A côté des vaccins combinés, qui sont UN des grands moyens de retarder l'éclatement inéluctable de la bulle vaccinale, il y a également l'invention des "piqûres sans aiguilles", une autre ficelle que les vaccinalistes comptent exploiter à bon compte pour tenter d'éluder le très dérangeant débat sur les questions de sécurité auxquelles ils sont incapables de répondre.
Voici, ci-dessous, un article éclairant de Futura-Sciences à ce sujet (par Janlou Chaput)
Piqûres: bientôt on aura plus besoin d'aiguilles!
Les piqûres hypodermiques, c'est-à-dire sans aiguilles, sont déjà commercialisées mais ne sont pas aussi efficaces que les seringues traditionnelles. C'est sans compter sur un nouveau dispositif qui nous vient des États-Unis et qui corrige les défauts de ses prédécesseurs. Une seringue potentiellement capable de s'imposer dans les années à venir.
« Aïe, j'ai mal ! » Ce cri du cœur encore fréquent dans les cabinets médicaux quand vient l'heure de la piqûre pourrait disparaître, à en croire des scientifiques américains du MIT, qui annoncent avoir développé une seringue hypodermique capable d'injecter des médicaments dans l'organisme à travers la peau, sans aiguille.
Une bonne nouvelle qui doit réjouir tous ceux qui craignent cet acte douloureux, mais ils ne seraient pas les seuls bénéficiaires directs de la nouveauté. Une étude menée par les Centres de contrôle et de prévention des maladies aux États-Unis a révélé que chaque année, 385.000 accidents sont comptabilisés chez le personnel de santé, à cause des aiguilles. Ce dispositif pourrait également faciliter le quotidien des personnes diabétiques, devant s'injecter chaque jour leur dose d'insuline.
Ces dernières décennies, des alternatives aux piqûres traditionnelles ont été proposées. Les patchs, comme pour la nicotine en sont un parfait exemple. Cependant, ils ne concernent que des molécules suffisamment petites pour passer au travers des pores de la peau, ce qui ne constitue pas la majorité des médicaments. Des seringues hypodermiques ont d'ores et déjà été développées et certains modèles sont disponibles dans le commerce. Mais ils connaissent certaines limites, car étant constitués d'un ressort, ils ne permettent l'injection que d'une seule dose de médicament, à une profondeur particulière. De ce fait, le vieux système, qui a fait ses preuves, est toujours majoritairement utilisé.
Une seringue sans aiguille qui fonctionne à l'électricité
Le dispositif proposé dans la revue Medical Engineering and Physics pallie ces défauts. Il se compose d'un petit aimant puissant entouré d'une bobine, elle-même reliée à un piston. Lorsqu'on applique un courant, on modifie le champ magnétique et grâce à la force de Lorentz, le piston est éjecté à une vitesse proche de celle du son (340 m/s), entraînant avec lui le principe actif, envoyé dans la peau par l'intermédiaire d'un tube minuscule, pas plus épais que le proboscis (la trompe) d'un moustique.
En contrôlant l'intensité du courant, on régule la vitesse de propulsion du piston, faisant varier la profondeur de pénétration du médicament dans la peau. Sur du tissu gélifié et des animaux morts, les auteurs ont atteint jusqu'à 16 mm de profondeur. Leur modèle est également capable de distribuer des doses différentes, jusqu'à 250 µL.
L'injection se déroule en deux phases. La première, à haute pression, permet au principe actif de traverser le derme à la profondeur souhaitée. La seconde, à basse pression, laisse le temps au médicament de diffuser dans les tissus environnants.
Des seringues hypodermiques plus efficaces
Ainsi, les médecins ont la possibilité d'adapter leur dispositif à leurs patients. Catherine Hogan, l'une des coauteurs de l'étude, précise que la puissance nécessaire pour faire pénétrer un vaccin dans la peau d'un bébé est bien plus faible que chez un adulte et qu'il est donc important de pouvoir maîtriser la pression dans la seringue.
Les scientifiques ne comptent pas s'arrêter là et ont une autre innovation en tête. Ils planchent désormais sur la mise au point d'un vaccin en poudre qui, sous l'effet de vibrations électromagnétiques, pourrait se fluidifier et devenir injectable.
Une avancée qui constituerait une solution intéressante pour les pays en voie de développement. En effet, les vaccins sous forme liquide nécessitent d'être gardés au frais pour être efficaces. Malheureusement, il arrive que les réfrigérateurs tombent en panne, rendant les traitements inutilisables. La poudre, elle, n'a pas besoin d'être congelée.
Source: Futura-Sciences
Comment comprendre et interpréter ce genre de nouvelles ?
Si ce genre de nouveautés peut apporter certains avantages indéniables en termes de confort à certaines catégories de gens (ex :diabétiques), l’establishment va avoir cependant tendance à y trouver des bienfaits secondaires sur ce qu’on appelle la compliance, c'est-à-dire l’acceptation et le suivi des recommandations officielles d’administration d’un traitement donné.
Avec les vaccins, c’était évidemment LA grande occasion à ne pas laisser filer puisque ceux-ci sont de plus en plus boudés et suscitent de plus en plus la méfiance, à juste titre d’ailleurs, compte tenu de leurs risques largement sous-évalués et totalement incontrôlables. Dévier le débat sur la « peur de la piqûre » constitue donc un moyen très commode d’éluder les « questions qui fâchent » sur la sécurité même du procédé. On contribue du même coup à banaliser le procédé « puisque ça ne fait même pas mal », mais cela risque de contribuer à hélas à faire oublier aux gens que les risques les plus graves (et irréversibles) des vaccins ne sont pas d’avoir mal au moment de l’injection mais bien de court-circuiter les voies d’entrée immunologiquement prévues pour la pénétration des diverses substances étrangères.
Les enfants ne pleureront donc peut-être plus au moment des injections mais les vaccins ne seront pas plus sûrs pour autant, puisque les substances étrangères (avec leur cocktail de produits chimiques) continueront d’être administrées selon une voie non prévue (le derme alors que dans la Nature, cela n’est pas notre derme qui est l’interface prévue pour les microbes). En matière de vaccins, il s’agira donc très clairement d’un faux progrès, y compris pour les enfants les plus vulnérables des pays pauvres d’ailleurs car ceux-ci sont littéralement « gavés de vaccins », bien que mourrant surtout de faim et de soif. Notre société ne cesse donc hélas de s’illustrer par l’occultation des vrais problèmes et le développement de fausses solutions ou de pseudo-progrès qui finissent alors souvent après, par créer de nouveaux problèmes, encore pire que précédemment.
C’est ainsi qu’une maladie comme le diabète de type 1 (insulino-dépendant), qui reste une maladie grave et qui peut, entre autres causes, être provoquée par la vaccination infantile ou adulte, risque elle aussi d’être banalisée, au seul motif que la contrainte des injections au quotidien s’en trouvera largement amoindrie. En revanche, les conséquences graves possibles de ce genre de déséquilibre métabolique (sur les vaisseaux, les reins, la vue, les nerfs etc), elles, resteront peu changées par le nouveau système d’injection lui-même. Méfions-nous donc des apparences de « grands progrès » qui sont souvent aussi des grandes tentatives de diversion, hélas.