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29 octobre 2012 1 29 /10 /octobre /2012 00:30

seringues.jpg

A la lueur de divers exemples, nous pouvons hélas montrer que le réflexe vaccinal relève bien davantage d'un conditionnement idéologique que d'une saine logique scientifique. Nous prendrons pour ce faire l'exemple des campagnes françaises de vaccination contre le méningocoque (B et C), l'exemple d'un futur "vaccin anti-cancer" ainsi que l'actualité sur un nouveau vaccin contre l'hépatite E fraîchement mis sur le marché.

 

En France, plusieurs campagnes de vaccination contre le méningocoque C viennent d'être initiées, en réaction à quelques cas de méningites. C'est le cas notamment dans le Finistère mais aussi dans les Landes et les Hautes-Pyrénéesdes milliers de gens vont être vaccinés au nom du prétendu "Bien commun". Pourtant, les chiffres officiels eux-mêmes prouvent que ces vaccins contre le méningocoque C sont éminemment plus risqués que bénéfiques et, si l'on tient compte du fait que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves sont recensés, on arrive à un rapport bénéfices/risques ultra-négatif, et donc même avec ces quelques cas de méningocoques supplémentaires, le jeu n'en vaut pas du tout la chandelle!! Sans compter le fait que le vaccin contre le méningocoque C ne se fait normalement que dès l'âge de 1 an et qu'il est ici préconisé dès l'âge de 2 mois... tout cela sans filet et dans le plus grand flou !!

 

Comment se fait-il alors que ces campagnes aient été décidées en haut lieu? Tout simplement parce qu'il y a un réflexe conditionné et beaucoup d'argent en jeu. On a donc la conjonction de la cupidité des lobbys et de la docilité irréfléchie des autorités dont les experts n'ont comme seule "proposition" concrète QUE de vacciner, encore et toujours. Maladie infectieuse = vaccin et quelques cas de maladies infectieuses signifient donc grosse vaccination à leurs yeux (étant donné leur croyance en l'immunité de troupeau). En revanche, que les cas d'effets secondaires graves soient supérieurs aux cas de méningites à méningocoques réellement survenus, cela ne les dissuade vraiment pas de continuer à recommander ces vaccinations. Car ce constat reste idéologiquement inacessible à ces gens dont l'endoctrinement a commencé dès les premières années de faculté. Admettre ces cas, en tenir compte, cela entraîne un phénomène de dissonance cognitive, c'est à dire une sorte d'ébranlement psychologique de ces personnes qui se retrouvent alors confrontées à des données qui entrent en contradiction avec leurs croyances initiales. En psychologie, on explique que la dissonance cognitive induit trois grands types de réactions possibles: la première, qui prime ici largement en matière de vaccination, est de rejeter en bloc les informations nouvelles qui viennent "perturber les croyances de départ", la deuxième est d'essayer d'intégrer et d'incorporer ces nouvelles données aux croyances de départ, la troisième étant la désintégration des croyances de départ au profit des données nouvelles, compte tenu de leur trop grande incohérence...

 

Si on prend le cas de la méningite à méningocoque B, là encore, on s'aperçoit qu'une récente campagne a été initiée dans la région de Dieppe, avec le vaccin MenBVac, clairement expérimental (mais bien entendu pas présenté comme tel au public concerné!), qui a d'ailleurs déjà été sévèrement dénoncé en Norvège, comme en Nouvelle-Zélande et tout cela, au nom de quoi?  Là encore de quelques cas minoritaires au nom desquels, les autorités font l'étrange choix d'exposer toute une génération de dizaines de milliers de personnes (de 2 mois à 24 ans) à un produit expérimental aux effets secondaires potentiellement très graves, mais tout en prétendant bien sûr que le vaccin est très sûr!!

 

Men-B-vac.JPG

 

Mais prenons à présent un autre cas témoignant du non sens de ce réflexe vaccinal conditionné: ce projet de "vaccin universel anti-cancer". Voilà un projet qui va sûrement réjouir plusieurs naïfs car le cancer fait peur et que le mot "vaccin" a pour certains une connotation quasi magique, synonyme de "protection". Aussi, ces gens-là s'imaginent que quels que soient les risques du vaccin, ils vaudront sûrement une protection "universelle" contre le cancer. Pourtant, si on décortique un peu cette actualité, on ne peut que déceler son absurdité. Pourquoi: parce qu'outre le fait que les vaccins contiennent plusieurs composants toxiques et notoirement cancérigènes (songeons au formaldéhyde par exemple...) bien qu'on ne teste cependant jamais leur potentiel cancérogène, contrairement à d'autres médicaments, outre le fait que la multiplication des vaccins induit une baisse du système de défense chez une quantité conséquente de gens et que les taux de cancers grimpent en parallèle de la hausse croissante du nombre de vaccins reçus dès le plus jeune âge, on planche actuellement sur... "un vaccin anti-cancer"! Mais le pire finalement, le plus "gros" dans tout ça, est que ce vaccin consistera à injecter l'antigène MUC-1 de façon à faire produire des anticorps anti-MUC1 alors même qu'une maladie naturelle et relativement anodine comme les oreillons offre justement à l'organisme ces anticorps anti MUC-1 de façon sure et durable! On supprime donc des maladies naturelles comme les oreillons qui apportent aux femmes qui les contractent une protection relative contre le cancer de l'ovaire mais on fera produire artificiellement aux gens avec des vaccins des anticorps anti-cancer qu'ils auraient naturellement produits s'ils avaient contracté ces maladies de façon naturelle! On marche donc une fois encore sur la tête et un nombre croissant de gens s'en rendent d'ailleurs bien compte.

 

Prenons enfin le cas de ce vaccin anti-hépatite E tout récemment mis sur le marché en Chine et fabriqué par une industrie nationale. Xiamen Innovax Biotech a ainsi obtenu le feu vert pour son vaccin Hecolin destiné à prévenir l'hépatite E, une maladie qui se transmet par l'eau et les aliments contaminés et qui, selon l'OMS, ferait 20 millions de malades annuellement dans le monde. Qu'en est-il des risques de ce vaccin? Là encore, aucune information sur la sécurité du produit ne filtre auprès des consommateurs mais, dans le même temps, l'OMS arrive déjà en renfort avec ses sirènes alarmistes - il faut dire que l'OMS a déjà affirmé, sans l'ombre d'une preuve fiable, que les vaccins prévenaient 300 Millions de morts dans le monde chaque année. En attendant, même pour une maladie qu'on pourrait entièrement prévenir par des mesures d'hygiène simples et sans danger, il va s'agir d'écouler un produit au seul motif qu'il aura été fabriqué et que des actionnaires attendent le "retour sur investissements"!

 

Faire encourir des risques tout à fait inconsidérés et disproportionnés à des populations au nom de prétendus bénéfices tout à fait opaques, marginaux voire inexistants, voilà un modus operandi hélas récurrent en vaccinologie! Et si on prend encore un autre exemple, celui du vaccin contre la grippe, on ne peut que confirmer cette analyse.

 

Un article récemment paru dans la presse canadienne prétendait (en relayant là encore unilatéralement l'avis de certains chercheurs) que le vaccin antigrippal réduirait le risque de crise cardiaque et même d'AVC de façon assez importante.

 

Cet article dit d'ailleurs notamment ceci:

 

« Les chercheurs ont examiné 3227 patients — dont 50 % qui n’étaient pas atteints de troubles cardiaques – et ont administré le vaccin antigrippal, à la moitié d’entre eux. Les personnes ayant reçu le vaccin ont été choisies de façon aléatoire. Selon les résultats des études, après un suivi d’un an, le vaccin contre la grippe a permis de réduire d’environ 50% le risque d’un événement cardiaque majeur (crise cardiaque, AVC, décès cardiaque), comparativement au groupe qui avait reçu un placebo. »

 

Cela pourrait à première vue sembler "merveilleux" mais voici ce qu'on ne vous rappelle pas (et qui concerne les données relevées par des chercheurs rattachés à plusieurs instances publiques américaines sur base des données issues du système de pharmacovilance vaccinale du pays):

 

"Entre 1990 et 2010, 306 cas d'AVC (âge moyen 42 ans, de 0,1 à 94 ans) survenus dans les six semaines après une vaccination  (mais dans les 2 semaines pour 257 patients ; 83,9 %) ont été signalés. Dans 120 cas (39,2%), l'AVC s'est produit après une vaccination antigrippale, dans 40 cas (13 %) après une vaccination contre l'hépatite B et dans 20 cas (6,5 %) après une vaccination antidiphtérique, antitétanique et anti-coqueluche (vaccin acellulaire). Douze patients (4 %) avaient eu au moins 2 vaccins. La répartition déséquilibrée des AVC dans les 6 premières semaines après la vaccination avec un pic dans les 2 premières semaines suggère que certains cas pourraient être déclenchés par la vaccination."

 

Al Qudah Z. : Stroke after Vaccination in United States. A Report from the CDC/FDA Vaccine Adverse Event Reporting System. [1990–2010]. 64th Annual Meeting of the American Academy of Neurology. (Nouvelle-Orléans) : 21– 28 Avril 2012.

 

Dans un pays comme la Belgique, il y a environ 15 000 cas annuels d'infarctus du myocarde dont la moitié décèderont à court ou moyen terme de cette condition. Chaque année, en Belgique, il y a 19 000 accidents vasculaires cérébraux (AVC) dont 9000 personnes mourront dans l'année et 6000 garderont une invalidité permanente. On devine cependant d'ores et déjà que certains experts viendront recommander la vaccination antigrippale au nom de la protection contre l'infarctus mais, on vient de le voir, combien de ces gens crédules pourront cependant se retrouver parmi les victimes d'AVC post-vaccinaux? Voilà le genre de questionnements qui semblent constamment échapper aux experts, tout simplement parce que ces gens ont des oeillères et qu'ils occultent en permanence tout risque grave évoqué dans leur propre littérature, dans la mesure où cela risque de faire de l'ombre aux prétendus bénéfices qu'ils s'ingénient à mettre en évidence par tous les moyens.

 

Lorsqu'on vous parle d'un vaccin, ne soyez pas hypnotisé, et essayez d'envisager l'ampleur de tout ce qui reste encore inconnu et insuffisamment étudié au sujet des vaccins... c'est alors qu'il vous suffit de répondre à cette simple question: êtes-vous prêt à jouer au cobaye?

 

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