Une petite fille perd la moitié de son cerveau après le vaccin ROR (Rougeole-Oreillons – Rubéole)
Par Anne Abbot, 8 janvier 2015, Health Impact News- The SnapMom.com
Extraits:
Quand notre petite fille Roz est née le 17 juin 2010, elle était heureuse et en parfaite santé. Elle s’est bien développée comme tous les enfants de son âge. Elle était même en avance à chaque étape de son évolution. Mon mari et moi avons décidé de lui faire administrer les vaccins séparément avec un certain retard sur le calendrier habituel. Notre premier médecin de famille lui avait administré le vaccin PediaX avec une combinaison d’autres vaccins
A l’âge d’un an, nous lui avons fait administrer les vaccins DTCa (= diphtérie, tétanos, coqueluche) en étalant les différentes doses sur une certaine période. C’est au cours du bilan de ses deux ans que nous avons décidé de commencer à lui faire administrer les vaccins ROR.
C’est le 12 juin 2012 que Roz a reçu son vaccin ROR. Elle a connu une période difficile comme elle en avait connue une après le DTCa, mais après une semaine, elle paraissait comme un peu perdue et ne réagissait pas. Cette période difficile se poursuivit. Le 27 juin, elle a commencé à faire un peu de fièvre. Le 28 juin, après qu’elle ait pris son bain, mon mari l’a assise sur une chaise. Roz est ensuite sortie très peu de temps. Mon mari est rentré cinq minutes plus tard parce qu’il avait noté que le petite ne bougeait plus, elle regardait fixement et ne réagissait plus. Nous l’avons immédiatement conduite aux urgences. Trente minutes plus tard, le médecin nous confirma qu’elle avait fait une crise convulsive et qu’elle avait de la fièvre. Ils ont commencé à faire toute une série de tests, mais n’ont rien trouvé en matière d’infection, ni virus, ni bactérie. Roz fut ensuite transférée à l’hôpital des enfants où elle a passé la nuit en observation. Les médecins nous ont redit qu’elle avait fait une convulsion fébrile. Ils nous ont dit de ne pas nous tracasser parce que ce problème arrivait souvent aux enfants.
Le 1er novembre quand Roz s’est réveillée, nous avons remarqué que son comportement était étrange, puis elle a brusquement commencé à faire des crises. Nous lui avons donné du Diastat. Une heure plus tard, elle s’est réveillée et a recommencé à faire une crise. Nous nous sommes finalement retrouvés à l’hôpital des enfants.
A partir du début décembre, elle faisait des crises environ chaque mois, et le pire c’était que les crises s’aggravaient… A partir d’avril 2013, elle a commencé à faire des crises chaque semaine. A la mi-avril, Roz a eu trois fortes crises tonico-cloniques au cours d’une seule semaine. Nous avons alors décidé de la conduire à l’hôpital des enfants de Cincinnati pour obtenir des réponses. Au travers de toutes ces crises, Roz a continué à se développer normalement sauf en ce qui concerne un retard de langage. Après un certain temps, ses crises se sont modifiées, mais sont devenues plus fréquentes.
Le neurologue nous a suggéré de rencontrer un spécialiste de l’épilepsie pour voir si Roz ne devrait pas subir une chirurgie du cerveau. Le 7 octobre 2013, la surveillance (EEG) qui dura une semaine et les principaux scans apportèrent la conclusion que Roz était candidate pour une résection chirurgicale de son lobe occipital droit.
Les scanners ont montré une région du cerveau qui s’amincissait. Nous avons donc dû attendre et avons observé qu’elle faisait encore plusieurs crises par jour. 120 électrodes furent placées sur le côté droit du cerveau. Nous avons rencontré les médecins tous les jours. Ils nous ont dit que les crises n’arrêtaient pas de se produire sur l’hémisphère droit du cerveau et pas seulement sur le lobe occipital droit. Ils ont ajouté qu’une résection n’était pas une option. Nous nous sommes effondrés. Les médecins ont finalement obtenu l’information dont ils avaient besoin. Ils ont estimé que Roz souffrait du syndrome de Rasmussen ou dysplasie corticale. Notre petite fille qui avait toujours été normale devait subir une craniotomie, ainsi qu’une hémisphérotomie qui lui provoquerait une hémiparésie. On a dû lui enlever la moitié de son cerveau)
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Source : Health Impact News