Cet exemple est très révélateur de la manipulation médiatique ambiante...
Le journal La Croix titre en effet "Le "mythe" du vaccin qui serait à l'origine de l'autisme." et classe l'article dans la rubrique "Supercheries de la Science"!
Peut-on parler dans ce cas de "bonne foi journalistique"??
Voici les critères de cette "bonne foi journalistique" comme le rappelait Edwy Plenel de Mediapart, le 22 juin 2010, en pleine affaire Bettencourt:
- légitimité du but poursuivi
- sérieux de l'enquête
- RESPECT DU CONTRADICTOIRE
- modération dans l'expression
- absence d'animosité personnelle
Et de préciser que ces critères sont au coeur de la jurisprudence du droit de la presse...
En fait, le journal La Croix n'a pas du tout respecté ces critères. Au contraire, en donnant unilatéralement la parole à des officiels comme Daniel Floret (qui ne sont pas neutres, bien au contraire, à en juger par leur triste palmarès en lien d'intérêts avec les fabricants de vaccins!), le journal n'a fait que colporter des inexactitudes flagrantes et autres raccourcis scientifiques préjudiciables à la santé publique.
Car en fait, si on peut bien sûr être d'accord sur le fait que la vaccination n'est pas la seule cause possible de l'autisme, elle est une des causes certaines de cette pathologie, comme plusieurs études scientifiques en attestent, et pas uniquement la publication incriminée de Wakefield.
Pour ne citer que quelques exemples, on peut parler de la publication des chercheurs de la Wake Forest University de Caroline du Nord qui ont reproduit les résultats de Wakefield, comme en a témoigné le Daily Mail. A ce propos, il est tout de même important de retranscrire plusieurs propos de cet article du Daily Mail, parce que les affirmations du journal La Croix n'apportent absolument aucune réfutation valable de ceux-ci:
"Des scientifiques craignent que le (vaccin) ROR soit lié à l'autisme." (titre)
Une nouvelle recherche américaine montre qu'il pourrait y avoir un lien entre le vaccin ROR controversé, l'autisme, et les maladies intestinales chez les enfants.
Il apparaît que l'étude confirme les résultats du médecin britannique Andrew Wakefield qui avaient provoqué une tempête en 1998 en suggérant un lien.
Maintenant, une équipe de chercheurs de l'Ecole de Médecine de la Wake Forest University de Caroline du Nord, sont en train d'examiner 275 enfants atteints d'autisme régressif et présentant une maladie intestinale - et sur les 82 enfants déjà testés à ce stade, 70 sont positifs au virus (vaccinal) de la rougeole.
La nuit dernière, le directeur de l'équipe, le Dr Stephen Walker a déclaré: "Sur base des résultats dont nous disposons à ce stade, tous les tests positifs sont relatifs à une souche vaccinale du virus (de la rougeole) et pas à une souche sauvage du virus."
"Cette recherche prouve la présence du virus de la rougeole dans le tractus gastro-intestinal de nombre d'enfants diagnostiqués avec un autisme régressif.
Ce que cela signifie, c'est que l'étude précédemment faite par le Dr Wakefield et publiée en 1998 est correcte. Cette étude n'a pas tiré la moindre conclusion au sujet de ce que cette présence virale dans l'intestin signifie mais le fait que ce virus ait été retrouvé là implique que cela pourrait venir du ROR. Si cela est le cas, et si ce virus vivant persiste dans le système gastro-intestinal de certains enfants, qui se mettent peu après à souffrir d'inflammation gastro-intestinale et d'autres problèmes, cela pourrait être lié au ROR."
[...] C'est la seconde étude INDEPENDANTE qui confirme les résultats obtenus par le Dr Wakefield. En 2001, John O'Leary, Professeur de Pathologie à l'Hôpital St James et au Trinity College de Dublin, avait déjà reproduit les résultats du Dr Wakefield.
Le Dr Wakefield qui a réagi à la publication de ces résultats a déclaré la nuit passée "Cette nouvelle étude confirme ce que nous avons trouvé chez des enfants britanniques et ce que le Pr O'Leary a également retrouvé. La seule voie d'exposition (au virus de la rougeole) que ces enfants ont eue, c'est le vaccin ROR. Ils se sont développés normalement jusqu'au moment où ils ont commencé à régresser. Ils souffrent maintenant d'autisme et de maladies intestinales.
"Le Ministère de la Santé et certains médias ont essayé d'étouffer notre recherche au motif qu'elle serait insignifiante. Leur prétexte était que personne d'autre n'avait obtenu les mêmes résultats que nous. Mais ce qu'ils n'ont pas dit, c'est que personne n'avait vraiment cherché à vérifier."
Un porte-parole du Ministère de la Santé a dit qu'il n'avait pas lu la publication américaine mais a ajouté que "le ROR restait le meilleur moyen de se protéger contre la rougeole, les oreillons et la rubéole."
Cette dernière phrase des gens du Ministère démontre bien qu'ils n'ont AUCUNEMENT la volonté d'évaluer réellement le véritable rapport bénéfices/risques sur base d'une littérature médicale propre et objective mais bien de défendre une idéologie car quand on défend une idéologie, un principe, on ne trouve jamais la moindre gêne à prétendre dans le flou que telle méthode reste "la meilleure" si on n'a pas encore lu des rapports qui évoquent ses risques possibles.
Entretemps, il faut aussi savoir qu'une haute juridiction britannique a blanchi le Pr Walker-Smith, gastro-entérologue très réputé qui avait également cosigné cette pubication avec Wakefield, le juge ayant pris soin de mentionner la véritable chasse aux sorcières dont Wakefield et ses collègues ont fait l'objet.
Concernant la "saga Wakefield", nous invitons les lecteurs à lire ou relire notre article "Ethique vaccinale & prostitution de la Science" car cela fournit beaucoup d'explications déjà, aux multiples aberrations de cet article de La Croix.
Dans le livre que Wakefield a écrit (et que le journaliste de la Croix n'a certainement pas lu!), "Callous Disregard", on peut notamment lire la préface du Dr Peter Fletcher qui est l'ex Directeur Médical et Scientifique en charge du Comité britannique de Sécurité des Médicaments. Dans cette préface, ce médecin explique noir sur blanc que si ça n'avait tenu qu'à sa décision, il aurait REFUSE d'approuver la mise sur le marché du vaccin ROR parce que les essais cliniques soumis par les fabricants portaient à la fois sur un nombre très insuffisant d'enfants mais aussi parce que ceux-ci étaient suivis sur un laps de temps beaucoup trop court. En d'autres mots, la sécurité de ce vaccin n'a pas été évaluée sérieusement du tout mais le journaliste du journal La Croix espérait peut-être qu'il suffisait de donner le micro au Pr Floret pour que nous prenions tous ses affirmations gratuites comme Parole d'Evangile.
Le Dr Fletcher est-il le seul à estimer que la sécurité de ce vaccin n'a pas été correctement évaluée? Non hélas...
En 2008 déjà, sur la chaîne CBS, le Dr Bernadine Healy, ancienne directrice du très célèbre National Institute of Health déclarait: « On ne peut pas dire qu'il n'y a pas d'évidence causale entre l'autisme et les vaccins par exemple. Les officiels de santé ont trop vite écarté les hypothèses de causalité sans études scientifiques suffisantes pour examiner cette possibilité. Je pense qu'ils ont trop vite écarté des études de sécurité chez l'animal, chez les primates et même chez la souris qui démontrent certains soucis de sécurité pour certains vaccins. Un rapport de l'Institute of Médecine (IOM) datant de 2004 a dit "Ne creusez pas l'hypothèse d'une prédisposition/susceptibilité accrue aux effets secondaires des vaccins." La raison pour laquelle ils ont conclu ainsi c'est qu'ils craignaient que s'ils identifiaient ces groupes, qu'ils soient vastes ou non, cela effrayerait le public et le détournerait des vaccins. [...]C'est l'obligation de ceux qui délivrent ces vaccins de le faire d'une manière responsable. Je crois que vous ne pouvez pas tourner le dos à la démarche scientifique parce que vous avez tout simplement peur de ce que vous allez trouver. [...] »
Aux USA, où les médias sont encore un petit peu plus libres qu'en francophonie, le débat fait rage. L'actrice Jenny Mc Carthy dont le fils est devenu autiste suite aux vaccins mais qu'elle a réussi à guérir avec l'approche (appelée "BioMed") s'apprête à participer à une émission sur la chaîne ABC en septembre pour évoquer le rôle causal des vaccins, une démarche qui n'est évidemment pas du goût des fanatiques des vaccins, comme le très célèbre Paul Offit, lié aux pharmas par de nombreux liens d'intérêt et qui n'avait pas hésité à déclarer par exemple qu'on pouvait vacciner sans problème les enfants avec 10 000 vaccins à la fois ou encore que "les vaccins sont la chose la plus sûre que nous puissions mettre dans nos organismes"!
Toujours aux USA, plusieurs parlementaires se sont indignés de l'insouciance avec laquelle on prétend évaluer les vaccins, comme par exemple le député Bill Posey, qui a fait reconnaître aux officiels des Centres de Contrôle des Maladies (CDC) qu'ils n'avaient en fait JAMAIS comparé des enfants vaccinés à des enfants vierges de tout vaccin, un biais évidemment majeur dans la validité des études menées et pourtant érigées systématiquement en gage de sécurité absolue! Au contraire, les rares enquêtes et études indépendantes que des associations bénévoles ont mené de façon à comparer valablement des enfants vaccinés à des enfants jamais vaccinés, montre toutes que l'autisme est nettement moins fréquent, pour ne pas dire absent ou presque chez les enfants non vaccinés (cfr ici et ici notamment).
En fait, on procède toujours avec des biais. Par exemple, les officiels ont relativement récemment conçu une étude biaisée dès le départ qui consiste à évaluer si les enfants autistes ont reçu plus d'antigènes vaccinaux que les autres enfants, une absurdité compte tenu que quasiment 100% des enfants reçoivent tous les vaccins du calendrier vaccinal! En outre, l'étude ne s'est focalisée que sur les antigènes alors que les vaccins ne sont jamais composés que des seuls antigènes mais aussi de toute une série d'additifs, de conservateurs, de métaux etc...
C'est important de comprendre et de rappeler qu'un mécanisme causal d'induction de l'autisme par les vaccins n'en exclut pas forcément un autre. Les vaccins contiennent un grand nombre de substances toxiques. Ils constituent un véritable court-circuitage du système immunitaire naturel qui prévoit des portes d'entrée très strictes pour l'entrée des microbes dans l'organisme que sont la peau et les muqueuses. Quiconque s'intéresse un peu à l'immunologie se rend vite compte que c'est là quelque chose de merveilleusement complexe et conçoit alors que le simplisme du vaccin artificiel qu'on injecte aveuglément et qui est du reste si mal évalué est tout à fait en mesure de déséquilibrer de multiples façons différentes ce fragile équilibre que constitue la santé!
C'est cette variété de mécanismes pathologiques possibles des vaccins, notamment en matière d'autisme, qui explique la pluralité d'études sur le sujet: certaines études comme celles des chercheurs américains Geier & Geier s'intéressent au rôle du mercure vaccinal, d'autres études, comme celle des chercheurs du MIT se focalise davantage sur le rôle néfaste de l'aluminium vaccinal (qui est neurotoxique), y compris dans l'induction de l'autisme. Le vaccin ROR n'est pas du tout le seul à même de déclencher l'autisme. C'est par exemple aussi le cas du vaccin contre l'hépatite B. Le livre de Judy Converse est tout entier consacré au lien entre autisme et vaccin anti-hépatite B. Une publication américaine a par exemple suivi des jeunes primates vaccinés le jour de leur naissance (comme ça se fait aux USA) avec un vaccin anti-hépatite B adjuvé de thimérosal (mercure) et ils ont pu constater que cette vaccination précoce provoquait des modifications neurologiques chez les jeunes singes, qu'ils perdaient précocément leurs réflexes de survie, etc
Dans les documents confidentiels que nous avons publiés sur ce site et qui ont notamment trait au vaccin "6 en un" Infanrix Hexa, GSK elle-même reprend l'autisme parmi la liste des effets secondaires inventoriés. Ce vaccin comprend notamment la valence anti-hépatite B.
La chercheuse indépendante Dr Hélène Ratajczak a par exemple aussi publié un papier intitulé "Theoretical Aspects of autism: causes- a review" dans le Journal of Immunotoxicology, en 2011.
L'autisme qui se produit après les vaccins est la forme d'autisme majoritaire, à savoir l'autisme régressif. Cette forme d'autisme se caractérise par une soudaine régression de l'enfant après un développement tout à fait normal. C'est souvent au Xième vaccin que la régression se produit, les parents pensant alors parfois au rôle vaccinal lorsqu'ils ont l'idée de comparer l'état de leur enfant par exemple sur des vidéos en fonction des diverses dates de vaccination inscrites dans le carnet médical.
Mais l'article comporte bien d'autres inepties, par exemple la "bouée de secours" des officiels qui n'ont plus aucun argument et qui essaient alors de s'en tirer en prétendant qu'une contestation sur tel ou tel aspect de la vaccination serait géographiquement limitée à tel ou tel pays! Prétendre que le problème de l'aluminium vaccinal est soi-disant strictement franco-français ressemble beaucoup aux bobards sur les effets secondaires strictement franco-français du vaccin anti-hépatite B et le fameux nuage de Tchernobyl qui s'arrêtait aussi soi-disant à la frontière. La réalité est que l'autisme lié au ROR et aussi à d'autres vaccins (le ROR n'est pas le seul à pouvoir engendrer l'autisme!) préoccupe des gens de tous les pays du monde. Idem pour les effets secondaires du vaccin anti-hépatite B qui préoccupent tout autant les anglo-saxons. L'aluminium vaccinal préoccupe tout autant des chercheurs canadiens qu'anglais ou français mais la stratégie des vaccinalistes en perdition consiste entre autres à essayer de diviser les gens pour retarder de quelques années cet éclatement programmé de la bulle vaccinale et c'est là juste une stratégie parmi beaucoup d'autres.
L'article donne par exemple aussi la parole à Daniel Floret pour critiquer les grandes revues qui seraient ainsi "coupables" d'avoir laissé passer la publication de Wakefield (co-signée par ailleurs par une dizaine d'autres scientifiques!)... un comble quand on sait que ces grandes revues, qui ont des partenariats avec de grands fabricants de vaccins, sont le lieu de prédilection des grandes firmes qui y font passer leurs études vaccinales pré-commercialisation avec une facilité déconcertante, quand il ne s'agit pas pour elles de faire passer tout aussi facilement des publications bidons rédigées par des "auteurs fantômes" et signées officiellement par des leaders d'opinion très connus.
Enfin, l'article essaie de mélanger la question des risques du vaccin avec le fait qu'un certain nombre de cas de rougeole se soient déclarés. 23 000 cas de rougeole et dix décès depuis 2008, sur une population comme celle de la France? Il fut un temps où le nombre de cas de rougeoles (et de décès) était largement plus important sans que cela ne fasse les gros titres des journaux et par ailleurs, il semble vraiment peu crédible qu'il n'y ait pas eu largement plus de décès et autres complications graves liées à ce vaccin ROR administré à plus de 90% de TOUS les enfants (mais au sujet desquels l'immense majorité des gens ne pensent jamais à faire le lien!). Voir notamment cet exemple attristant du petit Nello, victime grave du ROR.
En France, selon ce site, il y aurait 440 000 autistes soit l'équivalent de la ville de Lyon! Sur cet autre site, il est plutôt question de 640 000 autistes en France. 80% des enfants autistes ne sont pas scolarisés. S'occuper d'un enfant autiste peut coûter jusqu'à 4000 euros par mois, du moins pour ceux qui peuvent assumer ce genre de montants... L'autisme était ainsi "grande cause nationale 2012" et pourtant, 1/3 des médecins ne savent pas ce que c'est l'autisme! Est-ce alors si étonnant si autant de praticiens ne savent même pas ce qu'est cette maladie, qu'ils soient encore davantage incapables de s'intéresser à ses véritables causes possibles?? Surtout que selon le rapport d'octobre 2012 de la Cour des Comptes, la vaccination représente respectivement 12,6% et 33% des revenus des médecins généralistes et des pédiatres, et encore, sans compter leurs suites (et donc les autres consultations médicales qui en découlent!).
Parmi les devoirs élémentaires de tout journaliste, tels que repris dans le Code de Déontologie énoncé par les syndicats européens, on retrouve l'obligation de "rectifier toute information publiée qui se trouve être inexacte."
Pierre Bienvault de la Croix qui a signé cet article affligeant et désinformateur en aura-t-il seulement le courage et la liberté de la part de sa rédaction? D'ores et déjà, nous prenons le parti de lui écrire de ce pas, pour lui faire part à posteriori de la solidité toute relative du papier qu'il a publié.
Copie du mail envoyé au journaliste Pierre Bienvault (Pour ceux qui veulent aussi réagir, la manière de contacter les journalistes est indiquée sur le site du journal La Croix):
Bonjour Monsieur,
Voici notre réponse détaillée à cet article qui a réussi à abasourdir plusieurs médecins et journalistes de notre entourage, de par sa partialité... "Le Mythe" du vaccin qui serait à l'origine de l'autisme"...
N'est-ce pas Edwy Plenel de Mediapart qui avait rappelé en pleine affaire Bettencourt en 2010 que les critères de "bonne foi journalistique" qui se trouvent au cœur de la jurisprudence du droit de la presse comprennent notamment le sérieux de l'enquête et le respect du contradictoire?!
Pourquoi n'avez-vous pas indiqué par exemple que le Pr Floret a qui vous donnez la parole est bourré de liens d'intérêts avec les pharmas?
Pourquoi avoir été aussi partial et inexact au point de ne parler que de la seule affaire Wakefield alors que bien d'autres scientifiques ont reproduit et confirmé ses résultats sans être pour autant victimes de la même chasse aux sorcières (c'était dans le Daily Mail depuis 2006, il s'agissait de savoir manier Google...)?
Pourquoi ne pas avoir non plus rappelé les propos accablants du Dr Healy, ancienne Directrice du prestigieux NIH (National Institute of Health) des USA qui déclarait très clairement sur CBS en 2008 que la question du lien entre vaccins et autisme n'était toujours pas résolue, qu'elle n'avait pas été proprement investiguée en raison des craintes irrationnelles de l'establishment que les gens puissent se détourner des vaccins. Elle déclarait d'ailleurs aussi toute sa déception qu'on sacrifie des enfants plus fragiles au lieu de leur éviter une vaccination délétère, tout comme elle disait aussi sa déception d'une Science qui s'empêche d'évaluer ce qu'elle a tout simplement peur de trouver?
Combien d'enfants pourraient devenir autistes parce que leurs parents auront été rassurés à tort par des articles désinformateurs comme le vôtre?
En espérant que vous ferez mieux la prochaine fois. La santé des enfants le mérite, nous en sommes vraiment persuadées!
Bien à vous,
Pour Initiative Citoyenne,
Sophie Meulemans, Muriel Desclée, Marie-Rose Cavalier.