Le cas d'Alan Smith est particulièrement exemplaire parce qu'il démontre tout simplement que les atteintes continuelles au pluralisme thérapeutique un peu partout dans le monde coûtent des vies au jour le jour. Alan Smith ne doit ainsi sa vie qu'à l'insistance de sa propre famille qui a pu ainsi infléchir l'obstination incompréhensible du personnel soignant de l'hôpital où il était, qui ne voulait tout simplement PAS lui administrer de la vitamine C intraveineuse, en dépit d'évidences scientifiques très solides de son utilité!
Alan Smith est un fermier néo-zélandais qui était atteint de grippe (porcine), d'une pneumonie avancée, d'une leucémie et d'un scorbut (déficience ultime en vitamine C). Il saignait du nez, de la bouche et des intestins. Son état (coma) était jugé désespéré et les médecins avaient averti la famille qu'ils comptaient débrancher les appareils....
Contre l’avis des médecins, la famille insista pour que l’on administre à Alan de hautes doses de vitamines C. Les difficultés pour obtenir satisfaction furent énormes.
Les médecins ont déclaré : « Le type de leucémie dont souffre M. Smith pourrait être traitée si c’était la seule maladie dont il souffrait. Cependant étant donné son insuffisance respiratoire, il n’est pas possible que Monsieur Smith puisse survivre. »
Ultérieurement les médecins de l’hôpital ont déclaré : « Le groupe est unanime pour dire que Monsieur Smith doit être « débranché » des appareils (ECMO) et qu’il lui soit permis de mourir en paix. Continuer ne ferait que postposer un décès inévitable… Tout le personnel des soins intensifs est d’accord pour dire que la vitamine C ne lui sera d’aucune aide. Nous sommes tous d’accord pour déclarer que Monsieur Smith ne pourra survivre. Cependant un membre du personnel quelque peu mal à l’aise pensa que l’on pourrait attendre jusqu’au vendredi suivant avant de débrancher les appareils. Si alors aucune amélioration ne s’était produite, il serait alors débranché des appareils. »
Etat des poumons après deux jours de traitement (hautes doses) à la vitamine C
« Ils peuvent dire tout ce qu’ils veulent parce que le fait est que je suis bien vivant… alors que j’étais condamné à mort et qu’ils voulaient débrancher les appareils… ! »
« Les médecins n’en revenaient pas que j’avais pu me rétablir si vite ! - L’establishment médical devrait prendre un peu plus au sérieux le problème des hautes doses de vitamine C et le plus tôt sera le mieux ! »
4 SEPTEMBRE 2012 - Communiqué d’Alan Smith
Alan Smith dont la vie avait été sauvée par des injections intraveineuses de vitamine C à l’hôpital d’Auckland organise une manifestation de protestation le 15 septembre 2012 de 12 à 14 heures devant l’hôpital d’Auckland parce que celui-ci rejette maintenant ce traitement.
L’émission télévisée « 60 minutes » avait commenté l’histoire de cette extraordinaire guérison d’une maladie quasiment mortelle, alors que le personnel hospitalier avait voulu débrancher les appareils qui maintenaient Alan Smith en vie, ce qui équivalait à le tuer, plutôt que de lui administrer de la vitamine C.
La vitamine C, tout particulièrement en hautes doses est un anti viral bien connu et accepté scientifiquement depuis plusieurs années. Malgré cela, l’hôpital avait initialement refusé de l’administrer à M Smith, prétextant qu’ils avaient « tout essayé » et en vain.
Quand, sous la pression de la famille, l’hôpital accepta finalement A CONTRECOEUR d’administrer de la vitamine C, M. Smith commença immédiatement à montrer les signes d’un rapide rétablissement. En quelques semaines il fut complètement rétabli.
Malheureusement l’hôpital d’Auckland, comme beaucoup d’autres en Nouvelle Zélande semblent ne rien avoir appris de cette expérience et jusqu’à aujourd’hui, ils ont REFUSE d’administrer de la vitamine C aux autres patients atteints de maladies virales graves.
Ils continuent à prétendre faussement qu’il n’y a « pas de preuves » de l’efficacité de la vitamine C, alors que leur propre littérature médicale « revue par les pairs » regorge de preuves de son efficacité.
Ils ont initialement refusé de l’administrer à Alan Smith et continuent de le refuser à d’autres personnes atteintes de maladies virales ou bactériennes.
On rapporte que certaines personnes seraient décédées pour s’être vu refuser ce traitement.
Sans la persistance et l’acharnement de la famille de M. Smith, ce dernier serait sûrement mort lui aussi… alors qu'il est pourtant guéri, y compris de sa leucémie!
Pareilles erreurs coûtent la vie à des milliers de personnes. Il est maintenant connu qu’en Nouvelle Zélande, le système médical lui-même est considéré comme étant la troisième cause de décès.
Nous nous demandons pourquoi l’hôpital d’Auckland éprouve tant de difficultés à admettre son erreur…comme à apporter toutes les modifications nécessaires à une politique ridicule qui coûte des vies humaines.
Cette histoire, tout à fait véridique, a fait l'objet d'un reportage de la télévision nationale néo-zélandaise (sous-titrage français grâce à un internaute généreux et intelligent):
Témoignage de guérison de ce fermier: ICI (cfr temps 14'56'')
Plus d'informations en français sur la vitamine C liposphérique que ce fermier a aussi prise après les injections intraveineuses de vitamine C finalement reçues à l'hôpital.
En conclusion, on se rend compte que le véritable intérêt des patients est constamment malmené par une dangereuse combinaison : la désinformation des soignants et leur dogmatisme, savamment entretenu par les pharmas qui décident du contenu même de leur formation !
Les atteintes au pluralisme thérapeutique coûtent donc des vies mais il faut bien toutefois se rendre compte que ces atteintes ne peuvent se solder par leurs funestes effets QUE parce que le public est hélas trop crédule et trop confiant dans le discours de ses médecins crus souvent à tort comme des « experts infaillibles ».
Cet exemple devrait aussi nous faire prendre conscience à tous de la valeur très relative du discours médical : ce qu’ils affirment inutile peut sauver des vies mais à l’inverse, ce qu’ils prétendent incontournable, comme par exemple les vaccins, peut en détruire et en handicaper d’autres. Il y a donc une banalisation d’actes potentiellement graves d’une part avec la dangereuse banalisation des vaccins et de certains autres traitements médicamenteux lourds et, d’autre part, une dramatisation de certains états de santé au point de prétendre que des gens sont condamnés alors qu’ils ne le sont pas et tout cela, parce que les médecins IGNORENT des données fondamentales mais portant sur des approches potentiellement concurrentes aux traitements standards dont on leur a sélectivement et exclusivement bourré le crâne durant leurs études.
Les patients gagnent donc vraiment à prendre confiance en eux-mêmes et ainsi se rendre compte qu’ils peuvent parfois faire les bons choix là où leurs médecins ne savent pas les faire pour eux. L’exemple de cette famille est magnifique puisqu’elle fut ainsi un « bien meilleur médecin » pour Alan Smith que les gens entêtés et bornés de l’hôpital. C’est là avant tout une question de BON SENS or le bon sens ne s’apprend hélas pas sur les bancs de la fac!
Embourbés dans leur arrogance, les soignants ont parfois du mal à reconnaître leurs erreurs et surtout à agir avec altruisme en faisant ainsi profiter d’autres patients de ces approches qu’ils n’avaient initialement pas conseillées eux-mêmes. Leur orgueil en prend donc un coup. Mais cela démontre aussi la nécessité d’une vigilance continuelle de tout un chacun dans un état de maladie donné plutôt qu’une dangereuse passivité/docilité face aux personnels soignants. Il y va de la santé et des droits de chacun !