Dans la droite ligne de l'absurdité des futurs "vaccins anti-allergiques" (étant donné que plusieurs vaccins créent des allergiques de toutes pièces, comme cela est scientifiquement prouvé), voici maintenant l'idée de vaccins contre les virus coxsakies, des entérovirus associés à certains cas de diabète insulinodépendant.
Voir + d'infos ici. (Medscape)
Mais le gros problème est que plusieurs vaccins sont déjà capables à l'heure actuelle de provoquer le diabète de type 1 (songeons au vaccin anti-hépatite B qui a provoqué une hausse de 60% de diabète insulino-dépendant chez des adolescents vaccinés en Nouvelle-zélande, ou encore au vaccin contre l'haemophilius influenzae de type b pour n'en citer que quelques uns, comme confirmé par les travaux du Dr J.B Classen).
Si on regarde d'une façon plus honnête la situation de ces virus coxsackies, on ne peut que remarquer qu'ils sont très similaires aux virus de la polio et que la vaccination contre la polio a généré une hausse compensatrice très importante des virus coxsackies (bien que cette vaccination polio doive absolument rester inquestionnable pour une majorité d'experts "bien pensants"!).
Ces virus coxsackies qui étaient généralement assez anodins sont devenus progressivement plus problématiques, en étant impliqués dans plusieurs phénomènes de "polio-like", c'est à dire des formes un peu atypiques de polio mais en présentant certaines caractéristiques: un genre de syndrome grave de fatigue chronique avec lésions cérébrales objectivables et action délétère sur les moto-neurones.
Par conséquent, cette fuite en avant vers des vaccins anti-coxsackies qui pourraient eux-mêmes induire le diabète de type 1 puisque chaque vaccin est un défi lancé au système immunitaire (encore plus fragile chez les gens à risque ou prédisposés) dans le prétendu but de prévenir le diabète insulinodépendant, confine à la folie et à la déraison.
Ce nivellement par le bas de la Science est déplorable: la recherche de pseudo-solutions miracles ou faciles avec vision ultra-étroite à court terme ne peut que déboucher sur plus de problèmes encore à long terme. Ces procédés répondent à des exigences d'actionnariats toujours plus voraces qui ont conduit à une sorte de prostitution de la Science.