Une maman partage l’histoire de son petit garçon endommagé par un vaccin
Michael Chen, 3 février 2015
En septembre 2008, Leyo Smith avait 18 mois quand on lui administra deux vaccins, y compris un vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche.
Quelques heures à peine après avoir reçu ces vaccins, sa maman Amy Mitten-Smith se rendit compte que quelque chose ne tournait pas rond.
« Le site de l’injection était rouge, gonflé et dur au toucher » explique Madame Mitten-Smith.
Dans les jours qui ont suivi, il a fait de l’urticaire, de la fièvre et ses articulations étaient gonflées. Au cours des semaines qui ont suivi, il a commencé à faire des convulsions.
Les médecins ont dit qu’il s’agissait d’une réaction vaccinale rare.
« Le médecin a dit qu’il s’agissait d’un cas sur un million », dit Madame Mitten-Smith.
Deux mois après les injections, les symptômes ont disparu, mais Leyo a arrêté de parler. Il avait pourtant, jusque là, été en avance dans son développement. Il faisait déjà de phrases de trois, quatre mots.
Huit mois plus tard, les symptômes sont réapparus quand Leyo fit un rhume. Cette fois Leyo fit un tic involontaire de l’œil.
C’est peu de temps après que le diagnostic d’autisme tomba. Plus tard, il développa un syndrome de Tourette, trouble obsessionnel-compulsif et dysfonction mitochondriale.
Sa maman dit qu’elle se sent constamment coupable.
« En tant que parents, nous voulons protéger nos enfants », dit Madame Mitten-Smith, éclatant en larmes. Je pensais que je le protégeais en lui faisant administrer ces vaccins, mais finalement j’ai contribué à endommager sa santé pour le restant de ses jours. »
J’ai contribué à endommager sa santé pour le restant de ses jours
La maman a fait appel au programme National d’Indemnisation après dommages vaccinaux. Les plaintes contre les fabricants de vaccins ne sont pas autorisées.
Le tribunal des vaccins a déterminé que la santé de Lyo avait été endommagée par les vaccins. La maman a reçu 55.000 dollars. Le jugement n’a pas pris en compte le diagnostic de l’autisme.
Les responsables de la santé des Etats-Unis ont expliqué que trois décennies de recherches ont montré que les vaccins étaient sûrs et que le lien avec l’autisme n’avait pas été établi.
« Je pense qu’il y a des associations qui doivent être réexaminées. Je vis avec un enfant qui a été diagnostiqué autiste. Sa santé a été endommagée par les vaccins » explique la maman.
La maman dit qu’elle veut partager son histoire parce que, suite à l’épidémie de rougeole, des personnes réagissent à l’encontre de parents qui choisissent de ne pas faire vacciner leur enfant.
« Je regrette de ne pas m’être documentée sur les produits que l’on a injectés à mon enfant, parce que maintenant il est trop tard. – Les parents devraient être informés. Je ne voudrais pas que quiconque ait à vivre ce que nous avons dû subir.»
Depuis 1988, des milliards de vaccins ont été administrés aux Etats-Unis.
Au cours de cette même période, on a enregistré 15.684 plaintes pour dommages de santé et décès à la suite des vaccins. Le National Vaccine Injury Compensation Program a été saisi. Parmi ces cas, 4.000 seulement ont été indemnisés par des fonds fédéraux.
Source: 10news.com
OUI, hélas, la vaccination contribue clairement à créer de toutes pièces des cas d’autisme et non, ce type de témoignage ci-dessus, comme il en existe des milliers d’autres, ne peut pas systématiquement être mis sur le compte d’une simple « coïncidence » (baratin habituel des officiels devenu littéralement intenable)… Nous invitons les lecteurs à se rendre compte de la totale irresponsabilité des officiels en prenant notamment connaissance des articles suivants:
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