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31 mars 2012 6 31 /03 /mars /2012 00:36

29 mars 2012. D'après Mike Adams (NaturalNews),

complété par Initiative Citoyenne

 

 

Enfant--police.jpg

 

Un autre cas choquant de travailleurs sociaux tyranniques et trop zélés s’est produit en Pennsylvanie, alors qu’une maman venait d’accoucher, dans une ambulance, d’une petite fille en parfaite santé. La maman fut menacée par une travailleuse sociale et accusée de ne pas permettre que son enfant subisse un « traitement médical » (Ce qui s’est avéré faux par la suite). En réalité, la maman épuisée par l’accouchement dans l’ambulance, avait simplement posé des questions. Elle voulait notamment  savoir ce qu'on avait injecté, sans son avis, à son enfant (vitamine K).

 

Alors que la maman a continué à poser poliment des questions pour savoir de quoi on l’accusait vraiment, la travailleuse sociale, Angelica Lopez-Heagy, s’est à nouveau permise de la menacer. Pour toute réponse, la travailleuse sociale se permit d’exiger : «  Puisque vous ne voulez pas coopérer, je vais appeler la police et nous prendrons la garde du bébé. »

 

La travailleuse sociale a alors exigé que la mère et le père signent un document intitulé « Plan de Sécurité ». Un document qui liait les parents, par contrat, à accepter tous les actes médicaux que l’hôpital veut imposer à tous les nouveau-nés, y compris l’administration de divers vaccins. 

  

Quand la maman a exprimé le désir de consulter son avocat avant de signer le document, la travailleuse sociale a réitéré sa menace d’appeler la police.

 

Peu après, on a pressé la maman pour qu'elle donne son accord à la vaccination anti-hépatite B. La maman a alors accepté à la condition qu'on lui prouve qu'elle ou son enfant était positif au test. On lui a alors répondu qu'on avait oublié de demander ce test en même temps que les autres analyses de sang qui avaient été effectuées plus tôt, qu'il n'était plus possible de les réaliser ce jour-là et qu'il fallait vacciner sans avoir les résultats du test.

 

Cette maman a alors supplié qu'ils attendent, avant de décider, le retour de son mari, qui avait dû quitter l'hôpital peu de temps avant.

 

La police est alors arrivée et a  enlevé la petite fille. Vu que les travailleurs sociaux de l’hôpital prétendaient que l’enfant était souffrante ou malade, la police a  décidé de prendre la garde de la petite fille. (Arguments complètement fabriqués pour justifier l’enlèvement). On a ensuite vacciné de force le bébé contre l'hépatite B, sans le consentement de sa mère! Toute cette affaire devait recevoir l’approbation du travailleur social Lopez-Heagy.

 

Il faut comprendre que si l’hôpital  fait enlever un bébé et que la santé de ce dernier est endommagée par un vaccin, le fardeau financier retombe entièrement sur la maman ! En fait, la maman pourrait même être accusée de « maltraitance » si les dommages provoqués par le vaccin ressemblaient de quelque manière que ce soit à des abus physiques (il arrive souvent que les vaccins puissent provoquer des contusions, des enflures et des lésions cérébrales comme on en retrouve par exemple dans le cas du Syndrome dit du « Bébé Secoué » ).

 

Le personnel hospitalier a ensuite kidnappé la petite fille et a jeté la maman dehors. Après avoir pris « possession » de la petite fille, ils ont contraint la maman et le père à dormir dans le parking de Wal-Mart. Ils ont autorisé la maman à rentrer toutes les trois heures dans l’hôpital pour allaiter le bébé. Et encore, il s'avère que ce délai était encore beaucoup plus espacé et donc non respecté.

 

Fort heureusement, ce cas a finalement été pris en charge par l'association HSLDA (qui défend l'enseignement à domicile), qui compte aider cette famille à intenter les poursuites judiciaires qui s'imposent au vu de la situation subie.

 

Michael P. Farris, président de HSLDA, justifie ainsi l'implication de son association dans la défense de ce type de cas:

 

 "Nous prenons ce cas en charge parce que nous sommes fatigués de constater l'érosion des droits parentaux, potentiellement dans chaque domaine de la vie. Les droits parentaux en matière médicale ont un impact sur bien d'autres droits parentaux, comme ceux ayant trait à l'éducation.  Et puis la vérité toute nue est la suivante: si nous ne nous battons pas pour la défense des droits parentaux, il est probable que nos droits parentaux seront érodés peu à peu, jusqu'à ce qu'il n'en reste plus rien."

 

 

Pour lire le compte-rendu intégral de cet incident (en anglais) : ICI 

 

 

 

Sources: NaturalNews; HSLDA; Setyoufreenews; The Healthyhomeeconomist

 

 

 

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commentaires

K
Tout simplement scandaleux!! et triste...
Répondre
I
<br /> <br /> Oui et hélas, d'après plusieurs autres articles que nous avons postés dans cette rubrique "Liberté & Démocratie", ces pratiques d'intimidation, de pressions et de vaccination forcée ne se<br /> limitent pas aux seuls USA, ils déteignent  sur beaucoup d'autres pays!<br /> <br /> <br /> <br />

                    

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