Un article du Monde du 17 mai vient encore démontrer tout le caractère hasardeux de l'administration de produits chimiques (donc fort logiquement aussi de vaccins) dans la très sensible période pré et post-natale. Cette exposition aux produits chimiques étant donc susceptible de modifier l'expression de certaines gènes et donc d'engendrer des maladies graves, dont l'apparition est parfois retardée, ne se déclarant alors qu'à l'âge adulte.
Bien évidemment, l'article ne cite pas le mot "vaccin", tabou oblige, mais il est pourtant clair que sont donc AUSSI concernés les vaccins administrés aux femmes enceintes ainsi que ceux faits aux tous jeunes enfants, puisque ceux-ci contiennent de nombreux produits chimiques notoirement toxiques, même à des doses dites "infimes".
Et lorsqu'on lit par exemple qu'ils "ne savent pas encore si un produit chimique entraîne une maladie particulière.", cela ne peut que nous faire froid dans le dos de constater que ces officiels recommandent malgré tout aveuglément l'administration aussi précoce et aussi répétitive de cocktails vaccinaux aussi mal évalués!
Il ne faut pas être un surdoué pour comprendre que des produits chimiques qui n'ont aucune place prévue dans l'organisme sont tous susceptibles, en fonction des seuils de tolérance individuels, de donner lieu à de véritables catastrophes sanitaires, à fortiori si on en arrose les individus en plein développement, dès le berceau ou même encore avant, dès le ventre de la mère. Mais pour l'establishment, il semble que le plus important soit de voir si tel ou tel produit chimique peut induire une entité pathologique bien individualisée et non d'éviter en priorité que divers poisons ne produisent un magma d'effets débilitants hélas parfois très peu spécifiques avec, à la clé, un véritable nivellement par le bas de la santé publique.