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6 juillet 2012 5 06 /07 /juillet /2012 20:16

Un article du 5 juillet dernier dans le Quotidien du Médecin mettait à la fois dans son titre le mot "Handicaps de l'enfant" et le mot "vaccination", une association qui n'est hélas pas faite au sein de l'article alors que beaucoup de handicaps des enfants sont en réalité dus aux avalanches vaccinales qu'on ne cesse de leur infliger de façon aveugle et stéréotypée!

 

Bref, quoi qu'il en soit, voici ce qu'on pouvait notamment lire dans cet article au sujet des nouvelles méthodes de prosélytisme vaccinal à venir:

 

« Réunissant des organisations représentatives des acteurs du système de soins, la Conférence nationale de santé (CNS) publie deux nouveaux avis. À la demande de la Direction générale de la santé (DGS), la CNS formule plusieurs recommandations dans le cadre du programme national d’amélioration de la politique vaccinale 2012-2017 initié par le précédent gouvernement.

 

[...] Le programme national d’amélioration de la politique vaccinale 2012-2017 constitue une initiative « tout à fait opportune » estime la CNS qui juge « préoccupante » la baisse du recours à la vaccination dans certaines pathologies et populations défavorisées. Selon leur caractère obligatoire ou non, la situation financière et assurantielle des vaccins n’encourage pas à la vaccination, poursuit-elle. Face à la perplexité d’une partie des usagers du système de santé et des professionnels, il est essentiel de remobiliser les acteurs de santé et la population générale sur l’intérêt de la vaccination et le respect du calendrier vaccinal, considère l’instance consultative.

 

Dans son avis, la CNS recommande d’élaborer un système gradué de recommandations pour les vaccins en soumettant à la réflexion la notion de « vaccination indispensable et prioritaire ». A l’image du Haut Conseil de la santé publique qui a rendu un avis similaire, la CNS prône l’accessibilité pour tous à la vaccination, grâce à « la gratuité des vaccins ayant un certain niveau de recommandation » et la mise en place d’« un statut identique en cas d’accident de vaccination. »

 

« Une vaccination indispensable et prioritaire » : voilà comment les officiels vont tenter de qualifier non seulement les vaccinations déjà obligatoires à l’heure actuelle mais aussi toutes celles qui sont déjà « vivement recommandées ». Le but de la manœuvre ? Gommer le différentiel entre les pourcentages de couverture des vaccins obligatoires et de ceux qui ne le sont pas.

 

En croyant gagner à ce petit jeu, les autorités ne feront juste que s’enliser encore davantage car à moins de décréter comme « indispensables et prioritaires » toutes les actuelles vaccinations « vivement recommandées », incluant notamment celles contre l’haemophilius influenzae (Hib), les pneumocoques, l’hépatite B ou encore celle contre le rotavirus, les officiels vont devoir alors s’expliquer à posteriori sur le fait d’avoir dilapidé l’argent des contribuables dans tous ces vaccins non « indispensables et prioritaires ». Et si ces vaccinations ou d’autres comme le ROR (rougeole, oreillons, rubéole) sont décrétées « indispensables et prioritaires », il va falloir démontrer au public, preuves VALABLES à l’appui, comment des générations entières d’enfants ont pu survivre aux maladies infantiles que sont rougeole, rubéole et oreillons à une époque où aucun vaccin n’existait et où ces infections étaient loin de faire les grands titres des journaux…

 

Quant aux méthodes de reconnaissance des accidents vaccinaux, il faut savoir que même dans les pays où les victimes de vaccinations non obligatoires peuvent prétendre à des indemnisations, comme par exemple les USA, ces systèmes sont encore très imparfaits et 2/3 des plaintes sont rejetées. En France, le cas de Laetitia, victime du Gardasil, est assez emblématique puisque la jeune fille dont la santé a été abîmée par le Gardasil et qui a dû consulter 65 médecins selon le journal Libération, sans parler du fait d’avoir été empêchée de poursuivre ses études de médecine, s’est vue rétorquer par un expert officiel que « si elle baisait plus, elle irait mieux » et que ses problèmes étaient psychologiques, n’ayant donc rien à voir avec le vaccin ! Etrangement, alors qu’elle allait parfaitement bien avant ses injections de Gardasil, elle se retrouve à présent avec des kystes ovariens et un ovaire atrophié (et, comme par hasard, on retrouve très fréquemment les kystes ovariens parmi les nombreux effets secondaires invalidants de cette vaccination, comme en attestent des dizaines et dizaines de messages internet que les officiels classent à priori et de façon scabreuse dans la catégorie des « coïncidences » !)

 

On l'aura donc compris: une fois encore, les conseilleurs ne sont pas les payeurs!

 

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