Nous partageons totalement l'avis de Jean-Paul Pellet d'Alis lorsqu'il titre "Le temps de l'impunité des vaccinateurs doit cesser!"
Voici en effet ce qu'il écrit dans un document inspirant, qui a tout lieu de nous éclairer aussi sur les recours juridiques possibles et transposables en droit belge, contre des médecins ONE imprudents qui ne reconnaissent quasiment aucune contre-indication aux vaccins ou des médecins n'ayant tout simplement pas fait leur devoir d'information en matière de vaccination.
Le temps de l’impunité des vaccinateurs doit cesser !
Il n’appartient qu’à nous de le décider. Alors décidons-le !
Pourquoi ?
1. En cas d’accident vaccinal, le principal responsable est bien celui qui a réalisé l’acte vaccinal, et non celui qui fabrique le vaccin. De même, quand un criminel tue, il est bien plus responsable que la firme qui a fabriqué l’arme, c’est lui qui a commis l’acte et qui doit répondre de son geste. Il faut cesser de couvrir le « bon » médecin de famille et appeler un chat un chat : un médecin qui estropie son patient est un coupable qui doit rendre des comptes. Et qu’on ne vienne pas nous dire que les médecins sont désinformés : même la presse médicale française, qui est connue pour son manque d’indépendance, évoque les accidents médicaux.
2. Le système compte sur les médecins pour relayer sa politique vaccinale. Mais ne croyez pas qu’ils subissent cela contre leur gré. Au contraire, la plupart des médecins se prêtent au jeu car la vaccination est pour eux une rente. Si les procès se multipliaient contre eux, ils changeraient d’attitude et cesseraient d’être les valets de l’administration sanitaire.
Sur quelles bases légales attaquer ?
Les éléments ne manquent pas.
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