10 août 2011
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C'est absolument incroyable comme il ne s'écoule pas un jour sans qu'on ne trouve des vertus cachées aux vaccins (quand ce n'est pas à leurs adjuvants)!
Ce soir, dans Question à la Une (RTBF) en effet, on pouvait notamment entendre le Pr Christian Swine, professeur de gériatrie à l'UCL, expliquer que pour ceux qui veulent vivre plus longtemps et vieillir moins vite, il y a des principes de base et de détailler alors ensuite: l'alimentation, l'exercice, LA VACCINATION, ...
Initiative Citoyenne s'étonne de telles énormités et attend, pour sa part, toujours la preuve scientifique que la vaccination aurait un effet bénéfique quel qu'il soit sur le veillissement ou même la durée de vie EN BONNE SANTE! Si le Pr Swine détenait des informations consistantes en ce sens, de façon comparative à des personnes non vaccinées, nous serions très intéressés de pouvoir en prendre connaissance, vraiment!
Car à lire les témoignages issus de ce document de la Communauté Française elle-même (cf. p.7/8 !), on peut voir que la vaccination et notamment la vaccination antigrippale semble plutôt avoir l'effet inverse c'est à dire de précipiter le décès des personnes âgées:
"Contrairement aux apparences, ce n’est pas une pension de famille, mais une maison de repos bruxelloise, la Résidence Augustin. « Je m’occupe d’un lieu de vie, pas d’un hôpital : les résidents et le personnel sont autonomes. Ils décident librement s’ils veulent se faire vacciner contre la grippe. Pour ma part, je n’en vois aucunement l’utilité. Bien au contraire », assure Catherine Goor, la directrice. Catherine Goor a travaillé quatorze ans comme infirmière, en salle d’opérations. Elle a ensuite géré une maison de repos qui abritait de nombreuses personnes démentes. « Les médecins devaient souvent décider, à leur place, de les faire vacciner contre la grippe. Or, il s’avère qu’à plusieurs reprises, après des vaccinations pratiquées systématiquement, l’état de ces personnes fragiles s’est considérablement détérioré. Nous avons eu des décès. En toute conscience, avec les infirmières, nous avons préféré arrêter de pratiquer les injections nous-mêmes », raconte-t-elle."
Mais ce n'est pas tout, au cours de ce numéro du 10 août de "Question à la Une", on a pu entendre le Pr Jean Nève, Président du Conseil Supérieur de la Santé, déplorer, presque une larme à l'oeil, le fait que les effets secondaires à long terme des hormones comme la DHEA ne sont pas connus et que malgré cela, ces produits restent utilisables par ceux qui ne veulent pas vieillir. Selon lui, il y a une profonde discordance entre l'attitude de l'Agence Européenne du Médicament à l'égard de ces produits et le caractère très strict de ses exigences pour tous les autres médicaments.
Sans nous prononcer nullement sur la pertinence de ces traitements hormonaux anti-vieillissement (ce n'est pas notre propos), nous ne pouvons que nous étonner de la partialité saisissante de tels propos car si ces traitements anti-vieillissement sont consommés très marginalement par ceux qui le veulent bien, il n'en est pas de même des vaccins officiellement recommandés à tout va, dont les effets à long terme ne sont eux aussi jamais évalués! Mais sans doute que Mr Jean Nève préférait ne pas s'étendre sur le sujet des vaccins. Il faut dire que l'Agence Européenne des Médicaments, soi-disant si stricte avec l'évaluation des autres médicaments, avait approuvé, comme si de rien n'était, la mise sur le marché du vaccin anti-H1N1 exprimental Pandemrix alors que les essais cliniques de ce vaccin avaient donné lieu au chiffre très inquiétant de 7 décès sur 2000 volontaire sains, en bonne santé.