risque sanitaire immense que Bruxelles fait courir aux consommateurs. Il ne s'agit pas ici d'avoir dans nos assiettes du cheval à la place du bœuf. C'est beaucoup plus grave. En cédant à la pression de certains lobbys, les Commissaires de Bruxelles jouent avec la santé des Européens.
Hier Bruxelles donnait une fin de non-recevoir aux exigences de pays comme la France qui réclament un étiquetage des plats préparés en fonction de l'origine des produits. Cette nouvelle annonce démontre qu'il n'y a plus rien à attendre d'une Union européenne sclérosée et obscurantiste. Je demande à François Hollande de prendre ses responsabilités. On ne parle plus simplement d'emplois délocalisés. On parle ici de santé publique menacée par le diktat de Bruxelles. Soit il obtient de la Commission qu'elle recule, soit il en tire les conséquences et interdit sur le territoire français l'utilisation de ces farines.
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l'Essonne
Président de Debout la République
Voir aussi: L'UE veut faire taire les eurosceptiques, exactement comme elle veut imposer les vaccins!