1er août 2012
Medical Xpress- Des chercheurs du Queensland (Australie) ont démontré que la résurgence de la coqueluche chez les bébés s'accroît en raison du manque d'efficacité du vaccin actuellement utilisé.
L'étude en question a mis en évidence un risque trois fois plus grand de contracter la coqueluche chez les enfants vaccinés avec l'actuel vaccin par rapport aux enfants vaccinés avec l'ancienne version du vaccin.
Les résultats de l'Université du Queensland, de l'Institut de Recherche Infantile du Queensland et de l'hôpital royal des enfants viennent d'être publiés dans le célèbre journal de l'Association Médicale Américaine (JAMA).
Bien que plus sûr que son prédécesseur, les résultats de cette étude dirigée par le Dr Sarah Sheridan ont montré que le vaccin actuel était aussi moins efficace que l'ancien.
Le Pr Stephen Lambert, chercheur senior associé à cette étude, a expliqué que la nouvelle version du vaccin (= acellulaire) a été introduite dans le schéma vaccinal australien en 1999 parce qu'il engendrait moins d'effets secondaires que l'ancien vaccin.
Selon le Pr Lambert, il y a plusieurs messages-clé qui se dégagent de cette étude, tant pour les parents que les cliniciens.
"Le message-clé à retenir par les cliniciens est qu'ils ne doivent pas exclure le diagnostic de coqueluche chez les enfants au seul motif que ceux-ci ont été vaccinés."
"Et pour les parents, ils devraient être rassurés sur l'idée que la vaccination offre toujours la meilleure protection contre le risque de développer la coqueluche. (sic!)
"Les jeunes enfants qui ne sont pas vaccinés ont un risque beaucoup plus grand de contracter la maladie et de développer de sérieuses complications."
Le Pr Lambert a expliqué qu'avant 1998, le vaccin était produit à partir de cellules entières de la bactérie morte de Bordetella Pertussis.
"Bien qu'il s'agissait d'un vaccin hautement efficace en général, il provoquait fréquemment des réactions locales comme des rougeurs, des gonflements et de la douleur au site d'injection et moins fréquemment, des réactions systémiques comme de la fièvre ou des pleurs persistants."
En 1998, un vaccin acellulaire, fabriqué à partir de quelques parties seulement de la bactérie coquelucheuse avec moins d'effets secondaires associés, fut introduit et l'on supposait qu'il aurait une efficacité similaire à l'ancien.
L'étude de l'Institut de Recherche Infantile du Queensland a porté sur plus de 40 000 enfants du Queensland nés en 1998, qui furent vaccinés contre la coqueluche.
Ils ont alors remarqué que ceux vaccinés avec toutes les doses recommandées du nouveau vaccin acellulaire avaient trois fois plus de risque de contracter la coqueluche dans le contexte de l'épidémie actuelle par rapport à ceux vaccinés avec l'ancienne version du vaccin (à germes entiers).
"La hausse de risque associée au changement de vaccin est faible et se chiffre à environ 1 cas de coqueluche supplémentaire chaque année sur 500 enfants complètement vaccinés." a aussi commenté le Pr Lambert.
Le Pr Lambert a cependant mis en garde, en insistant sur l'importance cruciale que les parents continuent de s'assurer que leurs enfants sont vaccinés contre cette maladie.
"Nous savons, sur base des données du Queensland, que le vaccin actuel acellulaire contre la coqueluche est encore hautement efficace, et les malchanceux qui contractent la coqueluche après avoir été vaccinés, auront une maladie moins sévère et seront moins contagieux que ceux qui n'auront pas été vaccinés."
"Ces données pourraient apporter un éclairage sur la résurgence de la maladie à laquelle nous assistons actuellement dans les plus jeunes groupes d'âge, en Australie."
"En effectuant le changement de vaccin en 1999, nous pourrions avoir échangé une part d'efficacité accrue que l'ancien vaccin à germes entiers fournissait contre une meilleure tolérance du nouveau."
"En regardant plus globalement l'ensemble de la situation, il apparaît que nous ne disposons pas du vaccin parfait contre la coqueluche et cela nous donne une raison de travailler à un nouveau vaccin plus efficace et tout aussi sûr contre la maladie."
Source: Medical Xpress
Une fois encore, il s’agit de sauver l’image de marque des vaccins, en dépit de tous leurs échecs. S’ils échouent ? Il faudra produire un nouveau vaccin mais surtout, surtout continuer à vacciner entretemps avec le vaccin disponible !!
S’ils causent beaucoup (trop) d’effets secondaires ? Tant pis, continuons, comme on l’a vu avec la sordide position de l’Académie française de Médecine qui prône la poursuite de l’utilisation massive de vaccins aluminiques neurotoxiques au seul motif qu’on a rien d’autre en remplacement !
Tout ceci démontre que plus les officiels nous présentent un vaccin comme « efficace », plus il engendre un risque d’effets secondaires important.
Tout le processus vaccinal est incontrôlable, même si les chercheurs ont eu l’arrogance de croire qu’ils « maîtrisaient tout » sur la seule base de leurs calculs des taux d’anticorps. La réalité, c’est donc bien que tout a été axé sur l’idéologie des vaccins et que les chercheurs ont bien trop peu étudié la maladie et les mécanismes NATURELS de défense de l’organisme contre celle-ci. Ainsi, s’ils avaient commencé par ces pré-requis élémentaires, ils auraient sans doute trouvé de meilleurs remèdes pour traiter efficacement dans tous les groupes d'âge les cas de coqueluche quand ils surviennent, sans pour autant dramatiser la maladie au profit de fabricants de vaccins éphémères mais lucratifs.