D’après REUTERS
Les liens entre la narcolepsie et le vaccin contre la grippe de GSK deviennent de plus en plus évidents
Kate Kelland, Health and Science Correspondent, Reuters
22 janvier 2013
Stockholm (Reuters)
Emilie est en proie à des hallucinations et des cauchemars. Quand elle se réveille, elle est souvent paralysée, elle ne parvient plus à respirer normalement ou même appeler à l’aide. Au cours de la journée, elle peut à peine rester éveillée. Elle manque souvent l’école et ne peut plus guère s’amuser avec ses amies. Elle n’a que 14 ans, mais elle se demande parfois si sa vie vaut encore la peine d’être vécue.
Emilie Olsson s’endort alors qu’elle regarde la télévision dans son appartement de Stockholm. le 17 janvier 2013. Emilie est l’un des quelque 800 enfants en Suède et ailleurs en Europe qui ont développé la narcolepsie, un trouble du sommeil incurable, après avoir été vaccinés en 2009 avec le vaccin Pandemrix contre la grippe porcine (H1N1), fabriqué par le groupe pharmaceutique britannique GlaxoSmithKline.
Emilie est l’un des enfants en Suède et ailleurs en Europe qui ont développé la narcolepsie, un trouble du sommeil incurable, après avoir été vaccinés en 2009 avec le vaccin Pandemrix contre la grippe porcine H1N1 fabriqué par le groupe pharmaceutique GSK.
La Finlande, la Norvège, l’Irlande et la France ont également connu des pics de narcolepsie. Les personnes qui connaissent les résultats d’une étude qui sera bientôt publiée en Grande-Bretagne, ont déclaré à Reuters que cette publication montrera une tendance similaire pour les enfants de ces pays.
Le destin de ces enfants, en proie à une maladie qui détruit toute vie normale, est en train de devenir ce qu’un agent suédois de la Santé (qui a coordonné le programme de vaccination) n’a pas hésité à appeler « une tragédie médicale ». Cette tragédie va nécessiter une attention médicale et scientifique croissantes.
Au niveau de l’Europe, il a été précisé que le Pandemrix ne pourrait plus être utilisé chez des personnes en-dessous de 20 ans. Le médecin-chef de la division vaccins chez GSK, Norman Begg, affirme que son département prend la question très au sérieux et qu’il est absolument déterminé à aller jusqu’au bout des choses, mais il ajoute qu’il n’existe pas encore suffisamment de données ou de preuves pour suggérer un lien de causalité.
« Il n’y aucun doute dans mon esprit que le Pandemrix a augmenté la fréquence de l’apparition de la narcolepsie chez les enfants de certains pays, et probablement dans la plupart des pays », précise Mignot spécialiste des problèmes de sommeil à l’Université de Stanford aux Etats-Unis.
30 MILLIONS DE PERSONNES ONT RECU LE PANDEMRIX
Au total, le vaccin de GSK a été administré à plus de 30 millions de personnes dans 47 pays au cours de la pandémie de grippe porcine H1N1 de 2009-2010. Du fait que le vaccin contenait un adjuvant, il n’a pas été utilisé aux Etats-Unis parce que les autorités compétentes se méfient des vaccins avec adjuvants.
GSK reconnaît qu’en Europe, 795 personnes ont affirmé avoir développé une narcolepsie depuis le lancement du vaccin en 2009.
Plusieurs questions font, pour le moment, l’objet d’intenses investigations scientifiques comme par exemple les suivantes : Par quels mécanismes la narcolepsie est-elle liée au Pandemrix ? Quels sont les facteurs déclenchants et les mécanismes biologiques qui ont pu entrer en ligne de compte ? Y aurait-il une susceptibilité génétique sous-jacente ?
Mais les experts de tous bords se méfient. Des effets secondaires rares pourraient rapidement entraîner la « peur des vaccins » qui pourrait prendre une importance disproportionnée et, comme le précise un des plus grands experts européens, entamer la confiance du public dans des vaccins qui contrôlent des tueurs potentiels comme la polio et la rougeole.
« Personne ne veut être le prochain Wakefield » déclare Mignot, s’en référant au médecin britannique discrédité et qui a depuis longtemps suscité une réaction contre le vaccin ROR avec de fausses allégations de liens avec l’autisme. [notes d’IC en fin d’article à ce sujet !!]
Avec les études sur la narcolepsie, rien n’indique que les résultats seront le travail d’un médecin voyou.
Des équipes indépendantes de chercheurs ont publié des études revues par les pairs en Suède, Finlande et Irlande, montrant que le risque de développer une narcolepsie après les campagnes de vaccination de 2009-2010 était de 7 à 13 fois plus élevé pour les enfants qui avaient été vaccinés avec le Pandemrix par rapport à des enfants non vaccinés.
« Nous voulons vraiment aller au fond des choses. Ce n’est dans l’intérêt de personne qu’il existe des problèmes de sécurité. Ils doivent être étudiés. » a déclaré Begg de GSK.
LA VIE A CHANGE
Les parents d’Emilie, Charles et Marie Olsson, rappellent que leur fille était une étudiante brillante qui aimait jouer du piano, prendre des leçons de tennis, de création artistique et s’amuser avec des amis. Mais sa vie a commencé à changer au début 2010, quelques mois après avoir reçu le Pandemrix. Au printemps 2010, les parents ont remarqué qu’elle était souvent fatiguée et avait besoin de dormir quand elle rentrait de l’école. Mais ce n’est qu’en mai, quand elle s’évanouissait à l’école, qu’il est devenu clair que quelque chose de grave se passait.
En plus des épisodes de somnolence diurne, la narcolepsie provoque des cauchemars, des hallucinations, des paralysies pendant le sommeil, ainsi que des épisodes de catalepsies lorsque des émotions fortes déclenchent une perte soudaine et spectaculaire de la force musculaire.
Dans le cas d’Emilie, le fait de s’amuser est précisément le déclencheur émotionnel. « Je ne peux plus rire ou plaisanter avec des amis parce qu’alors, je tombe en catalepsie et je m’effondre » a-t-elle déclaré au cours d’une interview dans la capitale suédoise.
On estime que la narcolepsie affecte entre 200 et 500 personnes par million et constitue une maladie irréversible. Il n’existe pas de remède connu et les scientifiques ne savent pas vraiment ce qui provoque la maladie. Ils savent seulement que les patients souffrent du déficit d’un neurotransmetteur du cerveau appelé orexine, connu aussi sous le nom d’hypocrétine qui régule l’état d’éveil.
La recherche a montré que certaines personnes naissent avec une variante du gène HLA qui est l’indicateur d’une hypocrétine faible, chose qui les rend plus sensibles à la narcolepsie. On pense qu’environ 25% des Européens sont censés avoir cette vulnérabilité génétique.
GSK finance une étude au Canada où son vaccin Arepanrix avec adjuvant (vaccin similaire au Pandemrix) a été utilisé au cours de la pandémie 2009-2010. L’étude ne sera pas terminée avant 2014. Certains experts craignent que cette étude n’apporte pas beaucoup de lumière sur la question vu que les vaccins étaient semblables, mais pas tout à fait les mêmes.
A ce niveau de la recherche, il reste plus de questions qu’il n’y a de réponses et encore beaucoup plus de recherches à réaliser.
Lorsque les résultats du test d’hypocrétine d’Emilie ont été connus en novembre de l’année dernière, on a pu se rendre compte qu’elle avait 15% de la quantité normale, état typique d’une sérieuse narcolepsie avec catalepsie.
La gravité de son étrange maladie l’a forcée à réfléchir sur la vie, beaucoup plus profondément que ne le feraient beaucoup de jeunes de son âge : « Au début, je ne voulais vraiment plus vivre, mais aujourd’hui, j’ai appris à mieux gérer les choses. » déclare-t-elle.
LES DECLENCHEURS ?
Les scientifiques qui étudient ces cas se sont plus précisément penchés sur l’adjuvant du Pandemrix, le ASO3 pour trouver des indices.
Certains suggèrent que l’ASO3, ou peut-être son effet stimulant, ou encore la grippe H1N1 elle-même, pourraient déclencher l’apparition de la narcolepsie chez les personnes qui possèdent la variante sensible du gène HLA.
Angus Nicoll, un expert du Centre Européen de Prévention et de Contrôle des Maladies (ECDC) estime que les gènes pourraient bien jouer un rôle, mais qu’il ne faudrait pas leur imputer toute la responsabilité.
« Oui, il existe une prédisposition génétique à cette maladie, mais cela ne suffit pas à expliquer tous ces cas », a-t-il déclaré. « Il y a aussi quelque chose qui a un rapport avec le fait de recevoir telle vaccination spécifique. Qu’il s’agisse du vaccin et de la prédisposition génétique ou qu’il y ait aussi un troisième facteur – comme par exemple une infection. Nous ne savons tout simplement pas encore. »
EST-CE QUE CA EN VALAIT VRAIMENT LA PEINE ?
Dans son bureau qui surplombe l’église Maria Magdaléna de Stockholm, Goran Stiernstedt, médecin fonctionnaire de Santé publique a passé de nombreuses heures difficiles par rapport à ce qui s’est passé dans son pays au cours de la pandémie de grippe porcine. Il s’est demandé si la situation aurait pu être différente.
« La grande question : est-ce que ça en valait vraiment la peine ? Rétrospectivement, je dois dire que non », a-t-il déclaré à Reuters, dans une interview.
Etant un pays riche, la Suède a toujours été à l’avant plan en ce qui concerne les vaccins pandémiques. La Suède a reçu le Pandemrix de GSK dès qu’il a été disponible. Une campagne nationale de vaccination a immédiatement été organisée : 59%, soit environ 5 millions d’habitants ont reçu le vaccin.
Stiernstedt, Directeur de la Santé et des Services Sociaux de l’Association Suédoise des Autorités Locales et Régionales, a contribué à coordonner la campagne de vaccination dans les 21 régions de Suède.
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) dit que la pandémie de 2009-2010 a tué 18.500 personnes, bien qu’une étude publiée l’année dernière signale que le total pourrait être 15 fois plus élevé.
Bien que les estimations puissent varier, Stiernstedt dit que la vaccination de masse en Suède contre la grippe porcine a sauvé la vie de 30 à 60 personnes. Pourtant, depuis que la pandémie a pris fin, plus de 200 cas de narcolepsie ont été signalés en Suède.
Avec le recul on peut donc dire que la relation bénéfices/risques est inacceptable. « C’est une tragédie médicale » a-t-il déclaré. « La vie de centaines de jeunes a pratiquement été détruite ».
LES PANDEMIES SONT DES CAS D’URGENCE
Le problème avec les analyses bénéfices/risques est qu’elles se présentent d’une manière radicalement différente quand le monde doit faire face à une pandémie qui pourrait anéantir des millions de vies. La situation est toute différente quand il s’agit d’une pandémie comme celle du H1N1, qui s’est avérée beaucoup plus faible que ce qu’on avait craint.
David Salisbury, directeur des services gouvernementaux britanniques de la vaccination, dit : « c’est là que réside le risque et la difficulté du travail en matière de Santé Publique », lorsque surviennent des cas d’urgence par rapport à tel ou tel virus.
Le Pandemrix a été autorisé par les organismes européens de réglementation des médicaments sur base d’un schéma de développement qui permet l’autorisation d’un vaccin avec une autre souche de grippe avant que la pandémie n’apparaisse. Dans le cas du Pandemrix, le substitut était le H5N1 de la grippe aviaire.
Quand l’OMS a déclaré la pandémie, GSK à remplacé la souche H5N1 par celle du H1N1 pour lancer le Pandemrix.
GSK déclare que la version finale du vaccin H1N1 a fait l’objet de tests cliniques sur 3.600 patients, y compris des enfants, des adolescents, des adultes et des personnes âgées, avant qu’il ne soit mis sur le marché.
Nicoll de l’ECDC dit que les systèmes d’alerte précoce qui donnent une analyse plus précise de la menace que présente une souche de grippe est la meilleure manière de minimiser les risques de ce genre de tragédie qui pourrait se produire dans le futur.
« Dans le cas d’une pandémie grave, le risque de décès est bien plus élevé que le risque de narcolepsie » a-t-il déclaré à Reuters. « Si nous avions passé plus de temps à développer et à tester le vaccin sur de larges couches de population et attendu de savoir si certaines personnes développaient des narcolepsies, une grande partie de la population aurait pu être décimée. »
Salisbury est d’accord et estime que des progrès vers un nouveau vaccin universel contre la grippe - vaccin qui n’aurait pas besoin de modifications de dernière minute lorsqu’une nouvelle souche apparaît- contribuerait à réduire davantage les risques.
« Idéalement, nous aurions un meilleur vaccin qui pourrait fonctionner contre toutes les souches de la grippe et nous n’aurions jamais plus besoin de nous inquiéter à ce sujet. » a-t-il déclaré. « Mais il y a pour cela encore un long chemin à parcourir ». Alors que les scientifiques sont confrontés à des années d’enquêtes et de recherches, Emilie veut, de son côté, tirer le meilleur parti de sa vie.
Alors que les scientifiques sont confrontés à des années d’enquêtes et de recherches, Emilie veut, de son côté, tirer le meilleur parti de sa vie.
C’est à contrecœur qu’elle accepte de prendre un cocktail de médicaments pour tenter de contrôler les symptômes de la narcolepsie. On lui prescrit de la Ritaline et du Sobril pour sa somnolence diurne et ses terreurs nocturnes. Elle prend aussi du Prozac pour tenter de la stabiliser et de limiter ses états de catalepsies.
« C’est l’une des choses qui me gêne le plus » explique-t-elle.
« Avant que je n’attrape cette maladie, je ne prenais aucun médicament et maintenant il faut que j’en prenne des quantités, et peut-être pour le restant de mes jours. Ce n’est pas bon de prendre autant de médicaments, surtout quand on en connaît les effets secondaires. »
(Reportage par Kate Kelland ; édité par Will Waterman)
Source: Health yahoo.fr
Cette dépêche appelle de nombreux commentaires. Parmi les principaux, nous retrouvons, dans l’ordre, les suivants :
- Si GSK admet 800 cas, il faut bien comprendre qu’il y en a eu bien plus que ça (seuls 1 à 10% des effets secondaires GRAVES des vaccins étant recensés, selon des revues médicales officielles !)
- Si ce vaccin a occasionné autant de victimes incurables (sans parler de tous les autres types d’effets NON MEDIATISES), c’est que « les autorités compétentes » ne sont pas si compétentes que cela et qu’elles ne méritent tout simplement plus notre confiance, quelle que soit l’époque (de pandémie ou non !)
- On retrouve pour cet effet secondaire vaccinal COMME POUR TOUS LES AUTRES en tout temps, cette même crainte d’éroder la confiance générale des gens dans tous les autres vaccins (car il y a encore beaucoup d’autres vaccins qui devront trouver des consommateurs-pigeons, près de 300 dans le pipeline des pharmas).
- La critique de Wakefield est affligeante et inconsistante étant donné que ses résultats ont dérangé depuis le début d’énormes intérêts commerciaux, qu’un juge d’une haute Cour britannique a estimé que Wakefield et ses collègues avaient fait l’objet nous citons d’une « chasse aux sorcières » et surtout, que ses résultats ont été à plusieurs reprise reproduits et donc confirmés par d’autres équipes de chercheurs qui eux, n’ont pas du tout été salis ni traînés dans la boue !
- Lorsque Begg, de GSK, affirme que ce n’est dans l’intérêt de personne de ne pas élucider cet effet secondaire, ça laisse en tout cas songeur quand on sait que ces pharmas récupèrent d’une main (en termes de malades chroniques, c'est-à-dire de consommateurs A VIE de leurs produits) ce qu’ils ont perdu de l’autre (ces gens ne souhaitant certainement plus accepter le moindre autre vaccin de leur vie). L'intérêt des pharmas à rendre leurs produits plus sûrs n'est donc pas du tout évident puisqu'en écoulant massivement des vaccins, ils font en réalité « coup double » : jackpot vaccinal à la vente et entretien/essor consécutif de leur vaste marché de médicaments pour malades chroniques !
- Alors que les maladies infectieuses sont majoritairement des maladies aigues, on les troque contre des maladies chroniques toujours incurables ! Il ne fallait pas être expert pour se rendre compte qu’un vaccin expérimental serait nettement plus risqué qu’une infection non certaine contre laquelle nous avions déjà une arme gratuite et non négligeable, notre propre système immunitaire !
- Les propos de Salisbury ne devraient plus duper personne. La première raison, c’est que cet homme, on ne peut plus lié aux pharmas, est impliqué jusqu’au cou dans les omissions et dissimulations volontaires des risques vaccinaux graves au public britannique depuis plus de 30 ans comme l’a révélé le contenu de documents gouvernementaux secrets arrachés au forceps par une chercheuse canadienne, en vertu de la Loi sur la Liberté de l’Information.
- Ce procédé de « maquette vaccinale » est un indice assez lourd que les prochaines pandémies sont activement attendues et préparées. La preuve, le H5N1 n’avait pas eu lieu mais on continue à financer d’arrache-pied à coup de millions de dollars des recherches sur cette future pandémie tant attendue… en temps de crise financière qui plus est et au motif de « mieux se préparer » ! Plus c’est gros, plus ça passe décidément !!
- Le vaccin Pandemrix n’avait été testé QUE sur un peu plus de 3000 personnes ! Pour mieux se rendre compte du problème, il est bon de savoir que certains effets gravissimes possibles ne sont pas toujours détectables avec des cohortes d’études de 100 000 personnes ! Encore un indice clair que ce vaccin était bel et bien expérimental donc, bien que la Ministre Onkelinx et l’Administrateur général de l’Agence belge du Médicament (AFMPS) aient cependant osé le nier sans vergogne sur les plateaux télés à l’automne 2009.
- L’argument de l’urgence pour justifier de foncer à l’aveuglette, tel qu’évoqué par Salisbury, ne tient absolument pas mais cet homme et surtout les intérêts financiers en jeu continuent d’emprisonner le public dans un carcan idéologique dramatique, consistant à faire croire que pandémie veut forcément dire « vaccins ». C’est le droit de cet « expert » de le penser MAIS PAS de faire pression pour imposer sa croyance à autrui. Rappelez-vous, les experts ne peuvent répéter QUE ce qu’ils ont appris et rien d’autre ! Etant payés par le lobby du vaccin, ils vont vous agiter la pseudo solution vaccinale comme étant vraiment « la seule possible », à saisir dans l’urgence. Mais ces lobbys, comme leurs valets, savent aussi que c’est dans l’urgence qu’on peut le plus FAIRE PEUR et donc limiter les possibilités de choix et de réflexion du public. Il est cependant important de comprendre qu’il existe d’autres solutions, destinées à renforcer par diverses méthodes naturelles le système immunitaire. Lors de la grippe espagnole, la mortalité dans les groupes traités à l’homéopathie était incomparablement réduite par rapport aux groupes traités de façon classique (30% pour les méthodes classiques Vs 1 à 5% seulement sous couverture homéopathique !)
En conclusion, on peut dire qu’avec des vaccins expérimentaux anti-H1N1 comme le Pandemrix le Code de Nuremberg a été lamentablement violé, bien que des générations précédentes se soient battues contre les expérimentations illicites des nazis. Il ne tient qu’à nous d’en prendre conscience pour ne plus jamais tolérer la moindre répétition de ce désastre qui pourrait s’avérer bien pire une prochaine fois !