Notre petite fille Emily était magnifique, tellement éveillée, très vivante, très intelligente ; elle s’intéressait à tout. Elle était en parfaite santé. On nous disait qu’elle était très précoce pour son âge ; elle faisait l’admiration de tous et progressait normalement. Nous étions très fiers de tout ce qu’elle savait faire, jusqu’à ce que…
A 15 mois, elle reçut 9 vaccins dont le vaccin contre la coqueluche.
Quatre heures plus tard, elle a commencé à faire de la température et à pousser de terribles cris, elle perdait régulièrement connaissance, ne savait plus se concentrer ; son degré de tolérance à la souffrance, à ses limitations et à la frustration était très faible Dans la suite, elle n’a plus été capable de faire ce qu’elle faisait auparavant ; elle traînait la jambe, avait peur des bruits, elle se cachait et se bouchait les oreilles ; ses réactions n’étaient plus normales elle n’était plus la même et le calvaire a commencé…
La maman raconte :
Une connaissance m’a un jour suggéré de lire l’ouvrage de Barbara Loe Fisher « A Shot In The Dark » (Ouvrage sur les conséquences du vaccin DTC). Ce livre m’a complètement bouleversée. En larmes, elle déclare : « après avoir lu ce livre j’étais complètement effondrée, furieuse et désespérée parce que j’ai réalisé « qu’ils » savaient et n’ont rien voulu me dire ! Pourtant, j’avais expressément demandé si ces vaccins pouvaient être dangereux, s’il y avait des risques, et on ne m’a rien dit par rapport aux risques que je faisais courir à mon enfant. Après avoir lu le livre, j’ai réalisé que ce qui était arrivé à Emily était aussi arrivé à bien d’autres enfants, mais nous ne savions pas que les vaccins étaient susceptibles de provoquer d’aussi graves dommages. »
« Après bien des démarches, séjours dans des hôpitaux, dans plusieurs centres ; après avoir passé quantité de tests, d’examens en tous genres, le neurologue nous a avoué qu’il savait que ce genre de troubles pouvait se produire après les vaccins, qu’Emily n’était pas la première et ne serait pas la dernière !
Nous avons alors appris qu’Emily avait fait une encéphalopathie ; elle avait eu un œdème du cerveau et souffrait d’épilepsie, de déficit de l’attention (TDA), de dépression, d’anxiété et de déficit immunitaire…Elle est maintenant contrainte d’endurer ces souffrances jour après jour. L’enfant que j’ai un jour conduite chez le pédiatre n’était plus du tout la même que celle à qui j’avais donné la vie… »
« Alors qu’elle était aussi en parfaite santé, notre deuxième fille a fait une forte fièvre 24 heures après avoir été vaccinée. Elle n’arrêtait pas de pleurer, de crier ; elle avait une très grande fatigue et avait perdu l’appétit…Tout cela a complètement bouleversé notre vie de famille, notre vie sociale et professionnelle. Quand vous sortez avec un enfant qui souffre, pleure et crie constamment, tout le monde vous regarde. On vous prend pour de mauvais parents. Personne ne peut imaginer à quel point des vies de famille peuvent être complètement bouleversées. »
« Nous devons être réalistes, dit le papa. Nous faisons l’impossible pour lui venir en aide, pour lui apporter tous les soins nécessaires. Nous avons dépensé de telles sommes d’argent, alors que tout cela aurait pu être évité. Mais quant à son futur nous ne savons rien ! - Emily a maintenant 12 ans. »
« La grand-mère d’Emily essaie au maximum de nous venir en aide, car elle a aussi douloureusement fait l’expérience des effets secondaires des vaccins. Elle en a elle-même souffert, ainsi que ses propres enfants. »
Infirmière de profession, elle a aussi vacciné des enfants au début de sa carrière. On ne lui avait jamais rien dit par rapport à des effets secondaires éventuels. Au contraire, dit-elle, on nous disait que les vaccins étaient le meilleur moyen de maintenir les gens en bonne santé ; c’était vraiment la règle d’or des soignants.
« Après mon premier vaccin, mes yeux, ma langue, ma gorge ont commencer à gonfler, mon visage était disproportionné, toutes mes articulations me faisaient mal (arthrite), je n'avais plus d'énergie, j'avais mal partout; je n'étais vraiment plus moi-même. J'ai dû continuer à vivre avec tous ces maux.»
On m’a répondu que mon état n’avait rien à voir avec les vaccins, qu’il s’agissait de coïncidences. Une amie infirmière qui avait reçu le même vaccin, avait bizarrement éprouvé les mêmes symptômes que moi.
Quand j’ai appris que le vaccin qui lui avait été administré provenait d’un autre lot de vaccins, j’ai fini par tout comprendre…
Mon premier fils a reçu le vaccin DTC à 6 ans. Il en a été terriblement malade. Le pédiatre nous a dit qu’il ne devait plus jamais recevoir de vaccins. Mon deuxième enfant a souffert d’épilepsie après ses vaccinations et a dû être hospitalisé.
Mon fils Joe a fait la rougeole 2 semaines après son vaccin ROR (Rougeole-Rubéole-Oreillons). Nous avons dû nous rendre aux urgences le jour même de Noël… »
Source: interview intégrale de cette famille par Barbara Loe Fisher, présidente du NVIC, ICI