Dossier pharmaceutique partagé, carnet de vaccination électronique... sous prétexte de facilité et de sécurité, le contrôle s'accroît de plus en plus sur les patients et les citoyens que nous sommes.
Dans le même temps, Big Pharma s'inquiète des réticences accrues à la vaccination (il faut dire qu'elle a encore 300 projets de nouveaux vaccins dans son pipeline) et perd progressivement ses brevets des grands médicaments-phares qui arrivent petit à petit à expiration. Parallèlement, les consommateurs se tournent de plus en plus vers des approches alternatives, parce qu'ils sont tout simplement désireux d'obtenir une efficacité au moindre risque (d'effets secondaires).
"Les Belges bientôt fichés dans les pharmacies du pays" pouvait-on lire le 16 mars sur le site 7 sur 7. " « Les pharmaciens auront bientôt tous accès à l'ensemble des médicaments qu'une personne achète dans toutes les pharmacies du pays, révèlent samedi les journaux de Sudpresse. Le but est d'éviter les mauvais mélanges et de lutter contre les abus. »
On pouvait aussi voir cette vidéo-ci sur BFM TV:
Où seront les limites? Au début, on dira que le patient a le choix d'accepter ou de refuser un tel dossier ou un tel carnet... MAIS APRES?
Il faut bien comprendre les enjeux, on parle ici de marchés colossaux qui pèsent chaque année des dizaines de milliards d'euros dans le monde. A ce titre, en tant que pourvoyeurs d'emplois et en tant que contributeurs fiscaux, ces multinationales font partie intégrante de "la raison d'Etat". Les autorités les considèrent comme "leurs partenaires naturels", elles font des pactes pour le confort et la sécurité de ce secteur, ce qui implique de dégager des marges budgétaires pour leurs nouveaux produits. Mais tous ces produits, il faudra bien les écouler...de gré ou de force apparemment comme le concluent de plus en plus d'analystes.
A ce propos, il semble que les mesures coercitives possibles n'ont de limites que l'imagination de ceux qui les proposent puisqu'aux USA, des dispositions prévoient des "escadrons de la vaccination", qui pourront s'occuper de retrouver et de "traiter" les récalcitrants aux vaccins!
Nous sommes donc déjà extrêmement loin dans le degré de tyrannie atteint, une tyrannie inimaginable pour un quelconque autre produit de consommation. Il est donc vraiment grand temps de se réveiller et de refuser de façon ferme et déterminée ce rabotage constant de nos libertés les plus fondamentales.