"Show us the Science and Give us the choice", "Démontrez-nous en quoi cela est scientifique puis laissez-nous le libre choix" a déjà maintes fois répété Barbara Loe Fisher, maman d'un enfant victime de vaccins et présidente du National Vaccine Information Center depuis déjà 30 années.
Au lieu de cela, c'est à tout l'inverse qu'on assiste: EVITEMENT du débat, que ce soit en Belgique, avec le président du Conseil Supérieur de la Santé qui prétend qu'un débat n'est pas possible, où en Australie où les officiels refusent par exemple d'envoyer des orateurs à un débat citoyen sur la vaccination. Le débat dérange parce que surgiront inévitablement des questions très gênantes auxquelles aucun des "grands experts" que nous avons interrogés à ce sujet, ni même la direction médicale de l'ONE n'ont été capables de répondre.
Alors, c'est sûr, c'est tellement plus facile dans ce cas de prétendre que ceux qui posent ces questions dérangeantes sont dans la théorie du complot ou les étiqueter péjorativement d'"anti-vaccins", dans le but aussi, de les diaboliser, comme a notamment essayé de le faire la RTBF dans son numéro de Question à la Une sur les vaccins en octobre dernier. (Remarquez par exemple la musique glauque avant de nous filmer, l'amalgame grossier, par le biais des Anonymous utilisés comme épouvantails pour nous assimiler à des gens agressifs, virulents ou fanatiques, les paroles bien sélectionnées pour certaines alors que nous disions bien d'autres choses, sur l'Afrique notamment...)
Il est bon de le répéter ici, personne ne souhaite être malade, il est donc absurde d'essayer de culpabiliser vainement ceux qui cherchent des réponses à leurs questions et partagent le fruit de leur réflexion avec autrui. Seulement, certains, par PEUR ou par croyance continuent de penser que SEULS les vaccins leur assureront la protection collective à laquelle ils aspirent.
Ces gens doivent bien sûr pouvoir continuer à se faire vacciner s'ils le souhaitent et ce n'est jamais nous qui tenterons de les priver de vaccins, le choix final n'appartenant qu'aux gens ET NON AUX EXPERTS censés penser et décider pour nous mêmes et nos enfants. La raison de pur bon sens est que si ces experts se trompent, comme l'histoire a montré que c'était souvent le cas, ce ne sera pas à eux d'assumer "leurs bons conseils" mais bien les enfants, les parents et les familles, dans un contexte où il n'existe qui plus est aucun système d'indemnité des victimes.
Ceux qui tentent donc de culpabiliser autrui au prétexte que le refus de vaccination constituerait une sorte de " trouble" à la solidarité collective, doivent donc s'interroger d'abord et avant tout sur leur propre notion de la SOLIDARITE et de la moralité de décider que tel nombre est censé être sacrifié (car il faut appeler un chat un chat), "au nom de la Science".
Ceux qui sont prêts à accepter pour eux-mêmes et pour leurs enfants des vaccins expérimentaux ne sont pas pour autant autorisés à imposer leurs choix aux autres, à moins de leur signer bien sûr une décharge selon laquelle ils assumeront personnellement et financièrement toutes les suites fâcheuses qui en découleront à court, moyen ou long terme. Pour accepter des vaccins expérimentaux aussi mal évalués que ce qu'ils sont aujourd'hui, on pourrait légitimement s'attendre à ce que ces gens soient alors au moins suffisamment convaincus de la protection INDIVIDUELLE qu'est capable de leur conférer leurs vaccinations, mais non, ces gens-là ne s'en satisfont même pas, puisqu'ils craignent les non vaccinés, en dépit de celles-ci. On les a en effet abreuvés à la théorie de "l'immunité de groupe" et ceux-là peuvent donc peut-être même aller jusqu'à espérer que le berger (gouvernement) adopte des obligations généralisées.
L'obligation vaccinale créera mécaniquement (et inévitablement) plus de victimes encore ce qui fera tout aussi inévitablement en sorte qu'un nombre plus grand de gens puissent statistiquement se pencher sur la question vaccinale et faire le lien entre leurs vaccins et les maux désespérants dont ils souffrent. Ces gens en parleront autour d'eux et aspireront au débat et à l'amélioration de la situation, et on en sera donc toujours au même point...
N'y a-t-il pas la possibilité du CHOIX de tous dans le RESPECT de chacun?
Initiative Citoyenne est convaincue que oui, et que la loi du 22 août 2002 n'a pas été publiée pour rien, consacrant ainsi le droit à chacun à un consentement libre et éclairé, en toute connaissance de cause. Si ce n'était pas pour respecter cette loi, pourquoi alors les représentants du peuple l'ont-ils votée? Est-ce un crime de dénoncer des contradictions aussi effarantes? Et de déplorer aussi la véritable guerre faite à tous ceux qui sont désireux de se soigner autrement, avec des résultats très satisfaisants à la clé, au point qu'ils coûtent ironiquement beaucoup moins à la collectivité que les autres, malades chroniques créés de toutes pièces pour beaucoup, grâce à notre environnement multi-toxique dont les vaccins font assurément partie?
Il est certain que les PEURS d'un certain nombre (y compris au sein du monde commercial dont le but, par définition, est de vendre à tout prix) sont à la base de tentatives de diabolisation contre des collectifs comme le nôtre, cela n'a rien d'étonnant: DIVISER POUR MIEUX REGNER, créer de faux ennemis, pour mieux noyer le poisso, voire protéger ses intérêts financiers, si on prend par exemple le cas de médecins dont les vaccinations sont une source conséquente de revenus et de consultations. En somme, monter les gens les uns contre les autres. C'est d'ailleurs exactement ce qui se passe en Australie où Meryl Dorey, présidente de l'Australian Vaccination Network, est victime d'attaques d'une violence extrême, parce qu'on la rend responsable d'une forte hausse des refus parentaux de vaccins. La vraie cause de cela, c'est la déception légitime des parents d'avoir été trompés sur les données de base essentielles à LEUR décision, et ce n'est nullement Meryl Dorey. Mais certains pensent naïvement dans ce pays que ces vérités n'auraient jamais fini par sortir sans Meryl Dorey. Faire taire certains ne fera jamais que retarder tout au plus l'éclatement de la vérité.