Ce 17 octobre 2012, la RTBF diffusera un numéro de "Question à la Une" sur les vaccins.
Sans préjuger de l'objectivité de cette émission que nous n'avons pas encore vue, nous souhaitions partager avec vous un certain nombre d'informations de base.
Seuls 1 à 10% des effets secondaires graves des vaccins sont comptabilisés
= admis et publié par les instances et les revues médicales officielles.
Voir ICI (Revue du Praticien, novembre 2011)
Et ci-dessous, la façon dont l'Agence française du médicament représentait cette sous-notification dans un document de 2007:
Il est curieux de constater que les officiels ne tiennent jamais compte de la sous-notification des effets secondaires des vaccins (pourtant majeure) alors qu'ils effectuent pourtant un "redressement" des cas d'infections naturelles contre lesquelles il existe un vaccin... paradoxal n'est ce pas!
Cette sous-notification criante mais ignorée fait que le rapport bénéfices-risques prétendument favorable des vaccins n'est que POUDRE AUX YEUX!
Chaque échec des vaccins est systématiquement passé sous silence ou minimisé (avec, le plus souvent, conseil d'administrer une dose supplémentaire) alors que, dans le même temps, on dramatise les maladies infantiles pour justifier le vaccin.
Ainsi, quand le Pr Jack Lévy affirme que sans vaccination contre la rougeole, cela ferait 100 enfants avec une encéphalite chaque année en Belgique, c'est INEXACT!
La mortalité liée à la rougeole a baissé de 99,5% entre 1906 et 1983 selon l'annuaire statistique de France et ce, sans l'intervention du moindre vaccin. Et pour ce qui est de la fréquence de l'encéphalite, celle-ci est plutôt de l'ordre de 1/10 000 que de l'ordre de 1/1000. Ceci explique qu'il n'y avait "que" 20 à 30 encéphalites pour la France entière au début des années 80 soit avant l'introduction du vaccin. On voit donc mal comment la Belgique, qui connaissait un peu plus de 50 000 cas annuels de rougeole avant l'introduction du vaccin (selon le Pr Marc Van Ranst), pourrait proportionnellement être confrontée à 100 cas annuels d'encéphalite, ce qui reviendrait à une incidence de 1/500 pour l'encéphalite post-rougoleuse, chiffre jamais démontré sous nos latitudes!
Feu le Pr Robert Mendelsohn (également professeur de pédiatrie et de médecine préventive) écrit, en pages 126 & 127 de son livre, un avis bien différent de celui du Pr Lévy puisqu'il précise notamment au sujet du vaccin ROR (rougeole- oreillons-rubéole):
« Le vaccin ROR (MMR en anglais) contient un vaccin anti-rougeole. Les médecins pensent que ce vaccin est nécessaire pour prévenir l'encéphalite qui, disent-ils, frappe un enfant sur mille en cas de rougeole. Après des années d'expérience, je ne crois pas à cette statistique et je ne suis pas le seul pédiatre dans ce cas. II est possible que cette fréquence soit vraie pour des enfants qui vivent dans des conditions de pauvreté et de malnutrition mais pas dans les classes moyennes. Si l'on exclut la simple somnolence due à la rougeole, l'incidence d'encéphalite réelle est probablement plutôt de 1/10.000 ou de 1/100.000.
Après vous avoir effrayé avec ce risque d'encéphalite, le médecin peut difficilement vous parler des dangers associés au vaccin. Le vaccin lui-même peut également entraîner une encéphalite et d'autres complications telles qu'une panencéphalite sclérosante (toujours fatale), une méningite aseptique, une hémiparésie (paralysie d'une moitié du corps), ainsi que d'autres troubles graves du système nerveux central: ataxie, retard mental, épilepsie ou même sclérose en plaques. On peut observer aussi une nécrolyse épidermique toxique, un syndrome de Guillain-Barré, des troubles de la coagulation du sang, un diabète juvénile et l'on soupçonne une incidence sur la maladie de Hodgkin et le cancer...
Pour moi, les risques associés au vaccin anti-rougeole le rendent inacceptable, même si on pouvait me prouver qu'il agit. […]
Dans ces conditions, comment est-il possible que les médecins continuent à vacciner? La réponse se trouve peut-être dans cette anecdote qui se passe en Californie, quatorze ans après l'introduction du vaccin contre la rougeole. Los Angeles subissait une grave épidémie de rougeole cette année-là et on persuadait les parents d'enfants âgés de six mois ou plus de les vacciner, malgré l'avis du service de santé publique selon lequel vacciner un enfant de moins d'un an était inutile et probablement dangereux. La plupart des médecins vaccinèrent tous les enfants qui leur tombaient sous la main, mais quelques praticiens refusèrent de vacciner leurs propres enfants. Ces médecins savaient que les virus lents qui se trouvent dans tous les vaccins vivants, et particulièrement dans le vaccin de la rougeole, peuvent se cacher dans l'organisme pendant des années et se manifester plus tard sous forme d'encéphalite, de sclérose en plaques et même de cancer. Cependant, la connaissance de ces conséquences graves n'empêche pas ces-médecins de vacciner leurs patients. L'un d'eux dit même:« En tant que parent, je peux me payer le luxe de faire un choix pour mon enfant. En tant que médecin, légalement et professionnellement, je dois appliquer les recommandations de la profession. » Il est peut-être temps que tous les parents et leurs enfants jouissent du même« privilège» que les médecins pour leurs propres enfants. »
Les experts, incapables de répondre à nos questions sur la sécurité des vaccins!
Nous avons interrogé et interpellé de nombreuses instances et experts renommés au sujet du caractère expérimental des vaccins et de l'évaluation insuffisante de leur sécurité... ceux-ci n'ont jamais été capables de nous répondre (en ce compris l'ONE!). Parmi ces experts interrogés ou interpellés en vain, on retrouve le Pr Van Laethem, le Pr Ramet, le Dr Marie-Christine Mauroy, le Dr Kinda Schepers (infectiologue), Karin Rondia, etc
Les autorités de la Fédération Wallonie-Bruxelles (ex Communauté Française) qui ont la tutelle sur l'ONE, avaient quant à elles été sévèrement désapprouvées pour publicité trompeuse sur les vaccins par le Jury d'Ethique Publicitaire en novembre 2011.
Les vaccins contiennent des ingrédients toxiques... même à doses dites "infimes"!
Parmi ces composants, certains sont cancérigènes, comme le formaldéhyde or on n'évalue jamais le potentiel cancérigène des vaccins (cfr point 13.1 de cete notice mais ça vaut pour tous les vaccins!), contrairement à d'autres médicaments. Une majorité de vaccins contiennent aussi de l'aluminium qui est toxique pour le système nerveux et auquel les enfants sont encore plus fragiles.
Pour bien vous informer sur les divers composants des vaccins et leurs effets toxicologiques respectifs, vous pouvez vous rapporter à ces deux documents de synthèse du Dr Pilette:
- Maladies infectieuses & vaccins (détail des composants, vaccin par vaccin)
Les enfants non vaccinés, en meilleure santé que les enfants vaccinés: c'est prouvé
Les rares études indépendantes (1, 2, 3-4) qui ont vraiment fait l'effort de comparer des enfants vaccinés à des enfants non vaccinés convergent toutes pour montrer que les enfants non vaccinés sont globalement en bien meilleure santé que les enfants vaccinés:
- ils consultent moins souvent le médecin
- ils consomment près de trois fois moins d'antibiotiques
- ils ont moins d'infections ORL
- moins d'asthme,
- moins de diabète
- moins de troubles du sommeil
- moins de troubles du comportement et d'autisme
etc etc
Ceci tend donc à confirmer le bienfondé du message suivant: on vaccine trop nos enfants, trop tôt et trop à la fois!
Les animaux, mieux traités que les humains en matière de vaccination !
Savez-vous qu'il est déconseillé de vacciner un chiot ou un chaton allaité, alors qu'on recommande de vacciner les bébés non encore sevrés. De même, les notices déconseillent de vacciner des animaux malades ou des femelles en gestation. Comment se fait-il alors qu'on recommande sans aucune précaution de vacciner les malades chroniques, des gens qui sortent à peine de chimio ou encore des femmes enceintes?
Vous avez des droits or en matière de vaccination, ils ne sont jamais respectés!
La loi du 22 août 2002 sur le droit des patients stipule très précisément à l'alinéa 2 de l'article 8 que:
« Les informations fournies au patient, en vue de la manifestation de son consentement visé au § 1er, concernent l'objectif, la nature, le degré d'urgence, la durée, la fréquence, les contre-indications, effets secondaires et risques inhérents à l'intervention et pertinents pour le patient, les soins de suivi, les alternatives possibles et les répercussions financières. Elles concernent en outre les conséquences possibles en cas de refus ou de retrait du consentement, et les autres précisions jugées souhaitables par le patient ou le praticien professionnel, le cas échéant en ce compris les dispositions légales devant être respectées en ce qui concerne une intervention. »
Votre médecin vous a-t-il déjà fait part des cas graves possibles après vaccination? Comme par exemple ce cas-ci, irréversible avec séquelles à vie, chez une ex infirmière après sa deuxième vaccination antigrippale annuelle.
Le plus souvent, les médecins n'évoquent que "douleur, rougeur ou fièvre" et C'EST TOUT!
Pourtant, si on prend les effets secondaires graves d'un vaccin comme celui contre la grippe recensés dans la littérature médicale, on voit que c'est très différent. Vos médecins ne vous disent donc pas tout car ils n'ont eux-mêmes pas le temps de se tenir au courant...
Les effets secondaires graves concernent aussi les vaccins pédiatriques: Prevenar, vaccin contre la méningite C, autant de vaccins dont le rapport bénéfices-risques apparaît clairement négatif sur base des chiffres officiels... mais qu'on continue à administrer quand même!!
Des liens pour aller plus loin
S'informer est essentiel. Chacun doit pouvoir choisir sur base d'une information suffisante s'il souhaite ou non se faire vacciner et ce d'autant plus qu'il n'existe aucun "filet" ni aucun système d'indemnisation des victimes. Un certain nombre de gens ayant perdu un proche croient parfois de bonne foi que la vaccination aurait permis d'éviter ces décès. Rien n'est moins sûr puisque certains cas (même mortels) peuvent survenir en dépit de toute vaccination. Il est donc important de s'informer rationnellement et pas sur base de l'émotion ou de la peur qui sont souvent mauvaises conseillères. Rappelons aussi, pour rassurer tout le monde, qu'Initiative Citoyenne n'a jamais milité pour empêcher quiconque de se faire vacciner mais simplement pour éviter qu'on impose des vaccins expérimentaux et insuffisamment testés à des gens non informés et donc par définition, non consentants. Il y va de notre démocratie et du respect des lois.
Articles et références d'ouvrages en complémentaires:
L'interview du pédiatre américain Dr Palevsky sur la sécurité des vaccins.
Nos 3 articles:
"Sécurité des vaccins: on se fout carrément de vous!"
"La sécurité des vaccins n'a jamais été une priorité"
"Le public devrait être averti que les vaccins peuvent avoir des effets secondaires à long terme."
Le documentaire "Silence on vaccine" de la réalisatrice Lina Moreco.
De très nombreux ouvrages indépendants existent également sur le sujet.
Pour n'en citer que quelques uns:
"Vaccinations, les vérités indésirables", Michel Georget (éditions Dangles)
"Vaccins, mensonges & propagande", Sylvie Simon, (éditions Thierry Soucar)
"Autisme et vaccination", Sylvie Simon (éditions Guy Trédaniel)
"Qui aime bien vaccine peu", groupe médical suisse de réflexion sur les vaccins (Jouvence)
"La santé des enfants non vaccinés", Dr Françoise Berthoud (éditions Jouvence)
"Vaccinations, le droit de choisir", Dr François Choffat, (éditions Jouvence)
"Hold up sur la santé", Dr François Choffat (éditions Jouvence)
"Vaccins, Docteure maman en a assez!", Monique Morin, (éditions Covivia)
"Les vaccinations en question", synthèse du Colloque au Parlement européen (2002), sous la synthèse du député européen Paul Lannoye, (éditions Frison Roche)
"Faut-il faire vacciner son enfant?" de Virginie Belle (éd. Max Milo)
Pour agir et pour réagir
Prendre connaissance de nos propositions concrètes d'amélioration de:
- la sécurité des vaccins
- l'information sur le rapport bénéfices-risques des vaccins
- la liberté vaccinale
NB: Précisons aussi, si besoin en était, qu'Initiative Citoyenne n'a RIEN à voir avec la victimite de l'ONE, qui adopte peut-être cette posture parce qu'il est plus facile d'accuser autrui que d'assumer leur propre responsabilité de vacciner sans savoir répondre aux questions...