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23 juillet 2012 1 23 /07 /juillet /2012 20:59

Une aide-soignante malade d'avoir été trop vaccinée contre l'hépatite

 

Par L.V. Le 12/07/2012

 

Photo-aide-soignante.jpg

           Martine Sempietro entourée de son mari, Thierry, et de son avocate, Denise Pombieilh.

           (Jean-Philippe Gionnet)

 

"J'ai subi une vaccination obligatoire imposée par l'hôpital. Aujourd'hui, je ne peux plus travailler, c'est injuste". Aide-soignante à l'hôpital d'Oloron, Martine Sempietro, 46 ans, a reçu huit vaccins contre l'hépatite B de septembre 1991 à avril 1998. Cette vaccination était à l'époque obligatoire pour tous les personnels hospitaliers suite à une loi de 1991.

 

Dès 1995, elle ressent des douleurs mais pendant des années on lui répondra que ce sont de simples douleurs musculaires. En 2006, à l'occasion d'un exercice, elle chute car ses jambes ne répondent plus. Elle est alors arrêtée pour accident du travail.

 

"Je souffre de douleurs musculaires et articulaires, je suis toujours fatiguée et j'ai des problèmes cognitifs", explique l'aide-soignante. "J'étais comme une loque, ça a été un vrai parcours du combattant pour qu'on me fasse une biopsie musculaire", poursuit Martine Sempietro. La biopsie révèle une maladie à l'époque méconnue des neurologues : une myofasciite à macrophages, sorte de myopathie inflammatoire. Les travaux du professeur Brochet, neurologue, font le lien entre cette maladie et l'aluminium contenu dans les vaccins en 2009.

 

Me Denise Pombieilh, son avocate, saisit le tribunal administratif en 2010 pour une expertise judiciaire. Selon elle, l'Etat est en faute car les deux derniers vaccins subis par sa cliente étaient illégaux. Le rapport conclut que la faute n'est pas imputable au service. Une contre-expertise est en cours.

 

Parallèlement, un rapport du professeur Authier, expert neurologue qui soigne Martine Sempietro, conclut à la causalité entre maladie et survaccination en avril dernier. Pour ce neurologue, la survaccination a multiplié par quatre le risque de développer cette maladie.

 

Comble de malheur, une erreur administrative remet en cause les remboursements de soins. En juin, s'appuyant sur l'arrêt du tribunal administratif, l'hôpital décide que ce n'est plus une maladie professionnelle mais une maladie ordinaire, "oubliant" le rapport du neurologue. Conséquence : il faut avancer les frais médicaux et le salaire de l'aide-soignante va être divisé par deux.

 

Me Pombieilh a déposé un recours devant le tribunal administratif contre cette décision. "Ma cliente a été empoisonnée légalement. Nous sommes partis pour une longue procédure", reconnaît l'avocate. Deux décisions de la cour de cassation reconnaissant qu'une maladie consécutive à une vaccination peut constituer un accident du travail la laissent toutefois espérer une issue heureuse. Mais en attendant, Martine Sempietro souffre et s'use…

 

>> Une maladie liée à l'aluminium

 

La myofasciite à macrophages (MMF) se caractérise par des lésions musculaires montrant la persistance à long terme de l'hydroxyde d'aluminium dans les macrophages au site d'une précédente vaccination. Des recherches de l'Inserm en 2009 confirment le lien entre l'aluminium contenu dans le vaccin et les troubles cognitifs, musculaires et articulaires subis par les patients. Il n'y a pas de traitement spécifique pour le moment conte la MMF. Martine Sempietro se contente de traitements pour atténuer la douleur et régénérer les cellules.

 

Source : La République des Pyrénées

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commentaires

2
Le cas de Martine m'a interpellé. J'ai été vaccinée en Mars 1991, car c'était obligatoire pour travailler dans les professions de santé (arrêté mars 1991) . Puis revaccinée régulièrement sans faire de sérologie jusqu'en 2001 (6 injections) , j'ai refusée de continuer la vaccination suite aux polémiques (SEP). En 2001, on m'a enfin fait faire une sérologie , j'avais un taux d'anticorps contre hépatite B très élevé....... J'avais souvent des douleurs lombaires a l'époque soulagés un peu par des séances de kiné. Puis au fil des années , des raideurs aux niveau du dos et des jambes sont devenues de plus en plus importantes.... Ce n'est qu'en 2012 où j'étais très gênée pour marcher , que l'on m'a détectée une SEP, que j'avais diagnostiquée moi-même car je savais que j'étais à risque car j'étais : SURVACCINEE avec le vaccin ENGERIX B !!!!!!!!!! Aujourd'hui en 2016, je marche très difficilement, je ne travaille plus, je suis obligée de rester chez moi....... Les Neurologues ne veuillent surtout pas que l'on parlent de la survaccination contre l'hépatite B, certains médecin sont même à la limite agressifs lorsque l'on leurs en parlent , et d'autres certifient qu'il n'y a pas de risques de déclencher une SEP avec la vaccination !!!!!!! . Je m'aperçois que les médecins protègent beaucoup les laboratoires pharmaceutiques. Pour les patients qui ont été survaccinés, très peu de recherches ont été faites par les labo !!!!!!!!!!. Avec l'augmentation des SEP en France , je pense que la SURVACCINATION CONTRE L'HEPATIE B a déclenché beaucoup de SEP et d'autres maladies neurologiques et je reste sur ma position. Personnellement je suis très en colère, le contrôle par une sérologie n'a pas été respecté par les médecins de travail , et je vois que les patients ne sont pas entendus par les médecins.* SURVACCINATION HEPATITE B = SEP 25 ans après.* il faut en parler !!!!!!!!
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I
Merci "2001" pour votre témoignage qui ne nous étonne hélas guère, il y a une sous-estimation effrayante des cas. Si vous êtes prête à témoigner éventuellement dans une émission télé, n'hésitez pas à nous recontacter svp (car vous n'avez hélas pas laissé votre mail où nous pourrions vous recontacter pour vous demander....). Bien cordialement.
S
le cas de Martine est du au fait que le vaccin hépatite B est obligatoire pour les soignants et que , de plus, une sérologie de vérification est exigée , pour vérifier que le taux d'anticorps<br /> attendu grimpe comme on attend sagement ça d'eux. Elle n'a jamais eu la sérologie adéquate, et dans ce cas là, on renouvelle la vaccination, et on refait une sérologie jusqu'à en avoir une<br /> correspondant... voilà pourquoi elle a pris 8 injections en 7 ans, ce qui est bien entendu au moins 8 fois trop.... Si seulement cette affaire pouvait faire du foin pour que l'obligation<br /> professionnelle soit levée !
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C
Mme Sampietro, sachez qu'actuellement la médecine quantique peut répondre à votre souhait de guérison ! Ci-dessous quelques liens pour vous guider.<br /> Le site (http://www.neshealth.com/home.aspx)vous renseignera où trouver un médecin qualifié pratiquant et où vous procurer les infoceutiques prescrit.<br /> Le documentaire The Living Matrix vous apportera amples renseignements et exemples (http://www.youtube.com/watch?v=Yd-y8mpPpqs )<br /> Le site du centre Ceren de Paris informe aussi ( http://www.youtube.com/watch?v=Yd-y8mpPpqs )<br /> Bonne guérison, assurée !<br /> Un patient sauvé.
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