« Si seulement on pouvait revenir en arrière ! »
AUSTRALIE
Ma fille… après le Gardasil !
Par Kate de Sydney, 22 juillet 2014.
Je suis l’heureuse maman d’une jeune fille intelligente, brillante, sympathique et très sage. Nous vivons à Sydney en Australie avec son papa, son petit frère et sa petite sœur. Je vais l’appeler S.G. comme dans l’expression «Survivante du Gardasil »
Mon premier enfant
Une fille merveilleuse,
Etonnamment talentueuse,
Particulièrement sage,
Merveilleusement belle,
Follement aimée comme tous les enfants
Aujourd’hui cependant sérieusement malade.
S.G. est le type même de personne que tout le monde adore.
Avant qu’elle ne reçoive le Gardasil, quantité d’amis se joignaient à nous pour célébrer ses réalisations.
Championne d’athlétisme.
Une voix à vous couper le souffle.
Avec le courage de chanter en solo au grand opéra de Syndney devant 600 choristes.
Elle n’avait alors que dix ans !
A l’école primaire, elle était le capitaine
Plus encore qu’une véritable enfant de rêve.
Quand G.S. fut en première année au lycée, j’ai donné mon consentement pour qu’elle reçoive le vaccin Gardasil.
Je croyais vraiment que j’allais la protéger.
Je n’ai pas pris la peine de me documenter sur les effets secondaires de ce vaccin avant de donner mon consentement. En gros, j’ai gobé le battage médiatique.
Voir ma chérie me faisait silencieusement hurler tous les jours.
Nous vivons aujourd’hui avec les conséquences de cette décision.
Le pire de tout c’est ce que ma fille a été forcée d’endurer suite à cette décision.
Les effets de la toxicité.
La réduction de la myéline dans son cerveau mise en évidence par les résultats d’une IRM lors de son dernier séjour à l’hôpital.
Diagnostic d’une maladie auto-immune
Ainsi que celui de P.A.N.D.A.S. (Troubles neuropsychiatriques pédiatriques auto-immuns)
Avec une dépression chronique à la clé.
Idéation suicidaire
Pression artérielle basse
Douleurs musculaires et articulaires
EEG pour enregistrer les crises
Incapacité de manger ou de boire seule, incapacité de faire quoi que ce soit.
Elle doit être sans arrêt motivée, encouragée à parler, bouger.
Doit dormir sur un matelas en dehors de sa chambre pour la protéger contre elle-même.
Obligation de cacher tous les couteaux et objets tranchants par crainte (très réelle) de tentative de suicide.
Trop malade pour pouvoir continuer ses études.
Elle se sent tellement inférieure à cause de cela !
Hospitalisations, déni, peurs, douleurs, angoisse, culpabilité.
Il y aurait encore tant à dire
Et tout ces drames continuent
Il n’y a pas de solution miracle.
Il faut continuer à « traiter » sans pouvoir guérir.
Nous avons été forcés d’accepter une espèce de nouvelle forme de normalité.
La situation n’est vraiment pas facile.
Nous sommes cependant tout à fait déterminés à faire l’impossible pour que notre fille ait la meilleure qualité de vie possible.
Il y a aujourd’hui quatre ans qu’elle a eu le vaccin Gardasil.
Nous continuons la bataille.
Notre S.G. continue aussi de se battre.
Nous n’avons pas le choix. Il n’y a pas d’autres options.
C’est une lutte de tous les jours.
Il y a tellement d’autres questions et préoccupations que je pourrais évoquer ici et que vous pouvez imaginer.
Je voudrais vous prier de vous informer sur les effets secondaires possibles du vaccin Gardasil. Consultez la notice du vaccin ; jetez un coup d’œil aux ingrédients contenus dans le vaccin. Réfléchissez avec grande attention aux effets secondaires possibles. Evaluez la santé générale de votre enfant, l’impact que pourrait avoir ce vaccin en termes de prédisposition génétique.
Il s’agit aussi de comprendre clairement que le vaccin Gardasil est source d’énormes profits pour ceux qui en assurent la promotion.
Il faut aussi comprendre clairement que la plupart des parents qui ont donné leur consentement pour l’administration de ce vaccin ne sont pas des hippies cinglés, des originaux ou des anti-vaccins mal informés.
Attendez-vous à ce que les médias traditionnels et la plupart des médecins vous traitent de cette manière s’il vous arrivait de refuser le vaccin.
Malheureusement, on est obligé de se rendre compte que les gouvernements et les entreprises pharmaceutiques veulent nous présenter de cette façon parce qu’il y va de leurs intérêts à eux.
Il est également beaucoup plus facile, plus sûr et plus pratique pour eux et nous de marcher dans les clous et de suivre le troupeau. Mais cela ne doit pas nécessairement être le cas parce que ce n’est tout simplement pas juste.
Ne vous laissez pas intimider.
L’argument de coïncidence est également fastidieux et sans fondement.
Quelle terrible et dure leçon il nous a fallu apprendre !
Si seulement on pouvait revenir en arrière !
Source : SaneVax
VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System)
Organisme officiel américain de vaccinovigilance qui recueille les rapports d’effets secondaires possibles des vaccins aux Etats-Unis. Il est contrôlé par le CDC et la FDA
Mise à jour des chiffres au mois de JUIN 2014 pour les
Vaccins contre le cancer du col de l’utérus
Rapports d’effets secondaires
Description | Total |
Infirmes | 1.156 |
Décès | 169 |
N’ont pas récupéré | 7.111 |
Frottis du col anormaux | 572 |
Dysplasies du col de l’utérus | 243 |
Cancers du col de l’utérus | 78 |
Cas où le pronostic vital a été engagé | 640 |
Visites aux urgences | 11.705 |
Hospitalisations | 3.679 |
Séjours hospitaliers prolongés | 251 |
Effets secondaires graves | 4.920 |
Effets secondaires | 35.270 |
P.S. Seuls 1 à 10% des effets secondaires seraient généralement rapportés