C'est un fait absolument certain, les vaccins sont une des grandes causes d'allergies. Les preuves abondent de toutes parts et les spécialistes (qui osent) l'avouent également. La situation est assez préoccupante, puisqu'en Belgique, 1 personne sur 3 est déjà allergique et l'OMS prédit déjà que ce sera 1 personne sur 2 qui sera concernée d'ici à 2030-2050.
En 20 ans, le nombre de vaccins administrés aux enfants aura plus que doublé et il n'est donc hélas pas très étonnant que les allergies aient aussi augmenté en parallèle. Car contrairement aux pseudo explications qui font croire de façon assez simpliste que LA cause des allergies c'est la substance ou l'aliment allergisant, la véritable cause se situe bien en amont et c'est cette cause primaire qui explique d'ailleurs que l'on n'était pas allergique depuis toujours à tel ou tel aliment ou substance (= causes secondaires).
En général, c'est l'ingestion ou l'exposition à telle ou telle substance pendant un phénomène immuno-perturbateur qui va faire que la personne sera allergique à ceci plutôt qu'à cela. La véritable cause est donc le mécanisme immuno-perturbateur sous-jacent et pas la substance elle-même. Car une fois encore, la personne aurait sinon été allergique depuis toujours à ces molécules!
Différentes études et enquêtes indépendantes ayant valablement comparé des enfants vaccinés à des enfants non vaccinés (ce qui n'est jamais fait dans les études officielles dont les résultats sont donc toujours biaisés compte tenu de cette absence de comparaison contre placebo véritable) sont toutes parvenues à des conclusions similaires: il y a significativement moins d'allergies et de maladies atopiques chez les enfants non vaccinés.
Voici un exemple (étude menée aux Pays-Bas sur une durée de 5 ans, comparant 312 enfants ayant reçu tous les vaccins officiellement recommandés et 231 enfants n'ayant jamais reçu le moindre vaccin de leur vie):
Résultats:
+ de réactions allergiques chez les enfants vaccinés (89 vs 61,5 soit 30% plus)
+ d'asthme chez les enfants vaccinés (46 vs 19 soit 60% plus)
+ d'intolérances alimentaires chez les enfants vaccinés (74 vs 60,1 soit 20% plus)
+ d'eczéma chez les enfants vaccinés (167 vs 101 soit 40% plus)
Mais il y a certains "experts" qui oseront encore nier ce genre de résultats, en exhibant, comme expliqué par le pédiatre Dr Palevksy dans cette vidéo(sous-titrée en français), des études prétendant le contraire, études bien évidemment biaisées sans véritable comparatif neutre (= placebo) puisque toutes les études officielles comparent les vaccinés à d'autres groupes ayant reçu d'autres vaccins ou des substances toxiques et ce, au nom de l'éthique nous-dit-on...
Voici ce qu'a dit le Pr Lucienne Chatenoud, immunologiste à l'Hôpital Necker enfants malades à Paris:
"L'hypothèse la plus avancée est l'hypothèse hygiéniste. Dans tous les pays industrialisés, on observe une diminution des infections endémiques chez les jeunes enfants, liée aux programmes de vaccination et à l'utilisation des antibiotiques; or cette diminution est corrélée à une augmentation de la fréquence des maladies auto-immunes ou dysimmunitaires: diabète de type 1, sclérose en plaques, maladies inflammatoires des intestins, mais aussi les allergies."
Voici maintenant ce qu'a dit le Dr Valérie Dufresne, pneumo-allergologue du CHU de Charleroi le 3 novembre 2011 au JT de la RTBF:
"Dans nos populations, notre système immunitaire n'est plus habitué à combattre des infections, des bactéries. On vit vraiment dans un monde aseptisé et notre système immunitaire trouve une voie d'échappement. Il commence à produire des anticorps un petit peu contre n'importe quelle molécule qu'il rencontre et voilà, l'allergie se met en route."
Voyons à présent les tout récents propos du Dr Marie Baeck, dermato-allergologue au CHU St Luc, dans le "Question à la Une" consacré aux allergies:
"Je pense qu'il y a des choses qui sont tout à fait positives, par exemple on vaccine beaucoup plus, je ne vous dirai jamais qu'il ne faut pas vacciner vos enfants au contraire, mais c'est sans doute un facteur explicatif de l'augmentation du nombre d'allergies."
En effet, créer de toutes pièces des millions d'allergiques de par le monde (avec le risque mortel que cela implique pour les personnes concernées) au nom d'une idéologie mortifère est véritablement très positif! Ce genre de réactions du corps médical, qui commence avant tout par se protéger en faisant une courbette préalable au sacrosaint dogme vaccinal, témoigne du profond malaise qu'il y a lorsqu'on prend le risque d'ébranler les ouailles dans leur foi.
Et quand nous parlons de millions de cas évitables dans le monde, nous n'exagérons absolument rien...
En 2000 déjà, une étude de l'Ecole de Santé Publique de l'Université californienne de Los Angeles (UCLA) incluant près de 14 000 enfants avait établi que la vaccination DTC (diphtérie tétanos coqueluche) multipliait par deux le risque de développer un asthme, permettant ainsi de mieux comprendre pourquoi cette maladie avait plus que doublé ces vingt dernières années avec 30 à 50 millions d'asthmatiques et d'allergiques dans ce pays.
Cette étude indique ainsi notamment que " 50% des cas d'asthme diagnostiqués chez les enfants et adolescents américains (2,93 millions) auraient pu être évités si la vaccination DTC ne leur avait pas été administrée. De façon similaire, 45% des cas de sinusite (4,94 millions) et 54% des épisodes allergiques affectant le nez et les yeux (10,54 millions) pourraient être évités chaque année si la vaccination DTC était interrompue."
Malgré ce genres de données accablantes, on continue encore et toujours, au nom du dogme et des emplois liés au secteur pharmaceutique !
Le grand public va donc inévitablement être confronté à un GRAND CHOIX dans les années qui viennent:
- soit il regarde de façon rationnelle ces données qui attestent de façon incontestable d'un lien entre vaccins et allergies, ce qui l'amène à la conclusion inéluctable que les vaccins ne sont pas aussi sûrs ni anodins qu'on le dit et que le corps médical manque quelque part de loyauté à l'égard des patients en ne leur communiquant pas ce genre de risques.
- soit il fait l'autruche, parce que "cela fait trop peur ou trop mal" de se dire qu'on ne peut décemment plus croire aveuglément le discours lénifiant des autorités ou de son médecin traitant, le plus souvent sous-informé. Dans ce dernier cas de figure, ce sont des enfants innocents qui continueront d'être "nivelés par le bas" pour le restant de leurs jours et qui paieront le douloureux prix de la crédulité parentale.
Mais il convient également de dénoncer les fausses solutions qui se profilent et qui ne profiteront qu'aux pharmas: des vaccins... anti-allergies!
Ce genre de fuite en avant serait très grave car on poursuivrait ainsi la spirale négative faite d'emplâtres sur des jambes de bois... au point de laisser progresser la gangraine de façon dramatique. Ce dont notre société a plus que jamais besoin, c'est de bon sens et de réapprendre à tirer les leçons du passé plutôt que d'avoir sans cesse la mémoire bien trop courte!
Car lorsqu'on entend les conclusions lénifiantes du Question à la Une sur les allergies, on ne peut qu'avoir peur: profiler des vaccins à 500 euros l'année (soit 1500 euros par personne allergique à traiter) comme une prétendue solution avantageuse à prendre en charge à 100% par la collectivité, c'est quelque part légitimer un gaspillage qui ne profitera encore et toujours qu'aux mêmes, avec d'autres effets secondaires encore pires qui restent désespérement non abordés.
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