4/01/2012- La Dernière Heure
Nausées, évanouissements, paralysies,… Magalie, 17 ans, souffre de terribles effets secondaires. Son père se bat pour que les dangers du vaccin soient reconnus chez nous.
BRUXELLES C’est en découvrant, ce mardi matin, la publication des résultats d’une étude canadienne mettant en cause l’efficacité du vaccin contre le col de l’utérus et dénonçant les risques importants d’effets secondaires de celui-ci, allant jusqu’au décès des jeunes filles vaccinées, que Marco Capitani nous a contactés.
C’est que ce grave constat, ce papa le dénonce depuis plus d’un an. Mais jusqu’ici, aucun médecin n’a voulu (ou osé) émettre un lien entre les nombreux malaises et autres symptômes plus graves encore de sa fille de 17 ans, Magalie, et le vaccin contre le cancer du col de l’utérus.
Marco Capitani et sa fille Magalie sont pourtant formels : c’est une fois vaccinée que l’adolescente a commencé à éprouver des problèmes de santé.
“Elle a commencé à souffrir de fatigues extrêmes dans un premier temps. Certains médecins ont d’abord pensé à la mononucléose mais ce n’était pas cela. Ensuite, elle a eu de gros malaises soudains, au point de s’évanouir n’importe où, même en rue. Puis les paralysies partielles ont commencé. Un jour, elle en a eu en se baignant à la plage. Heureusement qu’elle n’était pas seule dans l’eau et que des amis ont pu lui porter secours”, s’exclame ce papa que nous avons rencontré ce mardi en compagnie de sa fille, Magalie.
Pour ce père, il n’y a aucun doute, tous ces maux dont souffre la jeune fille sont directement causés par ce fameux vaccin administré à l’adolescente il y a deux ans. “Les injections devaient être effectuées en plusieurs étapes. Une fois la dernière achevée, les effets secondaires ont commencé. Tout vaccin comporte des risques mais on n’avait jamais imaginé cela. À l’école, ma fille a reçu des tas de brochures valorisant ce vaccin et son importance. La campagne de publicité autour de celui-ci a été si massive que nous avons été convaincus des bienfaits de ce vaccin. Nous le regrettons tant aujourd’hui”, poursuit Marco Capitani, estimant que la vie de sa fille est en grande partie gâchée par ce vaccin.
L’adolescente ne peut en effet plus sortir avec des amis sans la crainte de s’évanouir n’importe où, à tout moment. Elle nous dit également vomir presque tout ce qu’elle avale ces dernières semaines.
Régulièrement absente des cours, Magalie réussit ses examens malgré tout, mais elle sait déjà qu’elle ne pourra pas faire carrière en tourisme, la branche qu’elle étudie actuellement. “Il lui sera impossible de voyager constamment. Cet été, l’avion qui nous ramenait de vacances est resté coincé sur le tarmac parce que ma fille a subi un nouvel évanouissement”, enchaîne le papa.
Celui-ci se bat depuis un an et demi pour que les médecins reconnaissent que Magalie souffre d’effets secondaires de sa vaccination. “Aucun médecin sur les quarante que nous avons consultés n’a voulu établir un tel diagnostic. Pourtant, depuis tout ce temps, ma fille a subi des tas et des tas d’examens et on ne trouve rien d’autre ! On l’a même envoyée chez un psychologue ! Certains médecins lui ont même demandé si elle n’était pas maltraitée par ses parents”, s’exclame Marco Capitani qui n’a pas peur de qualifier (article ci-dessous) de “crime” la nouvelle campagne de vaccination proposée gratuitement aux élèves de deuxième secondaire des écoles wallonnes et bruxelloises.
Nawal Bensalem
Source: La DH
Ce cas démontre bien que :
- Les effets secondaires des vaccins sont largement sous-estimés et que la plupart des victimes ne font pas le lien (seuls les médias pouvant les y aider, comme dans ce cas-ci)
- Les médecins sont très mal informés sur les risques des vaccins et ne savent pas les reconnaître.
- Le courrier d’Initiative Citoyenne à toutes les directions d’écoles secondaires et aux associations de parents au sujet de ces vaccins était tout à fait fondé et pertinent.
- Le discours des officiels qui clament la sécurité théorique des vaccins n’est pas du tout confirmé par les faits. Or il ne faut bien sûr pas confondre la prétendue sécurité des vaccins avec la sous-déclaration notoire de leurs effets secondaires !