Le Projet « Tycho » de Bill Gates et les Vaccins Vaudou
Gary Null, Ph. D & Richard Gale, 17 décembre 2013
Cet homme détient 500 000 actions de Monsanto, la compagnie la plus malfaisante au
monde mais il affirme cependant vouloir améliorer l'état du monde
Des groupes de population et des études écologiques sont aujourd’hui devenues les normes pour déterminer l’efficacité d’un vaccin et servir de base à la croyance que c’est la vaccination qui a réduit (en toute sécurité) la propagation des maladies infectieuses et a sauvé des millions de vies.
Ce ne sont plus des normes de références scientifiques, mais des études de population qui constituent maintenant l’essentiel de l’arsenal clinique des défenseurs des vaccins pour discréditer un peu plus les arguments de la recherche biologique la plus factuelle qui sont en faveur des opposants aux vaccins.
Un article récent publié dans le numéro de Novembre 2013 du New England Journal of Medicine, « Les maladies contagieuses aux Etats-Unis de 1988 à nos jours », est en fait le premier d’une quantité d’autres futures études du genre destinées à convaincre les législateurs et le public que la vaccination devrait être rendue obligatoire pour assurer la santé de la nation. [1]
L’étude a été lancée à partir d’un nouveau projet à l’université de Pittsburg, le projet « Tycho » ainsi nommé d’après le célèbre astronome et mathématicien du 16ème siècle, Tycho Brahe et mentor de Johannes Kepler.
Financé par la Fondation Bill et Melinda Gates et le National Institute of Health, le projet est une énorme entreprise multi-niveaux destinée à enregistrer les données de mortalité de 56 maladies infectieuses entre 1888 et aujourd’hui en vue de créer de futures réserves de données et d’analyse et qui auraient comme objectif d’élaborer des stratégies politiques futures destinées à augmenter les taux de vaccination.
Les auteurs de l’article prétendent d’une manière extraordinaire que « 103 millions de cas de maladies infantiles (95% de celles qui auraient normalement dû avoir lieu) ont été évitées depuis 1924. Au cours de la seule dernière décennie, 26 millions de cas (99% des cas qui auraient dû se produire normalement) ont été évités grâce à la vaccination ».
Eternel valet obéissant aux diktats du CDC et de Big Pharma, le New York Times renchérit, en affirmant qu’il s’agit « d’un type d’analyses qui ne peut être réalisée que lorsque d’énormes ensembles de données sont rassemblées et exploitées » [2].
Si cette analyse est en accord avec les faits, elle pourrait être saluée comme l’une des réalisations les plus importantes destinées à soutenir l’action miraculeuse et les avantages des vaccins.
D’autre part, si l’analyse des chercheurs de l’université de Pittsburgh s’avérait scientifiquement peu fiable et éventuellement trompeuse à l’issue d’un examen empirique solide, alors cette étude relèverait en fait d’une escroquerie de propagande parmi les plus trompeuses qui aient été publiées au cours des dernières années dans la littérature médicale revue par les pairs.
Ce ne serait pas la première fois que le NEJM ne réussirait pas à assurer une revue par les pairs suffisamment diligente et satisfaisante avant publication. Dans le passé, ce prestigieux journal n’a pas hésité à publier des articles scientifiques hypocrites qui pourraient être considérés comme relevant du racket médical.
Ce qui est le plus important c’est d’examiner les données sur lesquelles les scientifiques de Pittsburgh se sont basés pour arriver à leurs conclusions.
Un examen du site relatif au projet « Tycho » comme à sa base de données révèle l’absence de l’information critique nécessaire pour pouvoir historiquement prendre position sur l’efficacité d’un vaccin, sans parler du nombre de décès qui auraient été évités. [3]
La seule réalisation du projet est l’accumulation d’une grande quantité de données (200 millions de clics de souris) ayant trait aux statistiques de mortalité, (comprenant le temps et le lieu) pour 56 maladies infectieuses sur une période de 125 ans.
Les données scientifiques relatives aux statistiques ayant spécifiquement trait à la vaccination de huit maladies contagieuses reprises dans l’article du NEJM sont inexistantes. Il n’existe donc aucune donnée concernant le nombre de personnes vaccinées pour aucune des maladies visées dans quelque année ou dans quelque lieu que ce soit. Il n’existe pas non plus de données concernant le nombre de décès relevés parmi les personnes non vaccinées. Il n’existe pas non plus de données concernant les décès provoqués par une maladie infectieuse qui aurait pu être provoquée par un agent infectieux du vaccin ou des données concernant une population pour laquelle le vaccin s’est montré inefficace et n’a pu assurer de protection. En fait, le projet ne contient absolument aucune information ayant trait aux données de vaccination !!
En outre, les données se basent sur l’hypothèse à priori qu’au cours de ces 125 ans, la cause des décès déclarés et dus aux maladies infectieuses est exacte. Il est cependant évident que pour cette période, les technologies permettant de confirmer le diagnostic d’infection comme cause probable de décès, soit n’existaient pas, soit n’étaient pas couramment appliquées.
Alors, comment les scientifiques de Pittsburgh tirent-ils leurs conclusions ? Pour comprendre leur modus operandi, le lecteur est prié de mettre de côté les principes les plus fondamentaux de la méthode scientifique et de la pensée critique. Faudrait-il retourner 500 ans en arrière et adopter une pensée irrationnelle qui aurait plus de traits communs aux croyances alchimiques et magiques qu’à la science moderne ?
En l’absence de ces données cruciales qui permettraient d’obtenir des estimations mêmes rudimentaires pour les vaccinés et les non vaccinés (relativement à telle ou telle année) en vue de pouvoir faire des calculs appropriés, la méthode adoptée par la présente étude peut paraître très simple. « Nous avons estimé le nombre de cas de polio, de rougeole, de rubéole, des oreillons, de l’hépatite A, de diphtérie et de coqueluche qui ont été évités par les vaccins », le document précisant d’ailleurs que : « en soustrayant le nombre de cas hebdomadaires après l’introduction des vaccins à partir d’une simulation du nombre hypothétique de cas qui se seraient produits (italiques des auteurs de l’article) en l’absence de la vaccination. »
La définition du dictionnaire de « nombre hypothétique » a trait à quelque chose qui ne s’est pas produit ou à un cas qui n’existe pas. En d’autres termes, il s’agit d’un nombre magique évoqué en s’appuyant sur des algorithmes mathématiques sans véritable correspondance à la réalité des taux d’infection concrets. En outre, le document indique qu’il s’appuie sur « une histoire quantitative », ce qui ne fait que traduire en chiffres simples le nombre de décès sans préciser ce que ces chiffres représentent effectivement (par exemple vaccinés comparés à des non vaccinés, marges d’erreurs pour des diagnostics erronés par rapport aux causes de décès, le nombre croissant de cas de personnes qui ont contracté les infections contre lesquelles elles ont été vaccinées, etc.)
Le fait que les taux de mortalité pour la plupart des huit maladies infectieuses « évitables » visées par l’enquête étaient déjà en déclin rapide avant l’introduction des vaccins est aussi catégoriquement ignoré. L’équipe de Pittsburgh ferme donc les yeux sur la diminution rapide du nombre de décès avant que n’apparaissent les vaccins spécifiques.
Le taux de mortalité dû à la rougeole est un excellent exemple. Avant que la vaccination n’apparaisse en 1963, les taux de décès avaient spontanément chuté de 98,6% pour la période au sujet de laquelle les enregistrements de décès ont été faits. Cette baisse constante a commencé à se stabiliser à moins de 1 pour 100.000 en 1944 et a progressivement diminué au cours des dernières années, mis à part un pic anormal en 1990, après que le vaccin contre la rougeole ait fait partie intégrante du calendrier vaccinal. En 1959, le taux était d’environ 1 pour un demi million et s’approchant de zéro avant l’apparition du vaccin en 1963 [4].
Comme l’étude ignore tout des raisons possibles de la baisse spontanée de 98,6% de la mortalité rougeoleuse avant 1963, il n’y a aucune raison de conclure que le vaccin contre la rougeole ait empêché quelque décès que ce soit. Compte tenu des nombreuses décennies de déclin avant que n’apparaisse le vaccin, et quelle que soit la cause de ce mouvement vers le bas, il est très probable que ce mouvement aurait continué pour rejoindre les taux actuels de mortalité par rougeole, sans qu’aucun vaccin ait jamais été mis au point.
A titre d’exemple, bien qu’on n’ait jamais mis au point un vaccin contre la scarlatine, cette maladie était, au Royaume Uni, l’une des maladies infectieuses parmi le plus mortelles avec un taux de mortalité de 160 pour 100.000 aux alentours de 1860 et ce taux est tombé à pratiquement zéro en 1940. De même, la coqueluche était déjà en rapide déclin avant que le vaccin ne soit largement utilisé à la fin des années 1940. [5]
Par rapport à ce qui est devenu une « agression normalisée » contre les parents qui retardent ou refusent la vaccination de leurs enfants, les auteurs de Pittsburgh veulent nous faire croire que les enfants non vaccinés sont responsables de l’augmentation récente des cas de coqueluche. Même en mettant de côté la liste des risques graves et meurtriers du vaccin contre la coqueluche, les données concernant son efficacité révèlent de plus en plus que ce vaccin constitue l’un des plus grands fiascos de la médecine. Les auteurs ne s’interrogent pas non plus sur la possibilité que le vaccin lui-même ait pu provoquer cette escalade.
Le Dr Ruiting Lan et ses collègues de l’Université de New South Wales ont identifié un nouveau génotype résistant du vaccin contre la coqueluche (ptxP3) qui a augmenté de façon spectaculaire. Il a été responsable d’environ 30% des cas de coqueluche avant l’épidémie de 2008, pour atteindre 84% des cas de coqueluche en Australie aujourd’hui. [6,7] Cette nouvelle souche plus meurtrière a, selon le CDC, été introduite aux Etats-Unis, et un nombre croissant de recherches tenteraient à montrer que les récentes épidémies de coqueluche pourraient être directement liées au vaccin. [8,9]
Cela seul pourrait expliquer l’augmentation des cas de coqueluche auxquels fait allusion l’article du NEJM et être une raison pour laquelle des enfants vaccinés attrapent aussi la maladie. Au lieu d’investir des millions de dollars dans des jeux informatiques qui jonglent avec des nombres magiques, la question la plus importante qui devrait préoccuper les scientifiques serait de déterminer si le vaccin Diphtérie-Tétanos-Coqueluche est effectivement responsable de l’émergence d’épidémies de coqueluche résistantes au vaccin.
Il y a pourtant encore des recherches plus accablantes sur le vaccin contre la coqueluche et ses échecs. En 2009, le CDC a pu déterminer que 99,94 % des enfants Américains avaient été vaccinés contre la coqueluche ; par conséquent, le seuil d’immunité de groupe avait été dépassé et selon cette théorie non prouvée, il ne devrait y avoir aucune transmission.
Une récente étude biologique de la FDA réalisée sur de jeunes babouins a montré que le vaccin contre la coqueluche, censé protéger contre l’infection du virus sauvage, n’empêchait en fait pas l’infection. L’étude a, au contraire, montré que les babouins vaccinés étaient malgré tout colonisés par la bactérie et pouvaient la transmettre à d’autres. [10] Si cette recherche s’avère exacte, elle démystifie et fait perdre toute crédibilité à la notion d’immunité de groupe.
L’article fait aussi référence à la grande épidémie de coqueluche de 2010, mais omet de mentionner que, selon une étude publiée dans le numéro de décembre 2012 du Journal of Pediatrics, « parmi les quelque 9.000 cas et plus qui se sont produits en Californie (le plus grand des états américains), 91% étaient complètement « vaccinés conformément aux recommandations nationales. » [11]
Lors de l’épidémie de coqueluche de 1986 au Kansas, 90% des cas confirmés avaient été vaccinés. Ce pourcentage élevé de flambées de coqueluche chez les enfants vaccinés a été habituel au cours des derniers pics de coqueluche dans différents endroits. - Et donc quels sont ceux qui mettent la société en danger ?
Le vaccin contre la coqueluche est un exemple parmi d’autres des « retours de flamme » possibles après la généralisation d’une vaccination qui augmentent ainsi de façon contre-productive l’incidence des infections, des hospitalisations et des décès. Cependant aucune de ces statistiques historiques et qualitatives ne sont prises en compte dans les calculs du projet « Tycho ».
L’article de l’université de Pittsburgh paru dans le NEJM semble bien relever d’une grandiose entreprise de désinformation. Les chercheurs ont soit manqué, soit ignoré les données les plus critiques comme les statistiques nécessaires pour arriver à des conclusions médicales valables sur les causes des décès attribuables à une maladie infectieuse virale et bactérienne.
Par conséquent, le rapport est davantage perçu comme une tentative archaïque et pseudo-scientifique visant à discréditer ceux qui critiquent la vaccination et à faire progresser les ambitions de Bill Gates à savoir rendre la vaccination légalement obligatoire, comme enlever aux parents et à quiconque la liberté de prendre leurs propres décisions en ce qui concerne leur santé ou celle de leurs enfants.
Partout où l’on retrouve des traces de financement de Bill Gates en rapport avec la vaccination, on peut être certain que c’est dans le but de faire avancer ses projets de faire vacciner chaque nourrisson et chaque enfant de la planète quels que soient les dangers des vaccins, qu’ils soient ou non efficaces comme le prétendent cependant le CDC et les fabricants de vaccins.
Finalement, la présentation du projet « Tycho » dans les articles du NEJM et du New York Times donnent à réfléchir. Pourquoi un projet visant à accroître les taux de vaccination, porterait-il le nom d’un astronome crédité pour avoir expliqué le fondement des lois de Kepler sur les mouvements planétaires ?
C’est en effet une excellente idée que celle de donner au Projet le nom d’un célèbre astronome danois du 16ème siècle. L’importance du nom de Tycho pour une initiative en matière de vaccins n’a en fait rien à voir avec l’observation du mouvement des corps célestes. Nous devons plutôt nous tourner vers le Tycho qui fut un célèbre alchimiste pour comprendre qui est le Saint Patron du Projet. C’est alors qu’il nous est possible de réaliser que l’alchimie de Tycho constitue en quelque sorte un reflet du soutien financier de Gates aux scientifiques qui en appellent aux statistiques magiques fallacieuses basées sur des algorithmes abstraits pour induire les médias et le public en erreur.
Une des plus grandes craintes des parents au sujet de la vaccination de leurs enfants concerne les nombreux produits chimiques et ingrédients toxiques des vaccins, comme leurs graves effets indésirables, potentiellement mortels.
Pendant de nombreuses décennies, la littérature scientifique a documenté une grande variété de troubles neurologiques et physiques attribués aux vaccins.
Beaucoup de ces réactions à long terme (troubles neurologiques, asthme, allergies, diabète de type 1, troubles gastro-intestinaux, etc.) sont maintenant observées dans des proportions épidémiques chez les enfants. Comme nous l’avons noté, les chercheurs de l’université de Pittsburgh ont, dans leur étude, complètement ignoré les questions relatives à l’efficacité et à la sécurité du vaccin. Leur méthodologie reste strictement restreinte au monde abstrait de mathématiques imaginaires, éloignée des sciences solides comme l’immunologie et la biologie moléculaire.
Leurs conclusions pour trouver une correspondance entre les taux de décès par maladies infectieuses et les mathématiques vaudou censés prouver le sauvetage de millions de vies grâce à une vaccination hypothétique, possèdent autant de crédibilité que les propres croyances de Tycho qui voyait une correspondance directe entre les planètes, certains métaux et les différents organes du corps.
C’est en 1901 et de nouveau en 2010 que le corps de Tycho fut exhumé pour expertise médicale. Les découvertes qui ont été faites pour trouver la cause du décès de Tycho ont fait apparaître une grave intoxication. Le crâne et les cavités nasales étaient verdâtres suite à une exposition excessive au cuivre. Des taux élevés de mercure furent aussi détectés qui provenaient vraisemblablement de ses nombreuses expériences alchimiques destinées à transformer le métal vulgaire en or et en argent. Le second but de la vie de ce savant était de trouver un remède universel pour guérir toutes les maladies. [12]
Bill Gates et l’université de Pittsburgh n’auraient pas pu trouver un personnage historique mieux approprié pour rendre hommage à leurs activités de surveillance (de plusieurs millions de dollars) et au projet d’exploration de données en vue de convaincre les législateurs de rendre la vaccination obligatoire pour tous les américains.
Il semble certain qu’à la suite de ses deux projets alchimiques, ce soit le propre orgueil de Tycho qui l’ait finalement tué. Tous les éléments qui ont poussé l’alchimiste dans ses audacieuses recherches et expériences semblent bien trouver une correspondance dans ce que nous voyons aujourd’hui par rapport aux dangers que représentent les vaccins avec leurs douzaines de produits chimiques toxiques, l’épidémie croissante des problèmes de santé, les troubles du développement chez les enfants qui, souvent, les condamnent à une vie de souffrance et à une mort prématurée.
Par conséquent, le fait d’avoir dédié à Tycho ce projet extraordinaire de recueil de données est peut-être la seule chose pour laquelle Gates et l’université ne se sont pas trompés.
Références
[1] Van Panhuis WG, Greenfenstette J, Jung SY, Chok NS, Cross A, Eng H, Lee BY, Zdorozhny V, Brown S, Cummings D, Burke DS. "Contagious Diseases in the United States from 1888 to the Present." New England Journal of Medicine November 28, 2013, 369; 22.
[2] Lohr S. "The Vaccination Effect: 100 Million Cases of Contagious Disease Prevented," New York Times. November 27, 2013
[3] Project Tycho, University of Pittsburgh. http://www.tycho.pitt.edu
[4] Humphries, S, Bystrianyk R. Dissolving Illusions: Disease, Vaccines and the Forgotten History. Self-published. www.dissolvingillusions.com
[5] Humphries, S. Ibid.
[6] Lam, C., Octavia, S., Bahrame, Z., Sintchenko, V., Gilbert, G.L., & Lan, R. (2012) Selection and emergence of pertussis toxin promoter ptxP3 allele in the evolution of Bordetella Pertussis. Infection Genetics and Evolution. 12(2): 492-495; Octavia, S., Sintchenko, V., Gilbert, G.L., Lawrence, A.L., Keil, A.D., Hogg, G., & Lan, R. (2012) "Newly emerging clones of bordetella Pertussis carrying prn2 and ptxP3 alleles implicated in australian pertussis epidemic in 2008-2010". Journal of Infectious Diseases. 205(8): 1220-1224
[7] Norrie J. "Vaccine Resistant Whooping Cough Takes Epidemic to New Level," The Conversation, March 21, 2012
[8] "New Wooping Cough Strain in US Raises Questions" Fox News
http://www.foxnews.com/health/2013/02/07/new-whooping-cough-strain-in-us-raises-questions/
[9] Mooi FR, van Loo I, van Gent M, He Q, Bart MJ, Heuvelman KJ, de Greeff S, Diavatopoulos D, Teunis P, Nagelkerke N, and Mertsola J, "Bordetella pertussis Strains with Increased Toxin Production Associated with Pertussis Resurgence" Centers for Disease Control and Prevention.
http://wwwnc.cdc.gov/eid/article/15/8/08-1511_article.htm
[10] Mercola J. "FDA Pertussis Vaccine Study Shatters Illusions of Vaccine-Induced Immunity." Mercola.com December 10, 2013.
[11] California Pertussis Epidemic 2010, Journal of Pediatrics 2012 Dec; 161 (6): 1091 http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22819634
[12] Tycho Brahe Biography. Alchemy and Alchemists. http://alchemy-and-alchemists.blogspot.com/2010/07/tycho-brahe-biography.html
Wikipedia http://en.wikipedia.org/wiki/Tycho_Brahe
Source: Greenmedinfo.com