Une nouvelle chasse aux sorcières des officiels a fait une nouvelle victime ou plutôt des nouvelles victimes puisqu'il s'agit, au travers de Bernard Christophe, des milliers de gens qui utilisaient avec succès son produit naturel Tic-Tox contre les effets de la maladie de Lyme (borréliose), une problématique qui serait fort sous-estimée selon Mr Christophe.
Lire un article plus détaillé au sujet de cette affaire: ICI.
Ce qui est absolument hallucinant, c'est de constater que ce genre de produits naturels n'est jamais retiré suite à des plaintes de consommateurs mais à des réactions d'auto-défense d'un système officiel à la solde des multinationales pharmaceutiques.
Car il existe un vaccin contre la maladie de Lyme (FSME Immun CC ,Ticovac, Encepur etc), non dénué de risques s'il faut en lire les chiffres "remarquables de précision" qui sont mentionnés à ce sujet sur le site d'Infovac Suisse qui stipule: "Des complications neurologiques graves sont très rares (1 sur 70 000 à 1 sur 1 million de doses de vaccins)."
En dépit de cela, en dépit de risques et de protestations de nombreuses victimes de vaccins en général, ces produits continuent de bénéficier du laxisme des "autorités de régulation" qui dispensent par exemple les vaccins de tests de cancérogénicité ou d'analyse pharmacocinétique, contrairement à tous les autres médicaments!
Ce système du "deux poids deux mesures" consiste donc très clairement à favoriser certains produits au détriment d'autres et ce hélas, au détriment des consommateurs qui se retrouvent ainsi infantilisés, comme s'ils étaient incapables de choisir ce qui est bon pour eux.
C'est ainsi qu'a pu se maintenir un discours dominant, ostensiblement faux, selon lequel "la vaccination est le seul moyen de protection ou de prévention efficace".
Combien de fois n'a-t-on pas été assommé voir harcelé avec ce genre d'affirmations gratuites qui ne résistent cependant pas à l'analyse?
La construction d'un faux monopole en faveur d'une minorité de multinationales s'accompagne donc inévitablement de méthodes et entreprises de dénigrement, de discrédit et de non reconnaissance de toutes les alternatives ou approches perçues comme des concurrentes.
La pseudo-prévention spécifique des maladies a alors eu comme effet pervers d'éclipser les véritables principes de base d'une prévention globale des maladies et notamment des maladies infectieuses, basés avant tout sur le mode de vie individuel tandis que le recours possible à des méthodes peu iatrogènes (supplémentations en vitamine C, D, prises d'oligo-éléments immuno-stimulants comme Cuivre-Or-Argent; recours à la phyto-thérapie, aux huiles essentielles au pouvoir anti- infectieux très intéressant ou à l'homéopathie) est systématiquement ou presque passé sous silence par la presse grand public lorsque celle-ci évoque des maladies à prévention vaccinale.
Il s'avère donc indispensable aujourd'hui de défendre pied à pied le pluralisme thérapeutique, tout simplement parce que les dérives d'une médecine qui ne sait pas reconnaître ses limites sont celles d'une médecine arrogante et autoritariste qui peut imposer des vaccins comme elle peut forcer la main pour d'autres traitements lourds, au prétexte de maladies graves.
On ne doit pas badiner avec les droits du patient. Or le pluralisme thérapeutique qu'on tente pourtant si souvent de glisser sous le paillasson n'est autre qu'un corollaire logique du droit au consentement libre et éclairé du patient: si le patient a le droit de refuser potentiellement tout traitement, c'est entre autres dans le but de pouvoir en accepter un autre!
Ci-dessous, une vidéo de Me Isabelle Robard sur le pluralisme thérapeutique: