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26 août 2010 4 26 /08 /août /2010 17:45

By Stephanie Lam & Chowa Choo
Epoch Times Staff

Jeudi 26 août 2010

 

Le vaccin H1N1 a été suspendu en raison du lien suspecté avec l'augmentation des cas de narcolepsie chez les enfants et les adolescents. 

 

L’Institut National de Santé finlandais (THL) a proposé de suspendre les vaccinations contre le H1N1 en raison du lien suspecté avec l’augmentation des cas de narcolepsie chez les enfants et les adolescents.

 

Six cas de narcolepsie, une maladie chronique causant un sommeil diurne excessif et une extrême fatigue, ont été rapportés chez des patients après qu’ils aient été vaccinés avec le Pandemrix.

 

« Six cas de narcolepsie, c’est cohérent avec les taux annuels attendus (de cette maladie) » a estimé le THL mais tous ces patients ont été atteints de cette maladie après avoir été vaccinés et il y a neuf cas supplémentaires qui n’ont pas encore été confirmés.



Cette mesure de précaution prendra effet jusqu’à ce que la cause actuelle de cette condition de santé soit établie. Les résultats préliminaires de cette investigation ne seront pas connus avant plusieurs mois a dit le THL.

 « Il y a de nombreuses raisons qui peuvent être à l’origine de cette hausse observée des cas de narcolepsie: l’infection par le A/H1N1, la vaccination, un effet conjugué d’une infection et de la vaccination ou un tout autre facteur. Les infections en général sont une cause connue de narcolepsie.» a précisé le THL dans un communiqué de presse.

En Suède, l’agence des produits de santé a entamé une enquête similaire le 19 août dernier pour la même raison. La Suède a acheté 18 millions de doses de vaccin, assez pour que chacun dans le pays puisse recevoir 2 injections. En Europe, environ 30 millions de gens ont été vaccinés et au moins 90 millions à l’échelle du monde.

L’hiver dernier, 29 millions d’enfants aux Etats-Unis ont reçu  le vaccin antigrippal saisonnier incluant la souche H1N1 mais selon Tom Skinner, chargé de communication au Centre de Prévention et de Contrôle des Maladies (CDC), la narcolepsie associée à la vaccination n’a pas encore été rapportée.

 

Selon Marjo Renko, présidente du groupe d’experts finlandais sur les vaccins, une substance avait été identifiée comme étant une cause possible de narcolepsie mais elle a, par la suite, nié cela. (*)

 

« Il n’y a pas de preuve que la hausse des cas de narcolepsie puisse être liée aux vaccins. Nous ne suspectons rien (de tel). Ceci est de la spéculation pure. » a-t-elle dit selon Helsingin Sanomat.

Source : The Epoch Times

 

 

(*) Rappelons, à cet égard, que le contrat conclu entre la firme GSK et l'état belge (contrat similaire dans tous les états européens) précise à l'article 13.1 (b):

 

"Le Ministre de la Santé publique ne procèdera à aucun test ou ne fera procéder à AUCUN test des Composés Adjuvant sauf dans la mesure des contrôles à effectuer en vertu de la présente Convention ou de la règlementation ou, d'une façon générale, avec l'accord de GSK ou en vue de respecter une obligation légale ou une décision de Justice ou d'une Autorité Réglementaire ou de toute autre Autorité administrative."

 

Il est du reste également stipulé que le Ministre de la Santé publique devra indemniser la firme GSK pour toutes les conséquences qui découleront du manquement à cette obligation de ne PAS procéder à des tests ou celles qui pourraient résulter du manquement à cette obligation commis par tout tiers.

 

A la lueur de ce qui vient d’être rappelé ci-dessus, cet étrange revirement d’une experte, à ce niveau, trouve sans doute sa signification la plus probable…

Car, comme cela serait tout à fait possible, si la substance dont cette experte parlait entre dans la composition de l’adjuvant squalène (AS03) du vaccin Pandemrix, ses aveux pourraient constituer, aux yeux de GSK, un indice que l’état – et ses experts- pourrait avoir violé les dispositions du contrat qu’il a pourtant signé et donc un éventuel moyen pour GSK de réclamer des dommages et intérêts ! Cette éventualité est d’autant plus crédible que d’autres vaccins qui contenaient bel et bien du squalène (même en doses infimes !) comme ceux contre l’anthrax utilisés dans l’armée américaine ont également provoqué des pathologies connexes comme des syndrômes de fatigue chronique et des fibromyalgies, deux maladies qui impliquent des dysfonctionnements neurologiques modérés à sévères et une fatigue extrême, toujours associée.

 

Il n’eût donc pas été impossible du tout que des victimes atteintes de narcolepsie aient décidé de déposer plainte contre la firme suite aux déclarations de la dite experte. Cela aurait pu signifier de plus amples analyses de cet adjuvant très confidentiel et surtout des indemnités de la part de l’état puisque en vertu du contrat, le fabricant a été exempté de dédommager les victimes en cas d’effets secondaires et que tout, à part les défauts de fabrication (impossibles à prouver) repose sur l’état !

 

Autant d’éventualités plus gênantes que le revirement d’une experte officielle, après un possible coup de téléphone insistant…

 

 

Autre élément à souligner également c’est le cynisme des autorités finlandaises qui se comprend, sans détours, à la lecture d’une dépêche AFP du 24 août dernier :

 

« Actuellement, nous ne faisons pas face à une épidémie (de grippe), il n'y a donc pas un besoin immédiat de vaccination. En outre, la majorité de la population est protégée contre le virus de la grippe porcine soit par vaccination soit pour avoir déjà contracté la grippe porcine", souligne le THL. »

 

Autrement dit, en cas d’épidémie ou de pandémie (décrétée par une OMS aussi malhonnête qu’incompétente), on pourrait toujours courir avant qu’ils ne suspendent une vaccination crue et présentée comme indispensable par principe !

 

Le public doit donc être bien conscient qu’ici, vu l’abaissement du seuil « pandémique », les autorités peuvent se permettre de donner l’illusion d’investiguer objectivement les effets secondaires mais qu’on se le dise, ce n’est qu’une illusion et le discours, bien rôdé est toujours le même : « Le lien n’est pas prouvé, la suspension n’est qu’une mesure de précaution et les résultats ne seront pas connus avant plusieurs mois. » Et dans tous les cas, soit le public ne sera jamais tenu au courant de la suite, soit il se verra dire qu’ « aucun lien n’a été établi avec le vaccin. »

 

C’est, hélas, couru d’avance parce que la pharmacovigilance ne fonctionne pas, que dans le meilleur des cas seuls 5% des effets secondaires sont réellement rapportés et que les « experts » chargés d’évaluer la relation de cause à effet ne sont pas indépendants des industries pharmaceutiques.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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