Santé: on sous-évaluerait la toxicité de certaines molécules chimiques
28 mars 2012
De plus en plus de biologistes suspectent "des effets délétères de certains composés chimiques à des niveaux très inférieurs aux doses considérées comme sûres", lit-on dans Le Monde. Un sujet peu médiatisé mais capital pour la santé publique.
Des chercheurs américains présentent un rapport à l'issue duquel ils plaident pour une refonte de la méthodologie permettant d'évaluer la toxicité de nombreuses molécules mises sur le marché. Les chercheurs dressent une liste d'une trentaine de molécules dont les effets échappent à la toxicologie dite "classique".
Dans cette liste, on trouve par exemple le bisphénol A, la molécule la plus étudiée. Une molécule que l'on retrouvait auparavant dans les biberons et qui se trouve aujourd'hui à l'intérieur des boîtes de conserve et des cannettes. On y trouve aussi les phtalates (solvants présents dans les plastiques), le parathion (insecticide), le perchlorate (feux d'artifice) ainsi que certains pesticides.
Effets négatifs à faibles doses
Toujours selon Le Monde, les auteurs du rapport ont passé en revue plus de 800 études menées sur l'homme, l'animal ou encore sur des cultures cellulaires. La biologiste Laura Vandenberg explique que "les molécules qui imitent ou bloquent les hormones ont des effets négatifs à faibles doses, c'est-à-dire à des doses généralement considérées comme sûres chez l'homme".
"Les études de toxicologie classique partent du principe que 'la dose fait le poison', c'est-à-dire que plus on augmente la dose du produit que l'on veut tester, plus l'effet est important", explique un autre chercheur, Daniel Zalko. "Or, à plus faibles doses, et parfois à des doses inférieures à un niveau où la toxicité du produit semble avoir disparu, on retrouve des effets importants, d'une nature parfois différente".
Une dose admissible calculée mais jamais testée
Laura Vandenberg précise que la toxicologie se base la plupart du temps sur des expériences à hautes doses. Et puis les toxicologues extrapolent et déduisent la dose journalière admissible pour l'homme. Cette valeur est calculée mais jamais testée, explique la chercheuse.
L'autre problème est davantage d'ordre éthique. Certaines expériences sur les effets à longs terme notamment peuvent être faites en laboratoire sur des animaux. Mais, forcément, difficile d'imaginer de pareilles expérimentations sur un être humain.
Source: RTBF INFO
Et QUID des vaccins dont on parle de plus en plus ? Car les officiels et les Ministres nous rétorquent aussi toujours à leur sujet que leurs composants sont « en si petites doses » qu’ils sont sans danger. Pourtant, si on prend l’exemple du Borax (borate de sodium), contenu dans le Gardasil, prétendument « contre le cancer du col de l’utérus », on se demande comment il est possible qu’une telle substance puisse se retrouver dans ce vaccin alors que depuis le 6 nombre 2008, les sels de bore sont classés comme « toxiques » par la réglementation européenne et requièrent l’usage du logo à tête de mort ! Mais on pourrait encore citer beaucoup d’autres composants des vaccins comme le trométamol, le phénoxyéthanol, le thiomersal, le formaldéhyde etc… Quel est l’effet cumulatif de toutes ces substances ? Personne ne le sait puisque les officiels se refusent à mener de larges études sur le long terme pour comparer la santé des gens vaccinés à celle de gens ne l’ayant jamais été et ce, au prétexte… de l’éthique ! C'est vrai qu'il est sûrement plus "éthique" de continuer à sacrifier la santé de millions d'enfants pour après venir dire "qu'à l'époque, on ne savait pas et on ne pouvait donc pas se douter"!