Comme il est courant en la matière que l'on essaie de dénigrer voire même de faire taire des chercheurs ou des associations qui s'inquiètent de l'insécurité vaccinale et réclament une liberté de recourir ou non à ces produits, cela n'étonnera sans doute plus grand monde de savoir qu'en Australie, pays où l'acharnement vaccinal est maintenant à son comble, un procès avait été intenté à l'Australian Vaccination Network (AVN) par une instance officielle, sur base d'une plainte d'un groupe de parents croyant dur comme fer que la vaccination aurait forcément éviter le décès de leur enfant après une coqueluche.
La Commission des Plaintes en matière de santé publique (HCCC) qui prétextait fallacieusement que l'AVN "présente un risque pour la santé publique et la sécurité", entendait sans doute monter les citoyens les uns contre les autres, là où l'AVN a toujours défendu une liberté vaccinale qui permet pourtant à chacun de trouver son compte, que ce soit ceux qui entendent se protéger autrement ou ceux qui choisissent la vaccination et devraient en toute logique se sentir ainsi suffisamment protégés, le mythe le "l'immunité de groupe" ayant déjà été plus d'une fois écorné.
Cette Commission souhaitait que la justice ordonne à l'AVN de publier un avertissement sur son site selon lequel l'information diffusée serait partiale et incomplète, en défaveur des vaccins. Une exigence qui "ne manque pas d'air" si l'on peut dire puisqu'en réalité, bien en amont, ce sont des milliers de ligues et d'associations qui se sont constituées depuis 200 ans pour lutter contre des obligations et contraintes vaccinales inniques, basées sur des informations biaisées des autorités!
Car si des associations de vigilance citoyenne produisent sur leurs sites des informations jugées "déplaisantes" par les officiels, c'est d'abord et avant tout parce que les officiels n'ont jamais fait oeuvre de vérité en matière de risques vaccinaux depuis plus de 200 ans de pratique, comme en atteste une Xième fois d'ailleurs cette décision du 9 novembre dernier du Jury d'Ethique Publicitaire qui reconnaissait de façon éclatante le caractère TROMPEUR des informations diffusées dans cette sordide publicité gouvernementale, au mépris des exigences élémentaires de loyauté et de véracité.
Par conséquent, il est aussi fort logique que de telles associations n'aillent pas encore remettre sur leur site des copiers-collers trop longs d'une propagande qui n'est déjà que trop présente et assomme littéralement les citoyens (ou devrait-on dire les consommateurs), quand ce n'est pas un affligeant racolage par différents biais grotesques qu'on leur impose!
Mais l'attitude des officiels consistant à se faire passer comme irréprochables depuis toujours implique bien entendu d'inverser constamment les causes et les conséquences et donc de prétendre qu'ils doivent "réinformer" et rediffuser incessamment leur propagande assommante au prétexte que des victimes révéleraient leur histoire dans les médias, ébranlant ainsi à juste titre l'opinion publique.
Il ne faut pas tout inverser. Il faut tout simplement cesser la mauvaise foi et discerner que les victimes ont été méprisées, niées ou réduites au silence depuis si longtemps que de nombreuses personnes qui n'auraient pas accepté la vaccination si elles en avaient été au informées, l'ont finalement acceptée pour à présent tant le regretter!
Meryl Dorey, qui préside le groupe AVN, a tenu à rappeler à cette occasion
que son fils a été victime du vaccin DTP à l'âge de 2 mois et du ROR à 12 mois.
Cette victoire du groupe indépendant australien AVN est donc salutaire, la Cour Suprême du district ayant estimé la Commission des Plaintes en matière de santé (HCCC) non compétente pour publier un tel avertissement au public au sujet du groupe d'AVN, pas plus que pour diligenter une enquête à leur sujet.
Ceci montre donc que les officiels ont encore et toujours la tendance et le souhait de se placer au-dessus des lois. Les groupes de pression liberticides appellent quant à eux à une modification des lois de façon à rendre ce genre de groupes citoyens "hors la loi".
Il est vrai que quand la vaccination n'a plus la cote, il reste généralement peu d'autres solutions commerciales que de contourner les règles et les droits des gens pour leur imposer coûte que coûte ce qu'ils répugent à subir. En Belgique, suite à la victoire en première instance d'une maman à Tournai pour refus de vaccination polio, plusieurs personnalités politiques se sont alors exprimées sur l'opportunité de modifier la précieuse loi de 2002 sur les droits du patient pour l'adapter et la rendre compatible avec l'illégitime et obsolète obligation vaccinale...
"J’ai demandé à mes services d’examiner la question de la contradiction entre l’arrêté royal du 26 octobre 1966 rendant obligatoire la vaccination antipoliomyélitique et la loi sur le droit des patients de 2002, plus spécialement son article 8. Si nous devions arriver à la conclusion qu’il existe bel et bien une contradiction, il sera alors nécessaire de modifier la législation pour maintenir le caractère obligatoire de cette vaccination." Laurette Onkelinx, 23 mars 2011.
Source: News.com.au