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21 août 2013 3 21 /08 /août /2013 22:33

Ce 12 août 2013, dès 12H40, l'émission RTL + était consacrée au développement des (nouveaux) vaccins avec, comme deux SEULS invités, le Pr Yves Van Laethem, infectiologue au CHU Saint-Pierre de Bruxelles, et Oberdan Léo, le Directeur de l'Institut d'Immunologie Médicale (IMI) de Charleroi.

 

RTL----1-.JPG

 

Tous les deux ont des conflits d'intérêts avec les fabricants de vaccins, bien que cela n'ait hélas pas été communiqué par RTL aux téléspectateurs!!

 

Yves Van Laethem est lié à divers fabricants de vaccins, comme il l'avait lui-même déclaré avant une présentation sur les leçons de la grippe H1N1 en mai 2010 à l'INAMI. Le journal Le Soir aussi a parlé de ses liens d'intérêts.

 

Van-Laethem.JPG

 

Quant à l'Institut d'Immunologie Médicale (IMI) de Charleroi (dont Oberdan Léo est directeur), son financement et donc sa viabilité découlent d'un partenariat entre la Région Wallone, l'Université Libre de Bruxelles (ULB) ET GSK, fabricant mondial de vaccins. Un des projets qui y est actuellement développé et qui est notamment financé grâce à l'argent du Télévie, consiste à utiliser des agents pharmacologiques pour accélérer le processus naturel de développement du système immunitaire des enfants (NB: le système immunitaire des enfants n'est pas pleinement mature avant l'âge de 6-7 ans) dans le sombre but de pouvoir vacciner plus tôt, dès la naissance sans doute ou peut-être un jour déjà in utero?

 

Oberdan-Leo.JPG

 

Le fait que RTL n'ait pas mentionné d'entrée de jeu ces éléments, pourtant fondamentaux, constitue déjà une forme évidente de manipulation médiatique à l'encontre des spectateurs.

 

Mais passons ensuite aux points suivants. A savoir les vraies questions que pose le développement des nouveaux vaccins et que RTL a bien sûr soigneusement évité d'aborder, tant elles sont commercialement dérangeantes.

 

Avant toute chose, la question des exigences règlementaires auxquelles les vaccins sont soumis avant leur mise sur le marché. L'émission a ainsi soigneusement omis de rappeler que les vaccins actuels comme les vaccins en cours de développement sont dispensés d'études contre vrais groupes placebo pour le volet "tolérance" des essais cliniques de vaccins; que les effets secondaires ne sont évalués que sur quelques jours ou tout au plus quelques semaines; que les vaccins sont dispensés d'analyses pharmacocinétiques qui consistent pourtant à évaluer le devenir précis des divers composants des vaccins une fois injectés; et qu'enfin, ils ne sont jamais soumis à des tests destinés à évaluer leur potentiel cancérogène , mutagène ou tératogène, c'est à dire leur faculté de provoquer des cancers, des mutations de notre ADN ou des malformations et maladies chez la descendance de gens vaccinés.....

 

Tous les vaccins sont donc expérimentaux, et pas seulement les nouveaux vaccins en cours de développement. Ceci est déjà un premier point capital à savoir dont l'immense majorité du public, abreuvé par une presse manipulatrice, n'a tout simplement pas assez conscience.

 

Les invités ont eu tout le loisir de distiller un discours convenu qui prend garde de ne surtout jamais entrer dans les détails concrets des effets secondaires des vaccins, qu'il s'agisse de leur variété, leur fréquence et de leur gravité possibles. Ainsi, dans le contexte actuel et dans une tentative de paraître aussi crédible que possible, le Pr Van Laethem s'est cru obligé de reconnaître que "tout n'est pas bon dans le vaccin" mais tout en se contentant toujours de rester très général en affirmant de façon gratuite que si on recommande un vaccin, c'est que ses avantages sont soi-disant toujours largement supérieurs aux risques. Une affirmation sans valeur compte tenu des carences règlementaires évoquées ci-dessus.

 

Les deux moments "majeurs" de cette émission assez insipide furent les questions faussement impertinentes et toutes gentillettes de quelques téléspectateurs triés sur le volet qui ont ainsi "osé" interroger les deux grands experts sur le plateau sur le lien entre autisme et vaccins d'une part et également sur l'âge très précoce auquel on commence à vacciner.

 

Sur la question de l'autisme, bien sûr, c'est du Pr Van Laethem qu'il y a lieu de rire étant donné qu'il ne semble avoir entendu parler QUE du seul Dr Wakefield et pas du tout de tous les autres scientifiques qui ont eux aussi montré l'évidence d'un lien plus que probable entre les vaccins et l'autisme. [Infos plus détaillées à ce sujet dans la réponse au journal La Croix ici !]

 

Ainsi,  l'"expert" Yves Van Laethem prétend que la question du lien entre vaccins et autisme aurait été entièrement montée à la manière d'une pièce de théâtre (sic!) mais voici à présent la réponse d'une experte d'une autre envergure puisqu'elle a dirigé le très célèbre National Institute of Health (Institut National de Santé, appelé NIH), aux USA. Voici ce que le Dr Bernadine Healy déclarait sur CBS en 2008 au sujet de ce lien entre vaccins et autisme:

 

"Quand j'ai entendu parler la première fois de la question d'un lien entre vaccins et autisme, j'ai d'abord trouvé que cela n'avait aucun sens. Mais si on regarde la Science de base, les études qui ont été menées chez les animaux, ainsi que plusieurs cas individuels d'autisme et si on regarde aussi les preuves selon lesquelles il n'y aurait pas de lien, ce qui me vient alors à l'esprit c'est que la question n'a tout simplement pas encore été résolue."

 

Mais le Dr Healy explique évidemment bien plus en détail le peu de fondement scientifique d'affirmations hâtives comme celles du Dr Van Laethem. Vous trouverez plus de précisions sur la teneur de ses propos ICI.

 

Et lorsqu'un téléspectateur demande si on ne vaccine pas trop tôt, le Dr Van Laethem s'empresse de dire que le bon âge est celui auquel on commence à risquer telle ou telle maladie et que la vaccination fonctionne si on présente bien le microbe. Oberdan Léo se met alors ensuite à semer la confusion en mélangeant volontairement tout: il affirme alors que c'est l'absence de stimulations par des microbes qui favorise les problèmes immunitaires chez les enfants, comme si la vaccination était une stimulation normale et bienfaisante équivalente aux microbes naturels! En réalité, c'est "l'hygiénisme" poussé à l'extrême et qui est en fait symbolisé par le triomphe de la vaccination et des antibiotiques à la moindre occasion, qui a favorisé les allergies et autres maladies immunitaires en aseptisant peu à peu nos univers. Les microbes naturels ont en revanche aussi un rôle favorable dans la maturation normale du système immunitaire des jeunes enfants, ce qui explique que les enfants non vaccinés sont nettement moins souvent malades, consomment près de 3 fois moins d'antibiotiques, souffrent nettement moins d'allergies, d'asthme, d'eczéma, etc.

 

Initiative Citoyenne avait soumis plusieurs questions pertinentes en temps et en heure sur le site de RTL + mais celles-ci furent publiées avec une étrange sélectivité. Expliquons-nous:

 

- Initialement (la première réaction), nous avions soumis textuellement le message suivant:

 

Nous voudrions soumettre aux invités les propos convergents et récents de deux médecins qu'on ne peut pourtant pas suspecter d'être anti-vaccins et qui ont justement trait au développement des nouveaux vaccins:

 

- Tout d'abord ceux du Dr Anne-Marie Moulin, du CNRS, qui déclarait dans le documentaire "Vaccins, le virus du doute" qu' : «Il ne faut pas cacher au public que ces nouveaux vaccins sont des vaccins expérimentaux et que, quelque part, on ne peut pas se passer d’un saut dans la population pour appliquer à un grand nombre d’individus un vaccin, qui par définition, n’est pas nécessairement adapté à la constitution de chacun. »

 

- Les seconds sont ceux du Dr Jean-François Saluzzo, qui est Directeur de la Production des Vaccins Viraux chez Sanofi et également consultant pour l'OMS. Dans un cours de vaccinologie en ligne, il déclare « Une des raisons essentielles de l’histoire des vaccins, c’est qu’on ne comprend pas comment marchent les vaccins. […] Je pense que si on veut faire des progrès dans l’avenir dans le domaine de la vaccinologie et des vaccins nouveaux, c’est d’étudier d’abord la réponse immunitaire

 

Au vu de ces aveux inquiétants dont ne sont jamais informés les vaccinés, nous voudrions demander aux invités s'ils estiment que le développement de nouveaux vaccins devra aussi s'accompagner d'une information autrement plus éthique, correcte et rigoureuse des citoyens, dans le respect de la loi des patients du 22 août 2002?

 

 

"Comme par hasard", cette première soumission n'est jamais parue, bien que d'autres commentaires soumis postérieurement par d'autres internautes apparaissaient pourtant sur le site de RTL...

 

Nous repostons alors une deuxième réaction, plus brève, avec les seuls propos du Dr Anne-Marie Moulin. Là encore, ces propos ne passaient pas, bien que d'autres commentaires d'autres gens venaient à leur suite et qu'eux, étaient autorisés!

 

A la troisième tentative, nous demandons ouvertement dans notre commentaire à RTL pourquoi nous avons été censurés lors des deux premiers messages. Ce message-là ne passe pas non plus mais peu après, RTL autorisera finalement ce deuxième message avec les propos d'Anne-Marie Moulin. Nos 4 autres questions bien embêtantes auraient pu être posées lors de l'émission mais elles ne furent publiées qu'après sur le site de la chaîne et encore, seules 3 de ces 4 questions.

 

Ces 4 autres questions concernaient toutes des aspects scientifiquement et éthiquement fondamentaux du développement des nouveaux vaccins:

 

- Les projets d'apprentis-sorciers sans aucun contrôle démocratique

- Le détournement financier d'argent nettement plus urgent à dépenser ailleurs (eau, aliments)

- Les incohérences avec les anticorps en matière de SIDA et le rôle relatif des anticorps

- Le risque de malignité (cancer) posé notamment par les vaccins produits par génie génétique, càd les "nouveaux vaccins" (HPV, HB), soi-disant "plus purs", et reconnus par l'OMS elle-même dans son rapport n°747 dès 1987!

 

Voici quelle était la teneur de notre question sur les projets d'apprentis-sorciers comme on en trouve à l'IMI, dirigé par Oberdan Léo:

 

Selon l'ancien Directeur de l'Institut d'Immunologie Médicale qui s'exprimait dans la revue de l'ULB Esprit Libre de février 2005, un des projets de nouveaux vaccins développés sur ce site de Charleroi consiste, nous citons, à " accélérer la maturation du système immunitaire chez le jeune enfant. La caractérisation d'agents pharmacologiques susceptibles d'accélérer la maturation du système immunitaire représente une des priorités de l'IMI dans le cadre de ses projets de collaboration en Europe et en Afrique." Si l'évolution a retenu un temps de maturation du système immunitaire d'une durée de 6 à 7 ans dans l'espèce humaine, ne peut-on pas présupposer que c'est pour de bonnes raisons qu'il serait hasardeux d'évacuer??
Source (Esprit Libre, ULB): http://www.ulb.ac.be/espritlibre/html/el022005/26.html

 

Voici quelle était notre question sur le gaspillage d'argent dans les nouveaux vaccins, au détriment de dépenses autrement plus vitales et urgentes pour les pays pauvres:

 

On n'arrête pas d'introduire de nouveaux vaccins dans le calendrier vaccinal des pays d'Afrique, sous prétexte d'égalité avec les enfants occidentaux. Diverses associations internationales viennent ainsi d'acheter pour 1 MILLIARD de dollars des centaines de millions de doses de vaccins contre le pneumocoque car l'OMS estime que cela tue 800 000 enfants chaque année dans le monde. Mais dans le même temps, 1,1 milliard de gens sur terre n'ont toujours pas accès à l'eau potable et selon la FAO, 925 millions de gens souffrent chroniquement de la faim dans le monde soit un enfant qui meurt de faim toutes les 6 secondes. Comment expliquer que le premier poste budgétaire de l'OMS reste la vaccination et que l'eau et la nourriture n'arrivent qu'en 5° position?? N'y a-t-il pas un problème de priorité??

 

Précisons au sujet de ces vaccins destinés aux pays pauvres, qu'il fut bien sûr aussi question dans cette émission du fameux vaccin anti-malaria. Les "experts" en plateau ont pu vanter l'aide "bien nécessaire" de fondations comme celle de Bill & Melinda Gates pour financer ce genre de vaccins. Un vaccin qui n'est en réalité "efficace" que dans 30% des cas chez les nourrissons. Mais voyons à présent le contraste saisissant entre les efforts pour développer un vaccin peu efficace aux multiples effets secondaires (le RTS-S) et l'énorme efficacité du MMS, un produit à base de chlore, visiblement très simple et sûr d'utilisation, tel qu'il a notamment été essayé par des gens de la Croix Rouge (mais la pression étant telle en faveur du "dieu vaccin" que ces gens de la Croix Rouge semblent à présent nier leur implication dans cette évaluation du MMS sur le terrain, en dépit de photos locales pourtant difficilement contestables...). On peut également visualiser dans la vidéo suivante l'implication de la Croix Rouge dans l'expérimentation particulièrement réussie des effets curatifs du MMS sur les états déclarés de malaria:

 

 

Ci-dessous, voici cette fois quelle était la question en matière de SIDA (posée de façon indirecte) et sur le rôle relatif des anticorps (mais exagéré dans le système de croyances des vaccinalistes):

 

Toute la vaccinologie est basée sur la volonté de faire produire à l'organisme des anticorps qui sont censés être la preuve que l'organisme est bien protégé. Pourtant, dans le cas du SIDA, c'est la présence d'anticorps qui signe l'infection et non la protection contre celle-ci, ce qui semble incohérent. Par ailleurs, tout miser sur les anticorps nous semble simpliste car comme le montre la récente recherche de Moseman parue début 2012 dans le Journal Immunity, la présence d'anticorps n'est pas strictement nécessaire pour se défendre contre divers types de virus.

 

La question la plus gênante n'est évidemment pas passée, et ne fut donc même pas publiée sur le site, bien que la base documentaire de celle-ci n'était autre que le rapport n°747 de 1987 de l'OMS sur l'acceptabilité des substrats cellulaires qui avait été dûment communiqué dans le message soumis, sous forme de lien direct vers ce rapport.

 

Dans ce rapport était évoqué le risque de MALIGNITE (c'est à dire de cancer) posé par la présence d'un ADN étranger (on parle d' "ADN hétérogène") issu du processus de fabrication des vaccins dont la pureté ne peut jamais être parfaite. Ce risque étant évidemment d'autant plus élevé que ce genre de vaccins sont administrés de façon précoce et répétée au cours de la vie.

 

Voici les propos exacts issus du rapport (cf pages 6 et 7/36 du pdf du rapport de l'OMS):

 

« Un des grands problèmes soulevés [à cette conférence] est le risque de malignité que pourrait représenter à long terme un A.D.N contaminant hétérogène, en particulier s’il s’avère qu’il contient des séquences codantes ou régulatrices potentiellement oncogènes. Ce point est réellement préoccupant, car de nombreuses personnes en bonne santé, notamment des nourrissons, seront peut-être vaccinées avec des produits issus de lignées cellulaires continues, ou les recevront de toute autre manière. »

 

Qu'auraient franchement eu à répondre à cela les deux "experts" invités? Puisque l'OMS est vraiment leur référence suprême! Chose intéressante à ce propos, c'est de lire aussi avec grande attention l'insouciance et le ton tout à fait inadapté des "experts" de l'OMS dans ce rapport n°747 puisque malgré cette inquiétude concrète sur le risque de cancer, pourtant ouvertement formulée, ils arrivent à conclure sur dieu sait quelle "preuve" (en réalité inexistante!) qu' "il ne semble pas que l'utilisation d'une lignée cellulaire continue fasse courir au malade un risque réel." ou encore "Jusqu'ici, l'impression générale des groupes qui ont étudié ces questions, est que, quels qu'aient pu être les risques potentiels, les données en faveur de l'innocuité de ces produits justifient leur acceptation."

 

Il est donc fort probable que ces experts nationaux invités par RTL auraient répercuté et imité cette même insouciance auprès du public avec des "il ne semble pas" ou encore "on a l'impression que". C'est avec ce genre de décryptage nettement plus approfondi et qui incomberait normalement à des médias dignes de ce nom -qu'on pourrait alors réellement considérer comme un véritable "4° pouvoir"- qu'on se rend mieux compte du manque criant de solidité scientifique sous-tendant la vaccinologie et la prétendue grande sécurité des vaccins. Car le processus de développement des nouveaux vaccins a beau prendre plusieurs années en tout, on en reste à des imprécisions telles que les prétendus experts ne peuvent en réalité que se baser sur de "vagues impressions" bien trop subjectives. Nous ne sommes plus ici dans le concept de Science mais bien de pseudo Science, et ce glissement implique hélas des risques aussi graves que celui du cancer pour des millions d'individus vaccinés en toute ignorance des dangers encourus. Mais bien sûr, l'establishment espère que nous nous jeterons aussi sur les "vaccins anti-cancer" en cours de développement!

 

Ecouter ou réécouter cette émission de RTL+ du 12 août dernier.

 

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