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28 septembre 2013 6 28 /09 /septembre /2013 08:05

« Je n’aurais jamais pu imaginer qu’à la suite de la folle décision que j’ai prise de me faire vacciner, ma vie aurait pu être changée pour toujours »

 

Par Elisabeth Wagner, 25 septembre 2013

 

Gardasil-Elisabeth-Wagner-Sanevax.jpg

 

J’ai pensé qu’il valait mieux prévenir que guérir. Je ne me doutais pas à quel point ma décision d’ajouter le Gardasil à ma stratégie de prévention du cancer aurait pu me causer pareils problèmes de santé ! Parfois, je voudrais tellement pouvoir revenir en arrière, qu’il soit possible que je n’aie jamais reçu ce vaccin !

 

Avant le Gardasil, j’étais une jeune femme de 26 ans en parfaite santé et fort active. Je faisais beaucoup de sport et travaillais cinq jours par semaine. Je prenais beaucoup de plaisir à une carrière parfaitement réussie. Depuis 5 ans, je n’avais plus consulté le moindre médecin. A l’époque, j’étais fiancée et j’avais toute la vie devant moi.

 

Comme beaucoup de parents concernés par la santé de leurs enfants, ma mère a, un jour, pensé que ce serait une bonne idée de me faire vacciner contre le HPV pour m’éviter d’éventuellement faire un jour un cancer. Mon médecin n’en voyait pas parfaitement l’utilité vu que je n’avais pas encore été sexuellement active et que mon fiancé ne souffrait d’aucune maladie sexuellement transmissible. Même si la chose n’avait pas beaucoup de sens pour moi, ni mon médecin, nous avons foncé et c’est comme cela que j’ai eu ma première dose de ce vaccin.

 

C’est en mai 2007 que j’ai reçu ma première injection de Gardasil. Quelques jours après l’injection, je suis retournée voir mon médecin. Je me plaignais de douleurs à la main, de douleurs articulaires, de nausées et de maux de tête.

 

Mon médecin n’a pas mentionné le fait que le vaccin aurait pu être à l’origine de ces troubles, et il m’envoya chez un spécialiste. Après m’avoir examinée et testée, ce dernier n’a rien trouvé.

 

Les mois ont passé et j’ai continué à me sentir terriblement fatiguée, usée. J’avais d’horribles maux de tête. Je ne me reconnaissais plus. La douleur irradiait dans tout mon corps. J’avais l’impression que l’on m’enfonçait des poignards brûlants dans tous les muscles. De toute ma vie, je n’avais jamais ressenti pareilles douleurs. En plus de ces douleurs, j’ai commencé à sentir comme un « brouillard » dans ma tête. Tout me semblait confus. J’éprouvais beaucoup de difficultés à trouver mes mots, à exprimer mes pensées. Il me paraît évident que mon système immunitaire avait été ébranlé. J’ai aussi connu des allergies alimentaires : au gluten, aux produits laitiers, au soja, aux crevettes. Peu de temps après le vaccin, mes règles sont devenues très irrégulières. J’ai fait de l’endométriose et développé un kyste ovarien. Sur le plan santé, les choses ne faisaient qu’empirer. J’ai continué à voir régulièrement mon médecin dans l’espoir qu’il trouve ce qui n’allait pas.

 

Comment était-il possible qu’une femme dynamique et en parfaite santé puisse comme cela brusquement être prise au piège dans un corps qui se détériorait aussi vite ? Finalement, mon handicap a été reconnu. J’étais tellement malade que je n’ai pu participer aux fêtes du Thanksgiving et de la Noël 2008. J’étais incapable de vivre normalement.

 

Les médecins qui étaient à court d’explications en sont finalement arrivés à la conclusion que tous mes problèmes venaient d’une « dépression ». Ils m’ont prescrit beaucoup d’antidépresseurs, des antibiotiques, des relaxants musculaires et des anxiolytiques. Je n’ai jamais pris tous ces médicaments.

 

J’ai alors voulu chercher de l’aide à la Clinique Mayo. Pendant mon séjour à la Clinique, j’ai eu environ 50 rendez-vous avec différents médecins pour faire des tests, de scanners, des biopsies afin d’essayer de trouver ce qui dévorait ainsi ma vie. Le résultat de toutes ces investigations fut une fois de plus que j’étais « déprimée », et c’était là ce qui devait expliquer tous mes problèmes de santé.

 

Je commençais à perdre espoir. Je savais sans aucun doute que tous mes problèmes n’étaient évidemment pas dans ma tête.

 

Après avoir vu une douzaine de médecins différents y compris des chiropracticiens, des naturopathes, des spécialistes, un médecin a enfin pris le temps de s’asseoir et de regarder dans le détail mon dossier médical pour pouvoir y voir plus clair.

 

En remettant tous les éléments sur la table, il devint clair comme le jour que tous mes problèmes de santé avaient commencé exactement après que je j’aie reçu le vaccin contre le HPV. Après avoir fait une recherche personnelle, je me suis vite rendue compte qu’il était parfaitement connu que le vaccin contre le HPV était l’un des vaccins les plus dévastateurs. Il avait causé 30.000 effets secondaires chez des femmes qui étaient même plus jeunes que moi. Plusieurs d’entre elles avaient passé des années sans pouvoir se rétablir.

 

Au cours de ce périple pour retrouver la santé, j’ai changé beaucoup de choses dans ma vie qui, je l’espère, pourront m’aider  à finalement guérir. Je ne mange pratiquement plus que des aliments biologiques. Je vois régulièrement un chiropracticien ; je prends des probiotiques tous les jours, des suppléments naturels. Je consulte maintenant un médecin qui s’est spécialisé dans le traitement homéopathique des dommages vaccinaux.

 

J’ai heureusement un mari qui m’aide beaucoup. Les membres de ma famille m’encouragent énormément et font beaucoup pour moi.

 

Je n’aurais jamais pu imaginer un seul instant qu’une seule injection après une seule décision folle aurait pu ainsi changer ma vie pour toujours. J’ai maintenant un fils, mais il ne sera jamais vacciné. Les risques de maladies auto-immunes possibles, les allergies, l’asthme et autres dommages généraux,  parfois irréversibles sont beaucoup trop graves et trop tragiques pour que je puisse prendre le risque de faire vacciner mon enfant.

 

S’il vous plait, faites vos propres recherches sur chaque vaccin avant de prendre une décision qui pourrait s’avérer irréversible pour vos enfants.

 

Source: SaneVax

 

Voyez aussi quelques extraits ci-dessous de la vidéo du Dr Dreidre Little, gynécologue depuis 27 ans, sur les effets dévastateurs de ces vaccins HPV (traduction ci-dessous):

 

 

Med. Journ. Austr., April 2013-09-25

 

“If circumstances do not permit a rigorous assessment of a vaccine’s safety before licensure, this important caveat should be communicated to providers and consumers.”

 

«Si les circonstances ne permettent pas une évaluation rigoureuse de la sécurité d'un vaccin avant l'homologation, cette importante mise en garde doit être communiquée aux fournisseurs et aux consommateurs. »

 

Studies after licensing

 

Video: 29.34

 

“107 serious systemic adverse events recorded in vaccine trials (rate 1:100) , the investigators decided only 5 were vaccine related. Discounted all cardiac events, 4/5 neurological events, all mental health events.”

 

«107  événements indésirables systémiques graves ont été constatés au cours des essais vaccinaux (taux 1:100). Les enquêteurs ont décidé que 5 seulement étaient liés au vaccin. Tous les événements cardiaques, les 4/5 des manifestations neurologiques, et tous les événements de santé mentale ont été rejetés ».

 

 

Placebo confusion : Aluminium placebo instead of saline almost entirely.

“Aluminium hydroxyl phosphate sulphate” indistinguishable from the adjuvant in the vaccine.

 

Confusion au sujet du placebo: Le placebo constitué presque entièrement d’aluminium au lieu d'une solution saline. Le "Sulfate d'aluminium phosphate hydroxyle" indiscernable de l'adjuvant dans le vaccin.

  

HPV studies after licensing

 

Canada Communicable Disease Report:

 

It is important to reiterate that decisions relating adverse events to vaccination were based on the judgment of the investigator at the study site reporting the event.”  2012

 

 «Il est important de rappeler que les décisions concernant les événements indésirables de la vaccination étaient basées sur le jugement de l'investigateur sur le site d'étude rapportant l'événement. »

  

Source: SaneVax 

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commentaires

S
Votre témoignage ne me choque même plus . Il faut faire très attention avec la vaccination et bien s'informer . Chaque vaccins quel qui soit atteint a petite ou grande échelle le système neurologique ( ce qui a causé chez mon frère une épilepsie sevère ) . Bien entendu ni les médias ni les médecins n'en parlent , c'est un sujet taboo pour eux . En dialoguant avec mon médecin , il m'a clairement fait comprendre que le peu de médecins "anti-vaccins" ne fesait pas long feu , ils sont maintenant conditionnés a la prô-vaccination . Et je vous parle pas de la loi 2018 qui oblige les nouveau-né a subir 11 vaccins dès 2 mois ( Conséquences , plusieurs cas de décès ) , pour les parents qui refusent cette loi, c'est la perte de la garde de leurs enfants qu'ils risque + l'enfant n'est autorisé ni dans les creches ni dans les écoles . J'en fini par croire que c'est un biseness pharmaceutique . Le plus ironique dans tour cela , c'est que les médecins sont bien au courant des effets secondaires , mais au lieu d'alerter le patient , ils préfère remettre le coup sur une autre cause , comme la dépression pour vous , c'est que cela doit leurs en rapporter de la thune tout ces traitements ! Je ne fait pas de généralités bien entendu , et je ne suis pas assez calée en médecine pour m'avancer plus loin , mais tout cela , n'est que mon vécu personnel , celui de mon frère et ma soeur de 2 ans .
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G
L'endomètriose une femme sur deux en souffre sans le savoir les quiste au ovaire aussi, moi je me suis vaccin je suis en pleine forme donc vouloir poursuivre les médecin pour ça c'est du n'importe parce que le vaccin et très bien, ça peut arrive quelqu'un ne réagisse pas bien si on fait une allergie à un médicament on va pas poursuivre en justice le médecin le pharmacîen parce que nous même on ne le savait pas c'est complètement irrationnel de dire ça, et donc c'est parce que quelque femme sur des millions et des millions qu'on va emmener en justice c'est du n'importe quoi !!!
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I
Vous réagissez de façon simpliste et anxieuse, comme la plupart des personnes qui ont déjà reçu ce vaccin et qui sont confrontées aux innombrables articles sur des victimes de ce vaccin. Prenons votre raisonnement point par point: le fait que l'endométriose soit fréquente ne constitue pas en soi une preuve que dans tel ou tel cas, le vaccin n'ait pas pu favoriser ces atteintes (vous n'en savez fichtrement rien d'autant que la méthodologie des essais cliniques est tellement réductrice que ces aspects ne sont même pas évalués à vrai dire, tout comme les patients vaccinés contre l'hépatite B n'ont jamais subi d'échographies du foie au cours des essais cliniques bien que des recherches ultérieures aient par exemple montré que ce vaccin DÉTRUIT les cellules du foie chez les souris en déclenchant un suicide cellulaire (apoptose) ). Deuxième point sur les kystes ovariens, d'innombrables cas ont été rapportés après ces vaccins chez des filles jusque là indemnes, les "coïncidences ont bon dos" et là encore, une attitude réellement scientifique aurait dû consister à analyser tous ces paramètres, ce qui n'a pas été le cas. Il est clair que ces vaccins HPV ont des effets marqués sur les ovaires, les règles, la fertilité, cela ressort clairement mais cela ne signifie pas pour autant que toutes les personnes vaccinées vont en souffrir. Les personnes qui ne savent pas ce que sont des risques significatifs au plan scientifique vont avoir tendance à émettre des pseudo raisonnements comme le vôtre en disant "moi je vais bien donc y a pas de problème avec ce vaccin que j'ai reçu, les cas graves c'est 1 sur 1 million". Vous pouvez vous répéter ce mensonge pour vous rassurer à bon compte, peu nous importe à vrai dire mais la réalité est tout autre. Les données chiffrées du VAERS indiquent des chiffres très différents: des dizaines de milliers d'effets secondaires, plus de 200 décès, des milliers de filles hospitalisées en urgences, beaucoup trop de handicaps irréversibles et même des cancers du col précoces après ces vaccins donc il faut arrêter de se voiler la face et comprendre que si le Japon (qui venait de payer pour l'instauration du programme de vaccination HPV) a décidé de ne plus recommander ce vaccin, c'est qu'il y a des raisons. Il faut aussi savoir que seuls 1 à 10% des effets secondaires GRAVES de vaccins sont comptabilisés donc il n'est hélas guère difficile de voir que ces chiffres américains sont en réalité les témoins d'un scandale mondial dans de grandes proportions mais il ne faut pas confondre le nombre total d'effets graves qui surviennent avec la seule partie des effets que le corps médical et les jeunes femmes elles-mêmes penseront à rattacher à ces vaccins. Dans un essai post-mise sur le marché en comparant le Cervarix (vaccin HPV de GSK) et Havrix (= vaccin hépatite A de la même firme), on a 9% d'effets graves dans le groupe Cervarix (9% vus avez bien lu et pas un sur un million) et 8,9% d'effets graves dans le faux groupe témoin (havrix), preuve que les effets sérieux des vaccins peuvent aller jusqu'à toucher 1 personne sur 10 mais cela n'implique pas forcément le très court terme, cela peut être différé, plus vicieux. Si on interrogeait de façon détaillée toutes les jeunes femmes vaccinées avec des questions précises, on serait étonné (enfin nous pas car tout ce site explique pourquoi en plusieurs milliers de pages) de voir le nombre de jeunes femmes dont la santé s'est dégradée à bas bruit au fil des années qui ont suivi leur vaccination: nausées quotidiennes qu'elles n'avaient pas avant, fatigue, essoufflement qu'elles n'avaient pas en montant des escaliers, une thyroïde qui commence à dysfonctionner petit à petit, des crampes qu'elles n'avaient jamais avant etc etc. Or si les médecins avaient joué leur rôle plutôt que d'agir en bons robots dociles obéissant aux injonctions des "grands experts", vous comme les autres jeunes filles auriez alors réellement pu choisir alors que maintenant, il est trop tard pour cela...
G
Je ne vaccinerai jamais mon fils, le vaccin pour le hpv et un vaccin pour le col de l'utérus donc aucune raison de te poser cette question c'est du n'importe quoi
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C
Bravo tout est dit
I
Vous n'avez pas l'air de comprendre que ce vaccin est maintenant proposé aux garçons aux USA, en Australie, au Canada et maintenant aussi en Suisse. Voir ici notamment et ici: http://www.leparisien.fr/laparisienne/sante/papillomavirus-le-vaccin-aussi-recommande-pour-les-garcons-14-04-2015-4691801.php<br /> <br /> http://www.topsante.com/medecine/cancers/cancer-de-la-gorge/prevenir/la-suisse-recommande-de-vacciner-les-garcons-contre-le-papillomavirus-humain-252083<br /> <br /> <br /> Bien sûr, c'est aberrant mais les experts en conflits d'intérêts trouveront toujours mille et une raisons de promouvoir un maximum de vaccins à un maximum de pigeons!
T
Dommage que les médecins ne soient pas poursuivis, et que les médias n' en parlent pas plus !<br /> bonne journée<br /> amitié
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C
Exactement
I
<br /> <br /> En effet, la responsabilité des médias est écrasante. Combien de temps pourront-ils encore fourguer leur baratin? Là est une des questions centrales dans ce genre de dossier....<br /> <br /> <br /> <br />
C
Je suis exactement dans le même cas, même parcours à cause du vaccin voisin le Cervarix... Une chose est certaine, maman d'une petite fille cette expérience a radicalement changé ma manière de voir<br /> les choses concernant les vaccins et je le lui ferai pas subir les mêmes dangers!
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