Le mois dernier, le British Medical Journal publiait un article sur son site intitulé "C'est la croyance et non la science qui est à la base de la promotion du vaccin antigrippal, conclut un nouveau rapport." (voir la traduction synthétique de cet article, en français)
Suite à cet article, plusieurs personnes ont posté des commentaires sur le site du British Medical Journal, dont le Dr Hugh Mann (un médecin retraité du Missouri, USA), en ces termes:
" Les vaccins sont une sacrée vache à lait pour les pharmas. En tant que tels, les vaccins bénéficient donc d'un battage médiatique et tout le tralala qui va avec, sans véritable examen. Il est curieux qu'on accorde aucune attention à la hausse exponentielle parallèle des vaccins et des maladies comme les allergies, l'autisme, le cancer ou encore les affections auto-immunes. Les vaccins sont-ils compromis par leur multimorbidité et leurs effets secondaires (iatrogénie)? Les médias finiront-ils par nous dire la vérité? "
Initiative Citoyenne a tenu à réagir et a donc soumis un commentaire.
Celui-ci a été publié le 12 décembre dernier sur le site du British Medical Journal.
Voir la version anglaise: ICI
Et la version française de ce commentaire: ICI
Un véritable camouflet donc, pour tous ceux qui espéraient nous faire passer pour des fanatiques hors du champ de la Science (cfr la lamentable tentative de diabolisation de la RTBF le 17 octobre dernier dans "Question à la Une")! En réalité, la pseudo-Science est de plus en plus questionnée et dès lors, les non réponses des pseudo experts aux questions sine qua non sur la sécurité des vaccins commence vraiment à peser très très lourd!
NB: Ce qui est particulièrement intéressant à relever, c'est que l'ensemble de nos références ont été reprises dans notre commentaire sur le site du BMJ SAUF évidemment... la dernière qui renvoie directement au document confidentiel accablant de GSK sur l'Infanrix hexa qu'Initiative Citoyenne vient de révéler au public il y a peu. L'excuse du BMJ était que cela risquait de porter atteinte à la confidentialité des patients dont le cas est évoqué dans ce volumineux document de GSK de + de 1200 pages. Problème: tous les cas ont déjà été anonymisés par la firme. Ce genre d'excuse sert donc surtout à éviter que des lecteurs, spécialement des médecins, de passage sur le site du BMJ, ne puissent accéder de façon aussi directe et facile "au pot au roses", jamais évoqué dans leurs publications professionnelles!