Grippe H1N1: le vaccin saisonnier pose problème
9 septembre 2012, par Helen Branswell (la Presse Canadienne)
TORONTO – Un étrange phénomène lié à un vaccin et observé au début de la pandémie de grippe de 2009 pourrait bien être vrai, suggère une nouvelle étude.
Des chercheurs canadiens ont constaté, dans les premières semaines de la pandémie, que les gens ayant reçu un vaccin antigrippal pour l’hiver 2008-2009 semblaient plus à risque d’être infectés par la nouvelle maladie que ceux n’ayant pas été immunisés.
Cinq études effectuées dans plusieurs provinces ont donné les mêmes résultats surprenants. Au départ, cependant, d’autres études similaires menées hors du pays n’ont pas produit les mêmes effets, et le tout a été classé comme le «problème canadien».
L’annonce des étranges découvertes est survenue au moment où les pays d’Amérique du Nord et certaines régions de l’Europe s’apprêtaient à entamer la vaccination de leur population contre le virus de la grippe H1N1.
En raison des risques supposément posés par le vaccin saisonnier contre la grippe lorsque celui-ci est utilisé conjointement avec le vaccin contre la grippe H1N1, le Québec a décidé de ne pas administrer le premier lors de sa campagne contre la pandémie.
Un groupe de chercheurs canadiens ont recréé l’effet chez des furets, qui sont les meilleurs modèles animaliers pour prédire la façon dont la grippe agira chez l’humain.
Selon la première auteure de l’étude, la Dre Danuta Skowronski, les tests effectués sur les furets prouvent que le vaccin antigrippal saisonnier fait ainsi augmenter les risques de contracter la grippe H1N1.
Elle affirme d’ailleurs que depuis la pandémie, des chercheurs d’autres pays ont rapporté une interaction similaire.
La raison de cet effet n’est pas clairement établie, et la chercheure a pressé d’autres groupes de scientifiques de se pencher sur la question. Selon Mme Skowronski, il est important d’éclaircir ce mystère, avant la prochaine pandémie.
Entre temps, elle se fait rassurante: les individus n’ont pas besoin de se passer de vaccin antigrippal saisonnier.
Source : Journalmetro.com
Cet article est FABULEUX :
- Tout d’abord, il confirme une donnée que nous avions relayée très tôt au cours de nos conférences de presse, dès 2009, à savoir que la vaccination saisonnière est PEJORATIVE par rapport au risque de contracter le H1N1 (ou toute autre infection pandémique). Rien de surprenant à cela puisqu’il est scientifiquement établi que les vaccinations dépriment et affaiblissent le système immunitaire, au moins transitoirement pour tous et hélas parfois aussi plus durablement pour les autres (les plus vaccinés en général) avec pour conséquence logique de faciliter ainsi toutes sortes d’infections opportunistes dans les suites immédiates de la vaccination. Cette vaccination saisonnière ayant été effectuée peu avant que le virus H1N1 ne circule ou quand il circulait déjà, il n’est donc pas véritablement surprenant d’entendre parler de ce genre de phénomène (même si les scientifiques font comme qui dirait semblant de « ne pas savoir le pourquoi » de ce phénomène…
- Ensuite, cet article démontre bel et bien pour ceux qui auront pu décrypter, que les prétendus experts et les gouvernements conseillent des produits dont ils ne connaissent quasi rien des effets. C’est donc vraiment comme s’ils conseillaient aux gens d’ « acheter un chat dans un sac » sauf qu’ici, il ne s’agit pas d’un chat mais de leur propre santé !
- Intéressant aussi ce sont ces nouvelles annonces de futures pandémies dont on est décidément si (trop) certain qu’elles arriveront au point que cela en est suspect. Qui sait à coup sûr qu’une prochaine pandémie arrivera si rapidement, si ce n’est celui qui les facilite ou les crée de toutes pièces via des financements publics de recherches destinées à faire se croiser les virus par exemple ??
- Enfin, le plus beau pour la fin, c’est cette conclusion de cette doctoresse qui est co-auteure de l’étude et qui « se veut rassurante » en déclarant que « les gens n’ont pas besoin de se passer du vaccin antigrippal saisonnier ». Etrange conclusion pour quelqu’un qui nous avertit déjà des nouvelles pandémies (et qui estimera plus que probablement celles-ci assez graves pour vacciner avec des vaccins pandémiques !) et qui, en même temps, semble banaliser ce risque accru d’infection A CAUSE d’un autre vaccin! A moins que ce soit surtout ELLE qu’elle tenait à rassurer en ne risquant ainsi surtout pas de fâcher Big Pharma dont on connaît l’influence mais parfois aussi les menaces et les tentatives d’intimidation/déstabilisation vis-à-vis des « chercheurs gêneurs »...
Un vaccin crée des problèmes puis ces problèmes feront l’objet d’un nouveau vaccin en guise de fausse solution puis, au fil du temps l’état de santé des gens se dégradant de plus en plus, une avalanche de nouveaux « médicaments miracles » viendra leur offrir un nouveau mirage de solutions auxquels certains croiront encore désespérément. La santé se dégradera alors encore un petit peu plus mais ce sera tout de même payant pour certains : pour les actionnaires de ces firmes qui prospèrent à la fois avec les ventes de vaccins mais aussi avec celles d’autres médicaments coûteux et palliatifs prescrits notamment aux victimes de leurs vaccins. La boucle de l’Absurde est bouclée mais le public continue encore pour l’heure de dormir….