C'est le site Gaia Health qui rapportait l'information fin décembre dernier: "Epidémie de Tourette-like chez des filles d'une seule école: la seule explication est le vaccin anti-HPV."
Voici les autres détails apportés par ce site internet (traduction):
Dans l'école secondaire Leroy, à New York, un groupe de filles souffrent d'une maladie neurologique cauchemardesque. Elles sont prises de tics douloureux, à la manière de ce qu'on observe dans le syndrome de Tourette. L'origine de cette situation n'a pas été identifiée mais certaines possibilités ont été éliminées, laissant peu d'autres origines que la vaccination anti-HPV.
Ci-dessous, voici un reportage télé au sujet de ce qui est arrivé à ces filles:
Bien que ce reportage indique que 6 filles sont concernées, d'autres sources donnent des chiffres supérieurs avec un minimum de 8 filles dans cette situation.
Il y a trop d'anomalies pour que toutes ces filles puissent souffrir du Syndrome de Tourette:
- La maladie de Tourette affecte surtout les garçons et seul un cas sur 4 se produit chez les filles.
- C'est une maladie assez rare ne se manifestant que chez 0,5 à 2% de la population (1 personne sur 2000 à 2 personne sur 100)
- Même quand elle se manifeste, elle débute principalement chez les enfants entre 3 et 9 ans et dans la plupart des cas, l'état s'améliore en grandissant. Or ici, il s'agit toutes d'adolescentes.
- Les symptômes chez les filles relèvent plutôt de troubles obsessionnels compulsifs plutôt que de tics nerveux or toutes ces filles souffrent ici de tics nerveux.
Cet état pathologique n'a pas fait l'objet d'un diagnostic. Le Département d'état à la Santé conclut que c'est un mystère. Ils ont exclu les facteurs environnementaux. Aucune situation similaire ne s'est déjà produite avec des médicaments.
Regardons maintenant la probabilité que 8 filles puissent être affectées d'un syndrome de Tourette au sein d'une même école.
Envisageons même la fourchette haute à savoir qu'une personne de chaque sexe a 2% de risque de souffrir d'un tel syndrome. La probabilité pour que 8 enfants d'une même école et qui plus est, toutes dans la même année d'étude, souffrent de ce même syndrome sont astronomiquement faibles. Il faudrait une population scolaire presque plus vaste que la population mondiale pour que cela soit crédible! Même en considérant que le nombre de cas de cette maladie n'est pas réparti de manière uniforme, les probabilités sont tellement extrêmes qu'il est raisonnable de dire que c'est impossible. Et ceci sans même considérer que ce ne sont ici que des filles qui sont concernées.
Andrew Hilberger, un neurologue du centre médical United Memorial, situé dans le même compté que l'école secondaire de Leroy, estime qu'il est virtuellement impossible que le syndrôme de Tourette puisse concerner toutes ces filles. Il a aussi dit:
"De nombreux médicaments prescrits en cas de déficit d'attention peut provoquer cela, certains anti-dépresseurs le peuvent également."
Toutefois, les rapports officiels ne sont pas parvenus à retrouver pareille cause. Cette affaire fut révélée début novembre dernier. Fin novembre, les résultats officiels du Département de la Santé new-yorkais sont tombés. L'origine n'a pas pu être trouvée et apparemment, il n'y a pas de volonté de pousser plus loin les investigations.
La cause probable
Les filles et leurs familles sont abandonnées à leur triste sort avec ce genre de maladie neurologique débilitante auquel on n'a même pas trouvé de nom à part "Tourette-Like" (un genre de syndrome de Tourette).
Mais qu'est-ce qui donc peut affecter préférentiellement des filles et non des garçons? Et qu'est-ce qui est soudainement devenu fréquent chez les filles mais pas chez les garçons?
Il y a une seule réponse à ces questions: le vaccin anti-HPV Gardasil.
Face à un manque de volonté évident de trouver la cause de cette situation et le fait que le Gardasil est connu pour avoir déjà causé plusieurs dommages neurologiques, il devrait être clair que la prudence est de rigueur:
- Le cancer du col de l'utérus, prétexte à cette vaccination, constitue un très faible risque pour la plupart des femmes des pays industrialisés. Il n'y a virtuellement pas de risque q'une telle maladie survienne chez des adolescentes.
- Il n'a jamais été prouvé que cette vaccination puisse effectivement prévenir le cancer, raison supposée de l'existence d'un tel vaccin.
Il n'y a, dans ces circonstances, pas de justification légitime de poursuivre une telle vaccination généralisée chez les filles -et maintenant pour les garçons aussi!
Bien entendu, les officiels chercheront (la cause de ce syndrome Tourette-like) partout sauf du côté des vaccins. C'est sacré, on ne doit surtout pas y toucher!
En dépit d'une absence de preuves, le programme de vaccination, incluant le Gardasil, a été décrété sûr et l'administration s'en tiendra à cette version, quoi qu'il arrive. Les rapports d'effets secondaires sont simplement sous-comptabilisés quand ce n'est pas carrément dissimulés. Peu importe combien d'enfants et de familles sont détruites, les vaccins sont intouchables.
Maintenant, nous n'avons aucune preuve absolue que le Gardasil a causé ce dommage neurologique chez ces filles. Mais nous avons toutes les raisons de penser que c'est le cas.
Cette histoire de l'école secondaire Leroy démontre de façon éclairante que les profits de Big Pharma ont une bien plus grande valeur que la vie de ces jeunes filles.
Source: Gaia Health