Deux études montrent que, pendant la grossesse, une inflammation peut être liée aux vaccins et à l’autisme.
Jeffry John Aufderheide, 23 mars 2013.
L’inflammation est un bio-marqueur commun aux enfants autistes.
Si vous êtes enceinte, votre médecin pourrait représenter la plus grande menace pour le développement du cerveau de votre enfant.
Permettez que je m’explique.
Au cours de la grossesse, votre réponse immunitaire est plus souvent sujette à des inflammations systémiques que quand vous n’êtes pas enceinte. Ce type de réponse peut être nocive pour le fœtus en développement et être une conséquence involontaire du corps qui cherche à se protéger tout au cours de la grossesse.
Par exemple, les scientifiques savant que les femmes infectées par la grippe au début de leur grossesse sont beaucoup plus susceptibles de donner naissance à un enfant atteint de schizophrénie, de paralysie cérébrale et d’autisme. Autrefois, on pensait que c’était la mère qui passait le virus à l’enfant.
On sait maintenant que c’est la réponse immunitaire inflammatoire de la mère à une infection virale ou bactérienne qui peut endommager le cerveau du bébé. Or, c’est précisément ici que se trouve le piège souvent ignoré par les médecins et les services de santé.
Les données du chercheur Paul Patterson de Caltech montrent que, chez la souris, la stimulation du système immunitaire sans qu’intervienne un agent infectieux peut produire des résultats similaires. [1]
Cela veut-il dire que les médecins peuvent continuer à prétendre que les 25 microgrammes de mercure qui se trouvent dans chaque vaccin contre la grippe sont sans danger ?
Quoi qu’il en soit de nombreux médecins, organisations professionnelles et gouvernementales continuent de recommander les vaccins antigrippe à toutes les femmes enceintes. [2]
Ce que je veux montrer c’est que la folle politique vaccinale gouvernementale fait courir des risques à toutes les femmes enceintes.
Avant que je ne vous explique comment les vaccins peuvent provoquer des inflammations chez les femmes enceintes, je pense qu’il est sage de vous faire part du conseil de l’économiste Milton Friedman qui a dit : « Une des plus gaves erreurs que l’on puisse commettre est de juger les politiques et les programmes par les intentions plutôt que par les résultats. »
Une étude récente relie l’autisme à l’inflammation.
Une étude récente de janvier 2013 et financée par l’Institut National de Santé (NIH) a pu montrer qu’une inflammation chez la mère pendant les premiers temps de la grossesse augmentait les risques de développer l’autisme. [3]
Les chercheurs qui ont réalisé cette étude ont pu examiner les archives d’une banque finlandaise de sérums (FMC) - une collection d’échantillons de sérums recueillis depuis 1983.
En Finlande, le sérum est prélevé au cours du premier trimestre et au début du second chez plus de 98% des femmes enceintes. [3]
Les scientifiques ont analysé 677 cas d’autisme parmi 1,6 million d’échantillons. Ils ont cherché un marqueur reconnu appelé « protéine C-réactive » (CRP). Des niveaux élevés de CRP peuvent être l’indication que le corps réagit à une infection bactérienne ou virale. [3]
Les résultats de l’étude sont très clairs : Des niveaux élevés de CRP maternels représentent un risque accru de 80% d’autisme infantile. Les données montrent que plus le niveau de CRP chez la mère est élevé, plus grand est le risque d’autisme chez l’enfant.
Quelle action peuvent avoir les vaccins sur une femme enceinte ?
Les vaccins provoquent de l’inflammation chez les femmes enceintes.
Etant donné ce que vous venez de lire dans les paragraphes qui précèdent, ce que vous allez lire maintenant pourrait vous mettre en colère.
En 2011, une étude a mesuré les niveaux de réactions inflammatoires chez les femmes enceintes qui avaient reçu le vaccin contre la grippe. Des échantillons ont été prélevés à un jour, à deux jours et une semaine après l’injection. [4]
Voici comment les chercheurs ont expliqué ce qu’ils ont trouvé :
"Une augmentation significative des taux de CRP (protéine C-réactive) ont été observés à un et deux jours après la vaccination (ps<05). Un effet similaire a été observé pour le TNF-a, pour lequel une augmentation moins de deux jours après la vaccination est proche d’une valeur statistiquement significative (p=06). Une grande variété dans l’ampleur des réponses a été observée. Les coefficients de variation à deux jours varient de 122% à 728%,…"
Les chercheurs ont conclu :
« Comme les effets indésirables sur la santé périnatale dont la pré-éclampsie et la naissance prématurée comportent une composante inflammatoire, la tendance à une plus grande réponse inflammatoire aux déclencheurs immunitaires peut faire prédire un risque d’effets défavorables… d’autres recherches sont nécessaires pour confirmer qu’une inflammation modérée induite par la vaccination est sans danger pendant la grossesse. »
Ce dernier paragraphe est un aveu que les vaccins peuvent interférer avec le système immunitaire de la mère et probablement modifier l’issue de la grossesse !
Le fait est que les « experts » ne savent pas si les vaccins sont susceptibles de provoquer des dommages au cerveau des bébés !
Les enfants qui ont fait partie de cette étude ont aujourd’hui deux ou trois ans. Ne serait-il pas hautement souhaitable de pouvoir suivre ces enfants pour se rendre compte combien parmi eux sont devenus autistes ou ont été retardés dans les différentes étapes de leur développement ?
Si j’avais été la maman de l’un de ces enfants qui ont participé à l’étude, je voudrais absolument savoir si l’inflammation induite par le vaccin a pu avoir un impact sur le développement du cerveau de mon enfant. La tragédie c’est que, même si effectivement on pouvait rassembler les preuves que le vaccin ait endommagé la santé de mon enfant, rien ne pourrait se passer vu que les lois actuelles protègent totalement les fabricants de vaccins et les médecins en les faisant échapper à toute poursuite.
Ceci devrait représenter un fameux signal pour tous !
Conclusion
Nous ne voulons pas dire ici que ce sont nécessairement les virus et les bactéries qui sont susceptibles de provoquer des dommages aux fœtus ; il s’agit plutôt de la réponse inflammatoire de la mère. Il est cependant bien établi que les vaccins peuvent provoquer une inflammation systémique qui est susceptible de causer des dommages au cerveau de l’enfant.
Il ne s’agit surtout pas de perdre de vue qu’1 enfant sur 50 souffre aujourd’hui d’autisme !
Les médecins et les infirmières ne manqueront pas de vous rassurer en vous disant que les vaccins sont sans danger. Ces gens ont, en effet, la mauvaise habitude de faire comme si tout un chacun possédait le même statut sanitaire et le même héritage génétique.
Le fait est qu’ils ne possèdent aucun moyen de savoir si l’injection de vaccins peut, à long terme, endommager le cerveau d’un enfant.
En tant que parents responsables et concernés, il vous appartient de consulter au plus tôt le schéma de vaccination. Il s’agit de vérifier le nombre de vaccins que votre médecin se propose d’injecter à votre enfant. Il est aussi indispensable de vérifier ce que contiennent ces différents vaccins. En dernier lieu et en connaissance de cause, prenez votre décision sur une information la plus complète possible et non en fonction des peurs qu’aura pu vous instiller votre médecin.
Références
- http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3135697/
- http://www2.aap.org/immunization/illnesses/flu/influenza.html
- http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23337946
- http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3204610/
Source: Vactruth