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21 septembre 2010 2 21 /09 /septembre /2010 22:16

Alors que la supercherie a été, et ce plus d'une fois,  très clairement mise à jour depuis cette scandaleuse campagne vaccinale militaire, en France notamment, voilà que des gens de l'Institut national de veille sanitaire (InVs) et de l'European Center for Disease Control (ECDC) rédigent un article déplorant l'insuffisance de "couverture vaccinale" contre le H1N1, un virus bénin et insignifiant contre lequel il était logique, légitime et scientifiquement fondé de ne pas chercher à se protéger avec des mesures hasardeuses et plus risquées encore...

Comme chacun pourra le constater, il est préoccupant pour la santé publique -la vraie-  que des soi disant scientifiques continuent de s'entêter dans une vision irréaliste et purement idéologique, tout cela pour ne surtout pas avoir à se remettre en question!

 

Comme l'a dit avec bon sens Claude Bernard:

 

"Quand le FAIT que l'on rencontre ne s'accorde pas avec une théorie régnante, il faut accepter le fait et abondonner la théorie."

 

Ici, comme toujours, quelle était la théorie (non vérifiée d'ailleurs)?

Que la vaccination est le seul moyen de protection et qu'il faut se protéger du méchant virus H1N1....

 

Et le fait?

Que le virus est bénin, qu'il n'y a pas besoin de tout un arsenal et qu'il existe d'autres solutions plus douces et plus efficaces pour renforcer son immunité d'une façon générale (et pas seulement contre le H1N1)

 

Voici à présent à quoi les scientifiques payés par les contribuables perdent leur temps:

 

 

"Insuffisance de couverture vaccinale grippale A(H1N1)2009 en population générale et dans les groupes à risque durant la pandémie 2009-2010 en France"

 

Date de soumission: 22/07/2010

 

1/ Institut de veille sanitaire, Saint-Maurice, France
2/ EPIET- European Programme for Intervention Epidemiology, ECDC, Stockholm, Suède

 

 

RÉSUMÉ

 

La campagne de vaccination contre la grippe A(H1N1)2009 a débuté en France le 20 octobre 2009. Une invitation de vaccination gratuite dans un centre dédié a été envoyée par la Caisse nationale d’assurance maladie à tous les assurés sociaux en commençant par les groupes prioritaires. Les données individuelles ont été saisies dans une base de données centralisée contenant 64,9 millions d’enregistrements. Nous avons estimé la couverture vaccinale globale et dans des groupes à risque spécifiques. Celle-ci a été définie comme le nombre de personnes ayant reçu au moins une dose de vaccin pandémique dans un groupe donné sur l’ensemble de la population invitée à se faire vacciner dans le même groupe.

 

La couverture globale était de 7,9%. Elle variait avec l’âge : elle était la plus élevée chez les enfants de 6-23 mois (20,7%), diminuait ensuite pour atteindre 3,1% chez les personnes âgées de 18-24 ans, augmentait pour se situer entre 5 et 8% chez les adultes plus âgés et était de 7,6% chez les personnes âgées de 65 ans ou plus. Les femmes jeunes (25-44 ans) étaient mieux vaccinées que les hommes jeunes (8,2% versus 5,9%, p<0,001), alors que les hommes étaient mieux vaccinés que les femmes après 45 ans (8,2% versus 6,0%, p<0,001). Les estimations de couverture dans les 22 régions de France métropolitaine variaient de 6,1% (Languedoc-Roussillon) à 12% (Bretagne) (médiane=8,2%). La couverture chez les femmes enceintes était de 22,7%.

 

Ces faibles couvertures vaccinales confirment que la population française a été peu réceptive aux messages délivrés par les autorités sanitaires, et reflètent probablement les controverses concernant le vaccin A(H1N1)2009 et l’organisation de la campagne vaccinale, ainsi que la faible perception du risque lié à la grippe pandémique par la population. Ces résultats sont importants pour préparer les mesures à prendre en prévision de la nouvelle saison grippale et pour les futures pandémies.

 

 

 

Dans le reste de l'article, on peut notamment lire ceci:

 

"L’ensemble de ces données confirment que la population française a été peu sensible aux messages délivrés par les autorités sanitaires. Elles reflètent très probablement l’impact négatif des controverses aussi bien autour du vaccin (notamment les rumeurs selon lesquelles les vaccins auraient été produits trop rapidement et leur innocuité pas complètement démontrée, en particulier pour les vaccins adjuvantés), qu’autour de l’organisation de la campagne vaccinale, basée sur des centres de vaccination mis en place spécifiquement pour cette occasion [4]. Elles sont aussi le reflet d’une perception de la grippe A(H1N1)2009 par la population comme étant une maladie peu grave [13]. Ces raisons, parmi d’autres [8], ont vraisemblablement conduit la population française à douter de la nécessité de se faire vacciner. Ceci s’est traduit par des couvertures vaccinales très faibles qui doivent faire réfléchir au contenu des messages et à la manière dont ils devront être délivrés lors de la prochaine saison grippale et lors d’une éventuelle nouvelle situation pandémique. En particulier, une réflexion pourrait être menée sur une communication spécifiquement orientée vers les sujets les plus à risque de complications."

 

 

Source: Bulletin Epidémiologique hebdomadaire (BEH) n°3 du 16 septembre 2010

 

Vous voilà prévenus de deux choses:

 

- Il faut fourguer du vaccin à tout prix, par principe (car pour des gens formatés, microbe veut forcément dire vaccins, ils ne connaissent que ça)

 

- Il est partout question de "nouvelle pandémie", de "nouvelle situation pandémique"...

 

 

 

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