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5 novembre 2013 2 05 /11 /novembre /2013 21:50

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Voici un exemple extrêmement concret de la façon dont le système vaccinal totalitaire et autoritaire fonctionne: après avoir lourdement culpabilisé les mères pour les inciter à vacciner leur(s) fille(s) avec 3 injections de vaccins HPV (Gardasil ou Cervarix), voilà qu'on peut lire aujourd'hui dans les médias qu'une seule dose serait finalement suffisante...

 

Comme nous allons le voir, cette information soulève des questions extrêmement lourdes de sens et de conséquences. Et en même temps qu'elle soulève des questions, elle fournit d'ailleurs aussi des réponses à tous ceux à qui il reste encore un tout petit peu de bon sens.

 

Pour discuter valablement de ce sujet, jetons prioritairement un oeil sur 3 types d'informations qui ont justifié la rédaction de cet article:

 

1°) Un courrier type possiblement intimidant pour certains parents de la médecine scolaire (région namuroise, Belgique) à l'attention des parents au sujet de la vaccination anti-HPV "proposée" dans le cadre scolaire. On notera tout particulièrement cette phrase fallacieuse-ci, de nature à faire croire que la vaccination a un caractère contraignant et que la poursuite des 2ièmes et 3ièmes doses de vaccins est impérative: 

 

"Si, pour différentes raisons, vous ne vous présentez pas lors de nos permanences pour la 2ième et/ou la troisième dose, vous devez les programmer chez votre médecin traitant."  

 

Et d'ajouter: "Pour une vaccination HPV efficace, les 3 doses de la vaccination sont indispensables."

 

2°) Le contenu d'un article du Soir de ce jour sur la possibilité d'une dose au lieu de 3

 

3°) La rubrique "Col de l'utérus/HPV" de ce site qui aborde abondamment les innombrables victimes qui se sont manifestées après cette vaccination (et qui ne représentent bien sûr que la partie émergée de l'iceberg) et qui montre sur base de nombreux cas (encore ici, le dernier cas publié) que les effets secondaires les plus graves et les plus irréversibles surviennent le plus souvent après une deuxième ou une troisième dose de vaccin.

 

Et maintenant, que peut-on dégager de ces trois types d'informations, comment les décrypter?

 

Tout d'abord, on peut observer le contraste saisissant entre le degré d'affirmation et de certitude qui se dégage du courrier autoritaire de la médecine scolaire quant au nombre de doses à administrer et les "données les plus actuelles de la Science". Cela nous fournit donc déjà un premier indice très éclairant sur l'extrême fragilité des recommandations officielles.

 

Ensuite, on peut (et on doit même) être capable de réaliser que si cette information sur le nombre exact de doses requises n'était pas connue plus tôt (alors que ces vaccins sont tout de même sur le marché depuis 2006 et 2007!), c'est que c'est du même coup bien la preuve que l'évaluation des vaccins est en réalité bâclée et que nous sommes avec la vaccination dans un vaste processus expérimental et donc aussi dans une expérimentation humaine illicite car sans consentement, situation posant d'énormes problèmes éthiques (cf aussi ici les autres explications incontournables sur le caractère expérimental tout à fait certain et facile à établir de TOUS les vaccins.) 

 

On peut en outre se demander comment des milliers de victimes dont la vie a définitivement chaviré après une deuxième et une troisième doses vont réagir à cette nouvelle: réaliser qu'à quelques années près, si elles avaient par exemple été deux ou trois ans plus jeunes ou plus âgées, elles auraient pu "passer entre les mailles" de ce sinistre filet vaccinal et leur vie être tellement plus légère et normale... réaliser à quoi cela peut-il tenir, à seulement quelques années et à quelques avis d' "experts"...

 

Mais cela est bien sûr considéré comme monnaie négligeable par les officiels qui se considèrent depuis fort longtemps comme "les partenaires naturels" des industries pharmaceutiques (ils n'ont même plus honte de le dire, comme on peut le lire dans un rapport du Sénat français de 2007) et dont ils considèrent aussi qu'il faut accroître et hâter le business le plus possible, prétendûment au nom de l'emploi (la bonne blague)!

 

L'article du Soir (qui donne de nouveau unilatéralement la parole au Pr Van Laethem, consultant pour plusieurs fabricants de vaccins et donc en conflits d'intérêts) signale aussi plusieurs choses qui devraient tous nous faire réagir:

 

- Que les chercheurs/auteurs d'une étude sur la possibilité d'une seule injection ont analysé les taux d'anticorps dans le sang des femmes du Costa Rica qui ont reçu accidentellement une seule dose de Cervarix. (Bizarre que ce genre d' "accident" soit à ce point systématique qu'il rende possible la constitution d'un groupe homogène qui pourra servir de base à une étude; ca fait vraiment penser aussi à toutes ces femmes du Costa Rica et de quelques autres pays pauvres qui avaient elles aussi reçu dans les années 90' soi-disant "par accident" des vaccins contre le tétanos qui contenant de l'hormone HCG, de sorte que celles-ci allaient développer des anticorps anti-HCG et devenir stériles du même coup. Là aussi la notion d'"accident" était d'autant plus contestable qu'un projet de vaccin anti-fertilité était encouragé et en cours d'évaluation par des instances comme l'OMS avant la survenue de ce soi-disant accident.)

 

Ces populations pauvres ont avant tout besoin d'eau et de nourriture (1 milliard de gens ont faim dans le monde et le même nombre est toujours privé d'eau potable au 21° siècle!) et aussi de programmes organisés de dépistage (ils n'en n'ont pas et c'est cette absence de dépistage couplé au manque d'eau, de nourriture et d'hygiène qui font que les taux de cancers du col de l'utérus sont nettement plus fréquents dans ces pays que chez nous) plutôt que d'une rage vaccinatoire accrue !

 

- L'article affirme que les infections aux virus HPV sont la cause de lésions précancéreuses du col. En réalité, les infections aux virus HPV ne sont JAMAIS à elles seule une cause suffisante. Elles sont nécessaires mais jamais suffisantes, il y a d'autres co-facteurs nécessaires et c'est ainsi malhonnête de ne pas le rappeler (tabagisme, partenaires multiples, contraception hormonale, terrain socio-économique défavorisé etc etc.). La médecine actuelle a l'habitude de s'attaquer aux "fausses causes" ou causes secondaires, ce qui ne résout jamais vraiment les problèmes mais contribue à offrir de juteuses niches commerciales aux firmes commercialisant de pseudos-traitements faussement indispensables mais eux-mêmes générateurs d'autres types d'effets néfastes.

 

- L'article évoque aussi les proportions de taux d'anticorps après vaccination HPV. Ce passage est particulièrement intéressant parce qu'il révèle toute l'étroitesse intellectuelle de ceux qui baignent à plein dans l'idéologie vaccinale en vigueur au sein de l'establishment médico-pharmaceutique. On peut lire que les chercheurs ont constaté chez les jeunes filles (vaccinées avec seulement une dose de vaccin HPV), "qu'après quatre ans, elles présentaient un taux d'anticorps cinq fois plus élevé que les femmes n'ayant jamais été vaccinées mais qui avaient été précédemment infectées par le virus du papillome humain (HPV). Avec deux doses, le taux était 24 fois plus élevé."

 

Ce qui est absolument fallacieux ici, c'est qu'on donne à penser que "plus, c'est forcément mieux" ou que la Nature serait mal faite (alors qu'on sait bien que rien, ni aucun vaccin n'égale en qualité et en durée la protection conférée par une immunisation naturelle!).

 

Pas un seul instant le journaliste ou l'"expert" interrogé ne semble en mesure de se demander si le fait justement d'obtenir de telles disproportions dans les taux d'anticorps avec une vaccination (par rapport à ceux que le corps peut naturellement générer) ne constitue pas un forcing immunologique potentiellement très lourd de conséquences.

 

Avec la vaccination contre le tétanos (le parallèle est très intéressant), les officiels considèrent aussi qu'il vaut mieux une vaccination de plus qu'une de moins tout étant axé sur une obsession quantitative d'anticorps, oubliant cependant de rappeler aux gens qu'on peut tout de même encore faire un tétanos malgré de forts taux d'anticorps (plusieurs études scientifiques sont là pour le prouver!) mais aussi que plus le taux d'anticorps résiduels liés à une précédente vaccination est élevé au moment du rappel et plus grand aussi est le risque d'effets secondaires lors d'une prochaine dose!

 

Tout ceci montre donc bien que la Nature est infiniment plus complexe que ce que le réductionnisme vaccinaliste voudrait nous faire croire et d'ailleurs, il faut savoir qu'un tiers des personnes qui contractent le virus du papillome peuvent parfaitement s'en débarraser sans jamais développer d'anticorps. L'étude de Moseman et al. de 2012 a bien montré que les anticorps ne sont pas nécessaires à l'organisme dans sa défense contre divers virus.  Or tout l'édifice vaccinal est bâti sur cette seule obsession des anticorps (on ne compte d'ailleurs plus les publications "scientifiques" uniquement focalisées sur les capacités de tel ou tel vaccin à faire produire plus de taux d'anticorps que tel autre!)

 

En réalité, cette annonce selon laquelle une dose de vaccin suffirait au lieu de trois s'inscrit dans un contexte de désaffection croissante pour cette vaccination, dénoncée dans le monde entier non seulement pour son coût exorbitant mais aussi et surtout pour sa dangerosité tout à fait flagrante. Dans les essais cliniques, et même après la mise sur le marché, diverses études et enquêtes convergentes ont montré un (trop) important taux de déperdition entre la première et la troisième dose de vaccin, ce qui constitue un signal de pharmacovigilance particulièrement fiable pour supposer une très mauvaise tolérance du vaccin.

 

En affirmant qu'une seule dose de vaccin suffit, on espère ainsi rebuter moins de jeunes filles (trois injections, c'est forcément plus contraignant qu'une seule.) et éviter une rupture trop nette des profits dans les pays occidentaux où les prix ne sont pas bradés comme dans le Tiers-monde mais où ils sont simplement "épongés" par les deniers des contribuables. Mais on espère aussi pouvoir affirmer plus facilement aux jeunes filles qui souffriront déjà d'effets secondaires après la seule et première dose que c'est juste "le hasard" (la notion de "rechallenge" c'est à dire le fait qu'une nouvelle administration d'un même médicament suspecté donne à nouveau lieu au même type d'effets secondaires dont on le suspectait d'être la cause, constitue un signal assez fiable d'une relation de causalité en matière de pharmacovigilance.)

 

Et si on rajoute à l'accablant volet de la "tolérance" celui de "l'efficacité" avec un caractère contre-productif de cette vaccination tout à fait prévisible au niveau de l'épidémiologie des différents sérotypes de HPV (= l'équilibre des différentes souches de ce virus qui peut être modifié sous l'effet d'une vaccination étendue, comme cela s'est par exemple déjà vu avec les vaccins contre les pneumocoques, avec un phénomène de compensation par des souches non incluses/non couvertes par la vaccination), on conçoit sans peine que l'industrie va redoubler d'inventivité pour essayer de sauver ses parts de marché: passer de trois doses à une (il ne faut pas oublier que l'industrie finance une majorité des études scientifiques de ce type destinées à faire prescrire ou modifier tel ou tel schéma de prescription) ou encore travailler déjà sur un nouveau vaccin qui lavera plus blanc que blanc et sera donc encore plus parfait que les précédents (comme le fait Merck, fabricant du Gardasil en train de travailler sur un nouveau vaccin anti-HPV)...

 

 

Voir aussi les articles connexes suivants:

 

Vaccins HPV, fausse protection et vrais risques: démêler le vrai du faux?

 

"Vaccins anti-HPV: quand le slogan de Merck "Une de moins" ("One less") devient en fait "Une de plus" ("One more")

 

Le Gardasil a détruit les ovaires d'une jeune fille

 

Commentaire posté par Initiative Citoyenne sur le site médical Caducée.net suite à leur article sur le caractère suffisant d'une dose de vaccin HPV Cervarix (!):

 

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