Cette histoire est très instructive, parce qu'elle démontre finalement toute la manipulation des officiels qui font des pieds et des mains pour vacciner un maximum de gens puis par après, quand les gens sont tombés dans le panneau et qu'ils en sont victimes, tout est fait pour qu'ils ne reçoivent pas la moindre aide, reconnaissance ou indemnisation. Et tant les employeurs que la Sécurité Sociale n'hésitent ainsi pas à aller en appel pour éviter qu'on reconnaisse ainsi en accident du travail les méfaits des vaccins imposés dans ce cadre!
Fort heureusement, des victimes déterminées, aidées par leurs avocats, finissent à force de lutte, par aboutir. Et ce n'est bien sûr qu'un début car les informations de qualité se diffusent de plus en plus. Les prétendus experts qui affirment ceci ou ça doivent être mis devant leurs responsabilités comme l'ont très bien compris cette victime, Mireille, et son avocat, Me Jean-Pierre Joseph (que les gens de l'Académie de Médecine avaient eu le toupet de railler)
Mireille et son avocat ont ainsi demandé pourquoi l'expert à qui les références de publications sérieuses sur le lien entre sclérose en plaques et vaccin anti-hépatite B avaient été dûment communiquées, les avait pourtant entièrement éludées pour la rédaction de son rapport. La Cour d'Appel de Rennes a confirmé le jugement de première instance et donné raison à la plaignante, atteinte de sclérose en plaques depuis sa vaccination anti-hépatite B.
Il est urgent que les conseilleurs deviennent les payeurs. Des peines de prison doivent tomber pour ceux qui conseillent sans savoir et pour ceux qui mentent et induisent ainsi les gens en erreur, en violation des lois édictées sur le consentement libre et éclairé.
Lire ce communiqué de l'avocat de Mireille sur cette belle victoire juridique.
Victimes, faites valoir vos droits, inspirez-vous de l'expérience d'autres victimes et collaborez!