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2 avril 2011 6 02 /04 /avril /2011 00:00
Mineurs et vaccinés

Anne-Bénédicte BAILLEUX, mère de famille

 

7/09/2009 (La Libre Belgique)

 

 

On vaccine un peu comme on consomme. Avec frénésie. Et nul n'a le droit de résister... Les vaccins nagent à contre-courant de l'esprit du siècle : ils ne sont ni bios ni écolos.

 

La vaccination est considérée aujourd’hui comme le meilleur moyen de protection contre une série de maux susceptibles d’endommager gravement la santé. On vaccine contre tout (ou à peu près) : du rotavirus aux oreillons en passant par - bientôt - la fameuse grippe A/H1N1. Bref, on vaccine un peu comme on consomme. Avec frénésie. Et nul n’a le droit de résister

 

Ma fille fut accueillie, à l’aube de sa vie, par une nuée de fées aux doigts piquants mandées par le grand parrain, l’Etat-Providence, pour veiller sur les enfants-qui-jamais-ne-seront-malades. Leurs cadeaux ? Des poignées d’injections bienfaitrices dont le secret de fabrication, jalousement gardé par quelque firme pharmaceutique philanthrope, renfermait l’un ou l’autre trésor genre cellule de rein de singe (1) dotée d’une infime parcelle de virus SV40 et agrémentée d’un soupçon de mercure. Des ennemis XXL pour une armée de lymphocytes encore bien immatures. Un programme tout en douceur pour bien commencer une vie semée de dangers. Vous l’ignoriez ? Moi aussi, jusqu’à ce que la dame de l’ONE m’apprenne à quel point il est périlleux de vivre : un tétanos au coin d’une épine de rose, une coqueluche dans la cuillère du voisin, la rougeole partout dans l’air qu’on respire sans parler de l’hépatite B, si fréquente chez les petits.

 

Et si ma fille n’attrapait pas ces maladies ? Ou mieux, si vous étiez capable, Madame, de la guérir, le cas échéant ? "Les maladies infantiles tuent encore aujourd’hui !", vous offusquez-vous. Décidément, vos cordes vocales semblent ne vouloir vibrer qu’au son funèbre des vocables "danger" et "mort". Et les gens qui font des bronchites chroniques après un vaccin ? Les morts subites ou les enfants devenus autistes le lendemain d’une vaccination ? Ou les patients qui développent des cancers : de l’ADN contaminant contenu dans un vaccin est venu s’intégrer à leur génome et dérégler le fonctionnement de certains gènes. Ces tristes exemples n’illustrent-ils pas le fait que la vaccination aussi peut-être dangereuse ? Ces gens sont-ils à classer dans la catégorie des pauvres malchanceux, sacrifiés sur l’autel du bien-être collectif ? L’éthique, Madame, ne ferait-elle pas partie de vos préoccupations ? "Les vaccins d’aujourd’hui sont inoffensifs, leurs composants sont parfaitement contrôlés", vous fâchez-vous. Votre point de vue sur l’innocuité des vaccins d’aujourd’hui revient donc à admettre qu’hier, il y eut des vaccins moins bons. Vous reconnaissez ainsi le caractère hypothétique de la science qui se nourrit d’expériences. "La certitude dans le domaine des sciences est le plus sûr allié de l’obscurantisme", disait Popper(2). Le caractère scientifique de la vaccination ne serait-il pas en train de s’effilocher ? Comment pouvez-vous, Madame, affirmer que les composants d’un vaccin ne présentent aucun danger aujourd’hui alors qu’on ne dispose pas d’un recul suffisant pour en juger ? Et que répondez-vous à vote confrère, le docteur Reynders qui, dans "La Libre" du 31juillet, à propos de la grippe A, recommande de ne vacciner que les groupes à risque car "on manque de recul pour ses effets secondaires éventuels " On est d’ailleurs tenté de lui demander : "Pensez-vous vraiment qu’il soit raisonnable d’exposer des personnes particulièrement vulnérables à un vaccin qui risque d’avoir des effets nocifs sur leur santé déjà fragile ?"

 

Les vaccins nagent à contre-courant de l’esprit du siècle : ils ne sont ni bios ni écolos. On sensibilise aujourd’hui sur les dangers liés à ce que nous manipulons, inhalons et ingérons : phtalates, tabac, huiles végétales hydrogénées Se souciera-t-on un jour d’informer les gens sur ce qu’on leur injecte ? Mercure, aluminium, endotoxines. Cocktail explosif. A l’image des pesticides, les composants chimiques des vaccins colonisent nos organismes, s’y tapissent de longues années et y perturbent nos cellules. C’est ainsi qu’on voit germer, longtemps après, des nénuphars dignes d’un bon Boris Vian Mes propos sont inacceptables ? Il est plus confortable sans doute de courber l’échine pour se laisser administrer le prochain vaccin contre la grippe saisonnière. Savez-vous d’ailleurs qu’en vertu du principe de "péché originel antigénique", il n’est pas rare que ce vaccin stimule une mémoire immunitaire inadaptée à la souche saisonnière ? Serait-ce l’ignorance de l’Etat qui le pousse, en pleine récession, à offrir ses millions pour une vaccination qui reste controversée, même parmi les spécialistes ?

 

Il est regrettable, enfin, de voir tant de formules chimiques briser l’équilibre écologique du monde microbien. En allant à l’encontre de la puissante nature, les vaccins nous exposent à des dangers plus graves que ceux qu’on cherche à éviter. On veut éradiquer une bactérie ? Et on en fait fleurir une autre de la même famille ! Cela s’observe aujourd’hui entre autres avec les pneumocoques : on voit croître les infections dues à des sérotypes non contenus dans le vaccin.

 

J’entends les quolibets. Comment peut-on laisser publier de telles inepties ! La vaccination sauve des millions de vie. Possible. Mais elle en abîme aussi beaucoup. Le nier, c’est perdre son crédit de scientifique. Sans doute il est des cas où la vaccination est nécessaire, mais je ne crois pas qu’il soit souhaitable de voir tous les bébés du monde se faire inoculer tant de bacilles atténués. J’avais rêvé pour mon enfant d’une médecine moins peureuse et moins agressive, qui s’adresse à des individus et considère la maladie comme une épreuve nécessaire, même positive sur le parcours d’une vie. Il a maintes fois été démontré que nous n’avons pas la même capacité de réponse face à un agent pathogène. Comment peut-on affirmer dès lors que des vaccins standards conviennent à des individus uniques ?

   

Ce qui m’importe, en tant que maman, c’est de pouvoir choisir à quels risques je préfère exposer mon enfant : ceux liés à sa nature d’être humain vulnérable ou les risques liés à la vaccination. C’est une question personnelle et chacun devrait recevoir l’information suffisante qui lui permette d’y répondre librement, sans être jugé. Cela semble malheureusement impossible dans une société où, pour inscrire son enfant à la crèche, il faut rentrer le formulaire qui atteste qu’il est vacciné. D’autant plus impossible que le monde médical, dans une attitude de repli hostile, n’a que le mépris à offrir en guise de réponse aux médecins qui osent résister. On fait aujourd’hui le procès de l’intolérance mais on encourage la pensée unique. Même les journaux prennent l’autoroute : ils ont réservé dans leurs colonnes un espace pour alimenter la peur. La peur du danger imminent : un discours qui rapporte et qui fait avancer le troupeau dans la bonne direction. Dites-moi, Madame, dans un monde si dangereux, l’ONE recommande-t-elle encore d’avoir des enfants ? Ne faudrait-il pas inventer un vaccin ?

 

1. Substrat couramment utilisé dans la production des vaccins. 2. Philosophe des sciences, 1902-1994.

 

 

 

  

Témoignage d'Audrey. 21/03/2011 (lu sur Pharmacritique):

 

 

"Je comprends à 200 % la maman de ce petit garçon (ndlr: la maman acquittée en première instance à Tournai)

Je crois que notre histoire et notre parcours en matière de vaccination est emblématique du malaise éthique qui entoure aujourd'hui la question.

Cela fait totalement écho au courrier que j'ai envoyé la semaine dernière à une pédiatre qui a suivi mon fils.

Je vous en livre la teneur :

"Docteur,

Cela fait un certain temps pour ne pas dire un an que je voulais prendre la peine de répondre avec tact et mesure à votre courrier du 8 mars 2010 dont je vous remercie.

Je ne vous cache pas qu’il m’avait cependant fort contrariée car pour moi le sujet de la vaccination reste particulièrement sensible.

Je tiens à vous redire que je vous estime beaucoup et que vous avez été une des seules dans le monde médical à nous tendre la main et à nous aider. Aussi ne vous méprenez pas sur mon courrier qui ne vous vise pas personnellement, il est l’expression d’une colère avec laquelle j’ai du apprendre à vivre et que j’ai parfois besoin d’exprimer.

Nous avons pris bonne note de la pseudo « stratégie vaccinale » proposée par INFOVAC qui, de façon très curieuse, ne répond absolument pas au cas particulier et précis de notre fils.

Je ne cesse de me demander pourquoi n’y a-t-il pas d’individualisation du geste vaccinal qui est et demeurera toujours un acte médical à part entière engageant la responsabilité autant médicale que morale et éthique de celui qui le pratique.

Je regrette, en effet, de constater que des questions fondamentales restent et resteront probablement toujours sans réponse.

Je fais référence aux échanges de mails que nous avons eu il y a trois ans, que j’ai soigneusement conservés, aux termes desquels vous estimiez que « je posais de bonnes questions ». Pour mémoire je vous rappelle que je m’étonnais que le titrage des anticorps vaccinaux réalisés après les deux injections en bonne et due forme subies par mon fils montraient une absence totale de réponse vaccinale ce qui d’après tout ce que j’ai pu lire sur la question n’est pas normal.

Vous m’indiquiez alors qu’il n’y avait rien d’étonnant à cela puisque dénutri au moment des injections il n’aurait pas été en capacité de développer une réponse appropriée.

Or je rectifiais alors la chronologie des évènements vous rappelant que loin d’être dénutri au moment des injections sa courbe staturo-pondérale reflétait un bébé se développant au contraire au niveau des moyennes hautes.

Vous me faisiez alors part de l’hypothèse selon laquelle il est possible qu’une hypogamaglobulinémie ait pu préexister mais qu’on ne le savait pas.

J’en avais déduit avec horreur que finalement aucune précaution n’est donc prise à priori pour savoir si un tout petit bébé est en capacité de supporter la vaccination.

On nous a volé un bonheur auquel nous avions droit notamment en nous manipulant par la peur et en ne nous informant pas ou mal.

Dire que je pensais que le prevenar protégeait de la méningite bactérienne…ce que m’avait laissé penser la pédiatre, or tout ce que j’ai pu lire depuis sur la sujet a achevé de me convaincre que ce vaccin est bien plus une machine à cash qu’un réel progrès dans la lutte contre les méningites à pneumocoques ou les otites comme on a même tenté de nous le faire croire à un moment donné ! Mes neurones et mon esprit critique étaient malheureusement en sommeil à ce moment là.

Je vous rappelle que lorsque T a été vacciné il a été incapable de fabriquer des anticorps. Cependant absence de réponse vaccinale ne veut pas dire absence de réponse immunitaire (cf photos jointes = eczéma + intolérance au lait + diarrhées chroniques + dénutrition + asthme allergique….).

Son organisme n’a pas pu se défendre contre l’agression et semble en avoir été définitivement altéré mais on voudrait nous faire croire que c’est anodin, qu’il « conviendrait» de recommencer les injections sans autre précaution puis de voir ce qui se passe….j’avoue que quand j’ai reçu votre courrier je n’en suis pas revenue.

Voilà tout ce qu’on nous propose ! Je trouve cela tout à fait inacceptable pour ne pas dire indécent ! C’est comme si on niait notre cauchemar et nos souffrances.

Dans notre vie et celle de notre fils il y a eu un avant et un après la vaccination tout à fait traumatisant qui a nous changés à jamais.

Un avant avec un bébé en parfaite santé grandissant et grossissant parfaitement normalement et un après avec un enfant que nous avons vu dépérir et souffrir le martyr totalement impuissants, que avons cru perdre et qui souffre aujourd’hui d’allergies respiratoires qui bien qu’à peu prés maîtrisées restent malgré tout socialement largement invalidantes.

Je ne saurai vous décrire la culpabilité et la peine qui m’étreignent toujours prés de six ans plus tard lorsque j’entends mon enfant suffoquer assis sur son lit à deux heures du matin en pleine période de pollinisation, lorsqu’il se lève le matin épuisé, les yeux cernés parce qu’il a toussé toute la nuit, qu’il rentre en pleurant de l’école parce que les autres enfants se sont moqués des plaques rouges qui apparaissent et disparaissent de ses joues….

Sur le papier et dans la théorie quand on cherche à tout prix à se faire bonne conscience l’allergie c’est anodin, dans la vraie vie c’est autre chose. Je ne parle même pas des allergies comme l’arachide où les parents doivent vivre constamment avec la peur de la mort.

Je voudrai redire que je considère qu’il est parfaitement légitime de s’interroger sur l’incidence de la vaccination dans la gravité des pathologies du système immunitaire dont T a souffert ou souffre actuellement.

Personne ne m’empêchera de le faire, de le dire et de l’expliquer sans relâche autour de moi.

Je l’assume et je ne suis pas loin de le revendiquer. Je fais même des émules.

Nous ne sommes plus au moyen âge, la vaccination n’est pas un dogme qu’il est interdit de remettre en cause sous peine de passer pour un hérétique.

J’ai bien compris qu’il s’agissait là d’une piste qui ne serait jamais explorée et quiconque s’y risquerait se verrait immédiatement cloué au pilori. Dans ces conditions vous ne pouviez me faire d’autre réponse que celle de votre courrier du 7 mars de l’année dernière et croyez bien que je ne vous en tiens nullement rigueur.

Il n’en demeure pas moins que c’est pour moi intellectuellement et moralement intolérable.

Croyez-moi, j’ai depuis bien pris la mesure des rapports de force et des enjeux financiers liés à la vaccination massive mais je me demande au quotidien comment si j’étais médecin je pourrai me regarder en face chaque matin :

- En omettant de préciser aux parents que je leur prescris un vaccin pentavalent ou hexa avalent alors que seules trois valences sont légalement obligatoires
- En laissant croire aux parents que le prevenar est un vaccin qui protège de la méningite bactérienne
- En omettant de préciser aux parents que je leur prescris un vaccin hexavalent contenant l’hépatite B parce que c’est pénible d’avoir à répondre à des questions gênantes
- En piquant à la chaîne des centaines de bébés d’à peine quelques mois dont je connais rien du développement neurologique ou du statut immunitaire en me disant je pique d’abord et que je verrai ensuite… « un pourcentage de déchet » étant inévitable.
- En menaçant les parents qui souhaitent simplement différer un peu les vaccins de les mettre à la porte de mon cabinet
- En maniant cet argument redoutable de la psychose de la mise en danger de l’enfant pour emporter à tout prix la conviction de la nécessité de multiplier les injections
- En refusant d’agir avec circonspection lorsque je constate une éventuelle mauvaise réaction….

Je l’ai vécu personnellement ou au travers du récit de jeunes parents dont mon entourage est essentiellement composé. Je ne cesse d’être révoltée par ces pratiques.

A quand un vaccin contre le rhume ? Je suis sure que dans un avenir proche on arrivera à diaboliser et à faire peur avec les nez qui coulent à des fins mercantiles !!!

L’excès conduit toujours au rejet.

J’imagine qu’il doit falloir se répéter sans relâche qu’autant de « malhonnêteté » ne sert qu’à protéger l’humanité. Par curiosité j’aimerai vraiment savoir si les professionnels de santé qui se comportent de la sorte y croient vraiment ou s’il s’agit de se raconter une histoire pour pouvoir continuer à piquer à la chaîne sans se poser de questions. La pression est-elle si importante qu’il faille en arriver là ?

J’avoue que c’est une drôle de conception de l’éthique et que cela me paraît en totale contradiction avec la déontologie et la responsabilité médicale.

Une de mes amies vétérinaire individualise bien plus le geste vaccinal vis-à-vis des petits chiots ou chatons qu’elle voit en consultation, c’est assez stupéfiant quand on fait un parallèle avec la vaccination des nourrissons.

Bien sur les statistiques officielles démentent l’éventualité d’effets indésirables de la vaccination mais combien de cas comme celui de Théodore ne rentreront jamais dans les statistiques ?

On m’objectera que rien ne prouve que la vaccination soit en cause, à cela je réponds que de la même façon rien ne démontre qu’elle ne soit pas en cause puisque par principe cette piste n’est même pas investiguée.

Les récents développements dans le monde de l’industrie pharmaceutique n’ont fait que confirmer malheureusement que notre pharmacovigilance est totalement gangrénée par les lobbys pharmaceutiques et les compromissions de toutes sortes.

Je ne me reconnais pas dans les arguments des ligues anti-vaccinales extrémistes mais je réclame le droit d’être sujet et non pas objet dans la façon dont est appréhendée la santé de mes enfants auquel je souhaite offrir autre chose dans ce domaine que la roulette russe.

Les « piqueurs » ne sont pas les « payeurs », nous l’avons appris à nos dépens.

Je ne suis pas anti-vaccins.

Cependant je reprendrai confiance quand :

- je serai convaincue que nous avons une vraie pharmacovigilance
- que le geste vaccinal est individualisé
- qu’on ne m’assure pas avec aplomb qu’il n’existe aucune contre-indication et que les effets indésirables sont minimes et peu nombreux
- que je ne serai pas confrontée en permanence à des arguments non scientifiques constamment culpabilisants mais systématiquement irrationnels basé sur la psychose et qui n’ouvrent la voie à aucune discussion.

Vous le savez comme moi, aujourd’hui il n’est même plus possible de pratiquer les seuls vaccins obligatoires puisque le seul DTP a été retiré opportunément du marché il y a plus de trois ans.

Dès lors l’obligation existe mais les moyens matériels et la liberté de choix n’existent plus, ce qui pose un évident et grave problème juridique qu’il va bien falloir régler. D’autant que nous sommes avec l’Italie (et c’est loin d’être un exemple en matière de démocratie) le seul pays européen à connaître une situation aussi scandaleuse d’obligations extensives forcées.

J’ai la chance d’avoir fait du droit mon métier, ce qui me permet au moins de savoir exactement à quoi je suis tenue et ce qu’on ne peut m’imposer.

Il suffit de parcourir 80 kilomètres et de passer la frontière suisse où il n’existe pas d’obligation vaccinale pour se procurer la forme pédiatrique d’un monovalent tétanos pour les nourrissons sans que les médecins ou les pharmaciens ne trouvent la demande saugrenue ou impossible à satisfaire.

Pour conclure, je dirai simplement que ce n’est pas donné à tout le monde d’avoir le courage d’une Irène Frachon. Je ne suis pas sure que j’en aurai moi même le cran si j’étais concernée….

Je vous prie de croire, docteur, à l’assurance de toute ma considération."

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