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18 mars 2013 1 18 /03 /mars /2013 22:00

varicelle-enfant.jpg

Nous venons de publier un article sur l'APPROCHE AUTORITAIRE des vaccinalistes: en mal d'arguments, ces gens préfèrent fuir le débat MAIS estiment cependant légitime d'imposer des produits dont la sécurité demeure inquestionnable et au sujet de laquelle ils n'ont tout simplement pas les réponses suffisantes.

 

Voici un article qui en dit long sur les arguments d'autorité qui affluent dans le domaine des vaccins. Nous verrons alors ensuite en fin d'article en quoi et pourquoi ces officiels se situent hors du champ de la logique la plus élémentaire.

 

A noter aussi, que ces gens osent critiquer "l'information déséquilibrée" fournie par l'Association citoyenne australienne AVN alors que cette association s'est précisément créée (comme la nôtre d'ailleurs) à cause du manque d'objectivité flagrant des officiels sur les risques vaccinaux! C'est donc bien l'histoire de "la paille et la poutre". Reprocher à cette association de ne pas relayer encore une Xième fois sur son site une "information" officielle avec laquelle on assomme littéralement les gens qui se sentent d'ailleurs de plus en plus harcelés par la propagande vaccinale, relève donc de la mauvaise foi.

 

Le Directeur général de la Santé australien, Paddy Phillips appelle à mettre un terme au débat sur les vaccins

 

Le Directeur général de la Santé du sud australien veut mettre un terme au débat sur la vaccination, pressant chacun de « faire ce qu’il faut » pour se protéger et sauver des vies.

 

Son appel fait suite à la publication de deux études majeures –dont une de l’Université d’Adelaïde- qui montre que les bénéfices de la vaccination dépassent n’importe quel risque.

 

Paddy Phillips a pressé les parents de s’assurer que leurs enfants ont bien été vaccinés contre les maladies et que tous les Australiens du Sud reçoivent la vaccination antigrippale.

 

Je pense que le débat doit absolument cesser, les gens doivent faire ce qu’il faut et se faire vacciner eux et leurs enfants, ainsi que leurs familles.” a déclaré le Pr Phillips.

 

« Les vaccinations sont une des principales initiatives sanitaires qui ont permis d’améliorer la santé des hommes ces cent dernières années. » a encore dit le Pr Phillips.

 

« Elles sont probablement l’initiative de santé publique la plus importante depuis l’instauration de l’eau potable et des systèmes d’ égouts, en termes de prévention des décès et des maladies. »

 

Des milliers d’enfants australiens ont évité une hospitalisation depuis l’utilisation généralisée du vaccin contre la varicelle, selon une étude de l’Université d’Adelaïde.

 

« Il n’y a pas de doute que la vaccination qui nous protège et protège la communauté, est la bonne chose à faire. »

 

Une étude de l’Université d’Adelaïde, publiée hier dans le Pediatric Infectious Disease, a montré que le nombre d’enfants hospitalisés pour varicelle ou zona avait baissé de 68% depuis l’introduction du vaccin en 2006.

 

Une seconde étude, qui a été publiée dans le Lancet, a mis en lumière les bénéfices du programme américain de vaccination contre la grippe lors de l’épidémie de H1N1 en 2009.

 

Le Pr Phillips a déclaré que les vaccins ne deviennent disponibles au public qu’après qu’ils aient satisfait à des exigences strictes de qualité et de sécurité.

 

« Cela signifie non seulement qu’ils doivent être efficaces et utiles mais aussi et surtout, ils doivent absolument être rentables (coût-efficaces). »

 

Il a dit que la variole avait été éradiquée du monde et existait à présent seulement en laboratoires.

 

D’autres maladies, comme la polio qui causent des invalidités et des décès, la diphtérie, la rougeole, la rubéole et la coqueluche ont aussi été substantiellement réduites.

 

bebe-polyvaccine.jpg

En Australie du Sud, il a dit que 90% de tous les enfants de 4 ans avaient reçu les vaccinations recommandées, des chiffres qu’il souhaiterait toutefois plus élevés encore.

 

L’auteur principal de l’étude sur la varicelle, le Pr Helen Marshall qui est Professeur associé à l’Université d’Adelaïde, a déclaré que le vaccin contre la varicelle avait évité l’hospitalisation et le décès de milliers d’enfants.

 

C’est réellement important de regarder les maladies une fois qu’un vaccin a été introduit pour voir ce qui se passe en réalité.” a dit le Pr Marshall.

 

L’étude s’est basée sur les données issues de quatre grands hôpitaux australiens pour enfants, incluant l’hôpital  Mères-Enfants au Nord d’Adelaïde, et réparties sur deux périodes de trois années de part et d’autre de l’introduction du vaccin en 2006.

 

« De 1999 à 2001, il y a eu 710 enfants hospitalisés sur les quatre sites. Les statistiques tombent à 227 de 2007 à 2010 soit après que le vaccin fut rendu disponible. »

 

Les complications de la varicelle incluent la pneumonie, les convulsions et la méningite ainsi que des avortements et des anomalies fœtales chez les femmes enceintes qui contractent la maladie en cours de grossesse.

 

L’étude sur la grippe porcine a montré que la vaccination anti-H1N1 était associée à un faible excès de risque de 1,6 de syndrome de Guillain-Barré (une maladie neurologique qui peut se solder par une paralysie et même la mort) pour un million de personnes vaccinées.

 

Les auteurs ont estimé que le vaccin avait évité 700 000 à 1,5 million de cas de grippes aux USA.

 

« Au vu de la morbidité et de la mortalité causées en 2009 par la grippe H1N1 et au vu de l’efficacité du vaccin, les cliniciens, les décideurs politiques et ceux qui sont éligibles à la vaccination devraient être convaincus que les bénéfices des vaccins pandémiques inactivés dépassent de loin les risques. » a dit l’étude.

 

Le Pr Phillips a dit que l’Australian Vaccination Network (AVN), un groupe qui défend le débat en matière de vaccination, répandait de la désinformation et des mensonges. « Ils ne fournissent pas une argumentation équilibrée et je ne comprends sincèrement pas pourquoi ils font cela. »

 

L’Office de la Concurrence de Nouvelle- Galles du Sud a ordonné à l’AVN de changer son nom pour le 21 mars au plus tard, sur base du fait que cela ne convient pas au groupe anti-vaccins et que cela pourrait induire en erreur.

 

L’association a introduit hier un recours contre cette décision.

 

Le président de l’association, Greg Beattie, a déclaré que le débat devait rester ouvert parce que des questions demeurent sur la sécurité des vaccins.

 

C’est un débat légitime qui doit avoir lieu.” a-t-il fait savoir.

 

« L’AVN ne fait aucunement pression sur les gens pour qu’ils ne se fassent pas vacciner. »

 

« La position prise par notre association consiste à défendre le droit au débat qui selon nous, doit rester ouvert. »

 

Source: Perth Now

 

Ces gens affirment “il n’y a pas de doute que…”; ils assurent que les bénéfices dépassent le moindre risque MAIS comment peuvent-ils réellement le savoir étant donné qu’on n’effectue jamais :

 

- d’étude sur les effets secondaires possibles A LONG TERME des vaccins ?

- d’étude comparant des vaccinés à des gens vierges de tout vaccin (= vrai placebo) ?

- d’analyse pharmacocinétique destinée à évaluer le devenir des différents composants du vaccin, une fois injecté ?

- d’analyse du potentiel cancérogène, mutagène et tératogène des vaccins c'est-à-dire de leur faculté de pouvoir favoriser le cancer, des mutations génétiques ainsi que des pathologies dans la descendance ??

 

Leurs affirmations, fussent-elles publiées au sein de publications dites « scientifiques » n’ont donc aucune valeur et l’AVN a donc plus que jamais raison de dire que le débat doit rester ouvert.

 

Mais surtout, un point qui doit frapper les amoureux de la logique la plus élémentaire, c’est le fait de ne parler QUE des prétendus bénéfices de ces vaccins qui auraient soi-disant évité autant d’hospitalisations et de décès. D’abord ces chiffres sont à prendre avec des pincettes parce que le vaccin contre la varicelle existait bien avant 2006 et que déjà avant cela, en Australie comme en Belgique ou en France, de nombreux pédiatres le préconisaient en routine. Par conséquent, plusieurs enfants ayant fait une varicelle ou un zona et comptés dans les cas hospitalisés ont donc malgré tout pu être vaccinés. Ensuite, ces propos donnent faussement à penser que ces vaccins préviennent des hospitalisations et des décès sans jamais pouvoir en causer à leur tour. Or il est bien évident que si on devait creuser chez tous les enfants ainsi vaccinés pour voir combien ont dû, à cause du vaccin, consulter un médecin, être hospitalisés voire décéder (sans parler de ceux qui auront attrapé des maladies chroniques incurables et irréversibles à l’inverse de l’immense majorité des cas de varicelle), le bilan serait bien entendu négatif/contre-productif ! A ce propos, n'oubliez pas que, dans le meilleur des cas, seul 1 à 10% des effets secondaires graves de vaccins sont recensés et comptabilisés (Revue du Praticien, novembre 2011). Un médecin français arrive pour sa part à des estimations de 1 effet secondaire grave rapporté sur 500!!

 

Si on prend les chiffres d'effets secondaires du vaccin contre la varicelle sur base des notifications au VAERS (le système américain de surveillance de recensement des effets secondaires -dont les afficionados des vaccins trouveront toujours à vous dire que ce n'est pas lié, qu'on n'en a jamais la preuve à 100% etc-), on retrouve pour un petit peu plus de 3 ans entre 95 et 98, 6574 signalements d'effets secondaires soit un taux de 67,5 pour 100 000 doses. 4% de ces effets secondaires (soit 1 sur 33 000 vaccinations) furent considérés comme graves incluant des chocs, des convulsions, des encéphalites, des thrombocytopénies et même des décès.

 

En sachant que seuls 1 à 10% des effets secondaires sont rapportés dans le meilleur des cas, on arrive donc à un taux d'effets secondaires réels entre 675 sur 100 000 et 6750 sur 100 000. En sachant qu'il y a environ 300 000 naissances annuelles en Australie et si on prend un taux de vaccination de 80%, on arrive à un taux d'effets secondaires (toutes gravités confondues) qui se chiffre annuellement entre 1620 et 16 200 enfants dont certains auront à consulter un médecin, d'autres seront hospitalisés (à cet égard ce serait intéressant de comparer les motifs d'hospitalisations des enfants vaccinés contre la maladie hospitalisés à cause du vaccin à ceux des enfants hospitalisés en raison de la maladie naturelle) et d'autres encore en décèderont. [voir aussi la publication du Dr Gary Goldman sur la sous-estimation notoire des effets secondaires du vaccin contre la varicelle]. Et il est toutefois utile de préciser ici que ces chiffres n'englobent absolument pas le moindre effet secondaire chronique (à long terme) de ce genre de vaccins, effets qui ne sont jamais évalués dans le moindre essai clinique. Par conséquent, il n'apparaît pas du tout aussi évident que la vaccination généralisée contre la varicelle soit le "progrès" qu'on nous prétend, étant entendu aussi que l'immunité naturelle est gratuite, durable à vie (contrairement au vaccin), qu'elle n'est pas associée à un déplacement de l'âge de survenue de la maladie (avec ses effets pervers, hausse des zonas etc) ni à un risque particulier de maladies auto-immunes d'apparition différée.

 

Les officiels se gardent toutefois bien de corriger cette sous-notification lorsqu'ils prétendent évaluer le rapport bénéfices/risques des vaccins alors qu'ils effectuent pourtant un ajustement destiné à compenser la sous-notification des maladies naturelles contre lesquelles on vaccine! Deux poids, deux mesures donc...

 

On peut donc clairement considérer ces "experts" officiels pour ce qu’ils sont : de dangereux idéologues/scientistes tentés par une approche autoritaire et anti-démocratique. Bien sûr, ils se réclament en apparence d’une approche destinée soi-disant à assurer « la sécurité » du plus grand nombre. Mais il convient surtout de rappeler ici aux plus crédules la phrase de bon sens de Benjamin Franklin :  "Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux."

 

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commentaires

H
"Vous n'avez pas répondu à la question [...]<br /> Combien de cas de cancers auxquels les vaccins peuvent contribuer? Comment le savez-vous vu que cela n'a pas été évalué. [...]<br /> Vous affirmez des choses sans vouloir savoir et cerner les risques. [...] "<br /> <br /> C'est un plaisir sans cesse renouvelé que de vous lire. Vous affirmiez au tout début qu'il était certain que si on creusait la question, on trouverait que la balance serait négative. Vous ne cessez<br /> depuis d'admettre implicitement ne pas l'avoir quantifiée depuis, mais surtout vous montrez aussi qu'il vous est impossible d'imaginer les moyens de le faire... c'est pour cà que j'ai voulu vous<br /> aider... vous êtes quand même bien ingrates. Dans votre optique, c'est toujours aux autres de vérifier vos conclusions, plutôt que de les démontrer par vous-même et de creuser. Votre otpique remue<br /> beaucoup de vent, vous procure un sentiment de fausse importance, mais c'est pauvre intellectuellement parlant.<br /> <br /> Si l'absence de preuve n'est pas la preuve de l'absence, pour vous, l'absence de preuve devient preuve de vos craintes. Il est très facile et confortable de soutenir une position irréfutable, et<br /> d'ordonner au reste du monde de la réfuter. Ca prend deux secondes et ne demande aucun effort.<br /> Exemple de mon cru: Combien de cas de cancers auxquels les discussions sur internet peuvent contribuer? Vous ne pouvez pas prouver qu'internet ne cause pas de cancers...(puisqu'il vous sera<br /> impossible d'effectuer une étude connecté vs non connecté sur la durée d'une vie entière pour une population occidentale). C'est donc qu'internet en est bien la cause. CQFD et Game Ôver.
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I
<br /> <br /> Vous faites dans la caricature et vous inversez tout: c'est à ceux qui imposent des produits en s'enrichissant ainsi à bon compte qu'il incombe de prouver que leurs produits sont sûrs, et non<br /> l'inverse. Vous montrez que vous êtes totalement en faveur de produits expérimentaux et mal évalués. Quand il s'agit de gens doués de discernement, c'est déjà grave mais alors quand il s'agit de<br /> petits nourrissons dont l'avenir entier peut etre conditionné par ce genre d'idéologie, c'est encore plus grave. Vous comparez les vaccins à internet dans une analagie grotesque, niant ainsi<br /> l'impact profond et durable des vaccins sur le système immunitaire, un système au premier rang des phénomène de cancers, allergies, maladies auto-immunes etc. Vous aurez donc "démontré" les<br /> raisonnements circulaires de ceux qui s'en satisfont mais vous n'aurez guère réussi à démontrer qu'il est scientifiquement et médicalement raisonnable de se faire vacciner et de suivre docilement<br /> les conseils inconsistants des autorités.<br /> <br /> <br /> Bonne soirée quand même sur ce<br /> <br /> <br /> <br />
H
Un peu d'aide pour la partie bénéfices?<br /> <br /> Vos données VAERS datent un peu... et on peut trouver plus précis que ce qu'en dit Miss anti-vaccins USA. En 2 minutes de recherches google, on peut trouver qu'entre 1995 et 2005, il y a eu 1276<br /> hospitalisations et 60 décès (dont 23 quand le vaccin varicelle est donné séparément) notifiés après vaccination varicelle.<br /> D'autre part, vu les données épidémiologiques, on peut estimer que la vaccination a permis sur ces 10-11 ans d'éviter environ 70000 hospitalisations et environ 700 décès liés à la varicelle. Une<br /> bonne partie des vaccinations varicelle se font selon la combinaison MMRV. On a deux possibilités:<br /> -Tenir compte des décès évités du coté MMR, donc surtout la rougeole. On a de l'ordre de 2000 décès évités sur 10 ans par MMRV si on considère que la moitié des enfants vaccinés "Measles" le sont<br /> vias MMRV. Du coup on de l'ordre de 2700 décès évités contre 60 décès notifiés.<br /> -ou alors on attribue arbitrairement 1/4 des décès notifiés pour la combinaison MMRV à la valence V. On tombe alors à 38 décès à comparer avec les 700 évités.<br /> <br /> Quel est la taux de sous-notification?<br /> <br /> -On peut estimer celui des thrombotrucs.<br /> Pour un MMR classique on s'attend à un risque de 1/30000 doses, du aux valences Measles et Rubella (maladies éruptives). Mettons qu'en rajoutant la Varicelle (autre maladie éruptive), on ait<br /> 1.5/30000 doses. Or la notification est de 0.3/100000, ou encore 0.1/30000 au lieu de 1/30000. Donc on a une sous-notif d'un facteur 10 (ou encore 10% des thrombo ont été notifiées).<br /> -On peut aussi estimer celui des convulsions.<br /> On s'attend à 6/10000 doses. Or on a 1.8/100000 notifications, ou encore 0.2/10000. Donc sous-notif d'un facteur 30. Ou encore 3% des convulsions sont notifiées.<br /> <br /> On trouve bien la fourchette des environ 1% à 10% d'effets secondaires graves notifiés (c'est beau, c'est fort... vous aviez déjà essayé de vérifier cà par vous-même?)<br /> On comprend aussi que la sous-notification est inversément proportionnelle à la gravité de l'effet secondaire (les thrombo, c'est souvent plus inquiétant, car plus long, que les<br /> convulsions...).<br /> Pour les décès (qui seraient quand même "the most serious adverse effects"), en toute logique vous ne pourrez donc pas multiplier par 100, et probablement pas par 10 non plus. Explications à la<br /> louche:<br /> <br /> De nos jours, la mortalité avant un an au USA est de l'ordre de 6/1000 par an, et celle avant 5 ans de l'ordre de 8/1000.<br /> Bref, on va dire 1/1000 pour les enfants en âge d'être vaccinés.<br /> 1/1000, pour 4 millions de naissances annuelles, ca fait de l'ordre 40 000 décès TOUTES CAUSES CONFONDUES sur la période de 10 ans et demis chez les vaccinés. Il existe tellement de causes<br /> possibles et connues de décès ... à peu près 10% (400) ne seront pas "clairement explicables". Selon votre conception d'un monde super vilain (entre les OGM, la pollution, les médicaments, le<br /> nucléaire, et j'en oublie surement...), on va dire selon votre logique que c'est la faute aux vilains vaccins dans 10 % des cas "inexpliqués". Ca fait 400. Mais là on ne regarde que la vaccination<br /> V ou MMRV. Donc disons que V, c'est 10% de tous ce qui est attribuable aux vaccins. Reste 40... ah ben tiens on retrouve un ordre de grandeur proche des 38 obtenus plus haut. Donc vous ne pourrez<br /> pas multiplier par 100, ni probablement par 10, à moins de faire dans la génération spontanée d'enfants à faire décéder... (Et même si vous mutlipliez par 10 le vaccin gagne...)<br /> <br /> Il est donc strictement impossible que la vaccination varicelle cause plus de décès qu'elle en évite. Il n'y a pas assez d'enfants qui décèdent aux USA pour pouvoir justifier vos craintes...
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I
<br /> <br /> Vous n'avez pas répondu à la question:<br /> <br /> <br /> pourquoi pas d'analyse du potentiel cancérogène des vaccins (alors que bien pour d'autres médicaments), allez zou, répondez? Oserez-vous déduire, parce qu'une telle évaluation n'est pas faite que<br /> pour autant, aucun cancer ne peut être dû aux vaccins? Combien de cas de cancers auxquels les vaccins peuvent contribuer? Comment le savez-vous vu que cela n'a pas été évalué. Absence de preuve<br /> n'est PAS égale à preuve de l'absence même si ce raccourci grossier sointe de chacune de vos phrases.<br /> <br /> <br /> Pourquoi les essais cliniques de vaccins ne portent que sur quelques jours ou semaines après chaque dose de vaccins? Où sont vos preuves que les vaccins n'induisent pas des maladies graves à long<br /> terme? Où est votre science et votre rigueur vu qu'on n'a jamais osé comparé dans des études officielles des gens vaccinés à des gens vierges de tout vaccin, de façon à éviter ce biais?<br /> "Etrange", on remarque que les non vaccinés sont moins hospitalisés et visitent moins les médecins.<br /> <br /> <br /> Vous affirmez des choses sans vouloir savoir et cerner les risques. Par idéologie, vous vous accrochez à tenter de justifier l'injustifiable (càd une Science biaisée). Nous, nous attendons que<br /> les gens qui sont responsables de politiques massives et aveugles apportent les justifications élémentaires que leurs politiques ne font pas globalement plus de tort que de bien. Vous n'avez pas<br /> pu apporter la preuve de ces éléments, compte tenu des carences graves dans l'évaluation de la sécurité des vaccins, telles qu'évoquées ci-dessus.<br /> <br /> <br /> <br />
H
J'attends que précisiez vos conclusions sous forme d'une estimation de Xb et Xr. Je n'ai rien vu dans votre "détaillage" qui permette de le faire aisément pour le lecteur lambda que je suis.<br /> <br /> Il devrait pourtant être facile pour vous de synthétiser votre propos, puisque que vous êtes au top du top. Essayez la forme conventionnelle des articles dans les revues scientifiques (contexte,<br /> données, méthodes, résultats, conclusions...). Vous gagnerez en lisibilité, ce qui serait apprécié par TOUS vos lecteurs non?
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H
"Vous devriez le demander en priorité à ceux qui avalisent la vaccination"<br /> <br /> Vous disiez pourtant que vous pouviez le faire facilement et que les autres vilains pas beau n'étaient pas motivés pour le faire.<br /> <br /> Là on dirait juste que vous n'est pas motivée pour rater une occasion facile d'avoir raison.<br /> <br /> Vous êtes quand même contradictoires.
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I
<br /> <br /> On a détaillé en quoi les affirmations des officiels étaient simplistes et biaisées mais ça n'a pas l'air de vous troubler. Est-ce que discuter avec un mouton qui suit aveuglément une<br /> recommandation officielle sans s'enquérir de la qualité méthodologique des preuves sur lesquelles ils basent des décisions qui impliquent pourtant sur le long terme la santé de centaines<br /> de milliers d'enfants, a encore du sens?<br /> <br /> <br /> Il nous semble que vous refusez de lire les éléments évoqués qui permettent d'entrevoir assez facilement que les bénéfices ne sont pas là où on croit (pas pour les enfants donc mais pour les<br /> comptes en banque des fabricants). Nous vous laissons donc dans votre idéologie. Si vous étiez médecin, (peut-être l'êtes vous?), il se pourrait un jour qu'un patient vous demande pourquoi vous<br /> l'avez vacciné sans vous être enquis de l'ampleur possible des risques et de leur sous-estimation. Que lui répondriez-vous alors?<br /> <br /> <br /> <br />
H
« Nous montrons, sans grandes difficultés que les prétendues hospitalisations évitées peuvent être compensées par des risques nettement plus graves […] »<br /> <br /> Ah vous avez montré maintenant…<br /> Que valent Xb et Xr (ou a et b si vous préférez…) ?<br /> <br /> « Ca ce serait une vraie comparaison. Mais ça ne tente évidemment guère les officiels […] »<br /> <br /> Qu’attendez-vous pour alors pour le faire ?<br /> Que valent Xb et Xr ?
Répondre
I
<br /> <br /> Vous devriez le demander en priorité à ceux qui avalisent la vaccination et qui, de par leur décision, vont imposer à des nourrissons innocents et n'ayant pas voix au chapitre une Xième<br /> vaccination de plus (avec les risques, y compris génétiques qui y sont associés mais non évalués), ça ce serait malin de votre part. Avec les éléments sur lesquels nous attirons l'attention, nous<br /> montrons bien que les choses ne sont pas aussi simplistes que les experts officiels et des gens comme vous (qui leur faites aveuglément confiance) le prétendez..<br /> <br /> <br /> <br />

                    

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