C'est étrange cette certitude sans cesse répétée qu'il y aura forcément une "grande épidémie" ou pandémie au 21° siècle, mais après la fausse pandémie du H1N1, certains rêvent malgré tout de remettre le couvert avec leurs vaccins en embuscade bien sûr!
Jean-Claude Manuguerra, virologue de l'Institut Pasteur, qui n'a pas arrêté de rassurer (à tort) sur le vaccin H1N1 lors de cette fausse pandémie de 2009, a même reçu une tribune dans le Figaro pour y partager ses prédictions et ainsi toujours mieux préparer l'opinion publique à cette inéluctable fatalité d'une prochaine pandémie (tant attendue?).
"Quelle sera la prochaine grande épidémie?" titre cet article écrit par ses soins.
S'ensuit alors la mention suivante :
"AVIS D'EXPERT - L'analyse du responsable du Dr Jean-Claude Manuguerra, responsable de la cellule d'intervention biologique d'urgence à l'Institut Pasteur et président du comité de pilotage du réseau mondial d'alerte et d'action en cas d'épidémie. "
Bizarre qu'il ressente le besoin d'écrire "AVIS D'EXPERT" sur un article écrit par lui. C'est peut-être indispensable pour s'auto-rassurer après la fausse surprise des narcolepsies qu'il n'avait pas prédite en lien avec l'usage massif de vaccins expérimentaux dont certains contenant du squalène (= pourvoyeur logique de maladies auto-immunes lorsqu'il est injecté)? Car il faut dire que tous les experts et virologues officiels avaient juré leurs grands dieux que les vaccins pandémiques étaient sûrs et bien tolérés.
En conclusion de cette tribune, on peut lire ceci:
« Peut-on donc dresser un portrait-robot du prochain pathogène émergent capable de créer la prochaine grande épidémie au XXIe siècle? Partant des constats énoncés ci-avant, il pourrait s'agir d'un virus à ARN, doué d'une grande plasticité génétique et contagieux à transmission respiratoire, d'origine zoonotique et qui aurait accompli son passage vers l'homme plusieurs fois avec un seul succès dans une région où se sont produits de grands changements dans l'utilisation des terres, puis il aurait été initialement amplifié chez l'homme à l'insu des autorités sanitaires au sein d'une mégalopole. Qui vivra verra ! »