3 août 2010 - traduction
Les enfants qui avaient reçu le vaccin en Australie, fabriqué par la firme CSL et commercialisé en Angleterre par la firme Pfizer ont souffert de convulsions fébriles dans les heures et les jours qui ont suivi leur vaccination.
La lettre envoyée à tous les médecins généralistes par le Pr Salisbury disait : « Les informations épidémiologiques en provenance de l’Australie indiquent qu’il y a eu une hausse plus importante que prévue de convulsions fébriles chez les enfants en relation avec le vaccin Fluvax (fabriqué par CSL) »
Le vaccin (trivalent) contient notamment :
- La souche virale A H1N1
- De la néomycine (antibiotique) , un toxique pour le système immunitaire
- De la polymyxine (antibiotique), un toxique pour le système nerveux
- Du déoxycholate de sodium, un toxique pour le système immunitaire
- Du chlorure de potassium, un toxique pour le système nerveux
« C’est le même produit qui va être commercialisé au Royaume-Uni par Pfizer sous le nom de Enzira comme vaccin grippal saisonnier pour la saison 2010/11.
Les convulsions fébriles touchent environ 1 enfant sur 20 et sont normalement causées par une infection. La réaction du corps à une fièvre élevée se manifeste par une perte de conscience de l’enfant et par des mouvements désordonnés des bras et des jambes. Les enfants peuvent devenir pâles ou bleus de façon brève et après quelques minutes normallement, les secousses cessent.
Les attaques peuvent être très effrayantes pour les parents et les enfants sont généralement admis à l’hôpital après la première crise convulsive afin d’en rehercher la cause.
L’Australie, qui traverse actuellement sa saison hivernale, a cessé de vacciner les enfants en dessous de 5 ans quand une augmentation des convulsions a été établie. L’Australie a cependant repris la vaccination avec d’autres produits.
Un porte-parole de Pfizer a dit: “La cause de l’inattendue hausse de fréquence des convulsions fébriles reste inconnue et les investigations se poursuivent.”
Un porte-parole du Ministère de la Santé a dit : "Dans le cadre du programme australien de vaccination contre la grippe, un certain nombre d’enfants ont reçu un type de vaccins connu sous le nom d’Enzira (Fluvax en Australie). Une petite proportion de ces enfants de moins de 5 ans ont eu des convulsions après avoir été vaccinés."
Source: Preventdisease.com
Mais hélas, ce n'est pas tout!
A côté de la septantaine de cas de convulsions fébriles officiellement répertoriés, il y en a des centaines d'autres! Le Dr Richardson, pédiatre australien a déclaré à la TV qu'en 20 ans de pratique, il n'avait jamais vu autant de cas de convulsions fébriles chez des enfants en bonne santé après une vaccination.
Mais, surtout, surtout... il y a le décès d'une petite fille de 2 ans, jusque là en pleine santé, retrouvée morte dans son lit quelques heures après avoir été vaccinée avec le vaccin trivalent (comprenant la souche H1N1), le vaccin justement incriminé dans la hausse des cas de convulsions fébriles. Un décès visiblement très gênant pour les officiels puisque "ce décès n'a pas été notifié du tout à la pharmacovigilance australienne" (!) peut-on lire sur l'excellent blog Pharmacritique.
Comme nous l'avions déjà dénoncé en télé, dans nos communiqués et sur notre site (cfr article intitulé "Une pharmacovigilance non fiable"), les failles en matière de pharmacovigilance ne sont gravissimes et généralisées à l'échelle du monde: loin de se limiter à ce seul exemple australien, elles concernent donc aussi notre pays.
Ainsi, la Déclaration de Berlin sur la pharmacovigilance stipule que, dans le meilleur des cas, seuls 5% des effets secondaires des médicaments sont réellement signalés !
En aucun cas, les autorités ne connaissent donc le nombre réel d'effets secondaires et dès lors, elles sont incapables de fournir au public une estimation fiable du véritable rapport bénéfices/risques des vaccins, encore moins quand leur développement a été aussi bâclé.
Et hélas, comme l'explique très bien cet article de Pharmacritique, les choses risquent bien d'aller en empirant car le "package pharmaceutique" que nous concoctent la Commission Européenne et le lobby pharmaceutique prévoit, à terme, l'abandon pur et simple de la pharmacovigilance aux laboratoires juges et parties.
Ceux-ci pourront donc commercialiser des vaccins insuffisamment testés auprès de millions de patients-cobayes et ce à la seule condition que ces firmes mettent en place un "plan de gestion des risques"!
Lire ICI cet article de Pharmacritique