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7 juillet 2013 7 07 /07 /juillet /2013 14:31

Vaccins contre le rotavirus : diarrhée de la duperie

 

Le vaccin contre le rotavirus est un exemple classique de ce qui ne va pas dans l’industrie du vaccin. Il ne fonctionne que pour un nombre limité de types  de rotavirus. Il provoque des effets indésirables graves, y compris des décès. Il a été approuvé par des organismes et des fonctionnaires corrompus et qui ont des liens financiers avec les fabricants – avec comme résultats beaucoup plus de cas d’une maladie de plus en plus grave.

 

Jeans---seringues.jpg                                    Photo of man in jeans (original knives replaced by hypodermics) by David Goehring

 

Par Jagannath Chatterjee, 1er juillet 2013

 

La duperie commence quand les médecins prescrivent le vaccin anti-rotavirus à titre préventif contre la maladie. Les parents ne sont pas informés que la diarrhée peut être causée par une multitude de facteurs, y compris par des infections bactériennes et virales. Les infections bactériennes causées par des eaux insalubres sont les plus graves. Les infections virales qui provoquent la diarrhée ne posent aucun danger si l’enfant est traité avec une solution de réhydratation orale ou est allaité au sein (ce qui peut prévenir la déshydratation).

 

Il existe de nombreuses souches de rotavirus et la plupart sont encore à identifier. Outre les souches de rotavirus, la diarrhée peut aussi être causée par des astrovirus, calcivirus, d’autres agents pathogènes et des toxines. Le vaccin contre le rotavirus, administré par voie orale, ne contient que quatre des nombreuses souches de rotavirus et ne peut protéger que contre ces souches, laissant l’enfant sans protection contre d’autres facteurs importants.

 

rotavirus vaccinLe premier vaccin contre le rotavirus a été homologué aux Etats-Unis en 1998 et a été recommandé en mars 1999. Les parents ne savaient pas que ce vaccin avait été recommandé alors que l’on ne tenait pas compte des effets secondaires graves enregistrés au cours des essais cliniques. En conséquence, de nombreux enfants ont souffert d’invagination (intussusception) d’une partie de l’intestin, maladie très grave et très douloureuse qui peut souvent s’avérer mortelle. Des décès ont été attribués à des raisons inexpliquées. En conséquence, le vaccin a été retiré en octobre 1999.

 

Lorsque le Congrès Américain s’est penché sur l’affaire, de graves problèmes de procédure et de négligence ont été mis en lumière entraînant une nouvelle audience le 15 juin 2000. Cette audience a permis la révélation que tant la FDA (Food & Drug Administration) et le CDC (Centres Officiels Américains de Contrôle des Maladies) étaient au courant des effets indésirables graves du vaccin. Des conflits d’intérêts ont également été mis en lumière : deux membres du comité consultatif avaient profité de la décision qui avait été prise. Le Dr Kathryn Edwards avait reçu des fonds de recherche d’une valeur de 255.000 dollars par an du producteur du vaccin.

 

De son côté le Dr Paul Offit, titulaire d’un brevet sur un autre vaccin contre le rotavirus et qui avait parcouru tout le pays pour confirmer l’innocuité du vaccin, avait été financé par les fabricants de vaccins. Par ailleurs, 60% des membres des comités consultatifs de la FDA et 50% des membres du CDC avaient des liens financiers avec les producteurs du vaccin. De toute évidence, la cupidité des deux fonctionnaires et l’industrie pharmaceutique ont agi au mépris de toutes les règles et ont fait passer la santé des enfants en second lieu.

 

En fonction de ces éléments, on aurait pu s’attendre à des mesures sérieuses, mais rien ne s’est produit. Ces agences égarées qui auraient dû maintenir des normes très élevées d’honnêteté et d’intégrité, ont préféré justifier leur position en prétendant que rien n’interdisait que les officiels aient des liens avec une industrie qui recommandait les vaccins. En 2006, deux nouvelles versions du vaccin à virus vivants et administrés par voie orale ont été mises sur le marché et ont été recommandées par ces mêmes médecins et fonctionnaires corrompus.

 

Un coup d’œil aux essais cliniques révèle des faits alarmants :

 

*  Le vaccin n’a pas été comparé à un placebo inerte, mais au même vaccin comprenant tous les ingrédients, moins le virus, pour pouvoir permettre de le déclarer plus sûr qu’il n’était.

 

*  Les virus utilisés provenaient d’un assortiment de virus humains et bovins développés avec des cellules de singes verts d’Afrique, le même type de singes qui a entraîné la contamination du vaccin polio oral (avec des virus simiens).

 

* Les cellules ont été maintenues en vie dans un milieu fait de sérum de veau, ce qui ouvre la porte à d’autres virus inconnus.

 

* Parmi les ingrédients chimiques du vaccin, on trouve le polysorbate 80, un produit toxique qui agit sur la reproduction.

 

*  Les essais cliniques ont enregistré une incidence plus faible d’occlusion intestinale, ce qui signifie que même le nouveau vaccin n’est pas exempt de ce risque.

Les enfants vaccinés ont trois fois plus de risques de souffrir d’une hémorragie intestinale, même après avoir exclu de nombreux cas qui ont été refusés par l’équipe de supervision.

 

Les essais ont révélé :

 

  • Gangrène et nécrose de l’intestin
  • Vomissement sévères entraînant une hospitalisation
  • Crises (convulsions) provoquées par des décharges électriques anormales dans le cerveau. Certains cas sont devenus chroniques.
  • Eczéma
  • Diarrhée (maladie que le vaccin est sensé empêcher)
  • Infections fréquentes de l’oreille
  • Difficultés respiratoires
  • Asthme
  • Rhinopharyngite

 

Récemment, les médias ont noté que l’utilisation de ce vaccin aux Etats-Unis a provoqué une augmentation alarmante des infections beaucoup plus meurtrières à norovirus. 21 millions de cas ont été enregistrés. Par année, on compte environ 800 décès – par rapport aux 20 à 40 décès annuels qui se produisent avec les infections à rotavirus. On a également relevé une augmentation spectaculaire des problèmes inflammatoires de l’intestin.

 

Au lieu de réexaminer sérieusement la situation et de retirer le vaccin contre le rotavirus qui a provoqué le passage à un virus plus meurtrier, on a développé un vaccin contre le norovirus qui est pratiquement prêt à la commercialisation !

 

Alarmés par les effets indésirables du vaccin en Inde, et prenant en compte le fait que les diarrhées à rotavirus sont facilement traitées sans complications (sans oublier le fait que pour l’Inde les taux sont maintenus à des niveaux élevés dans le but de faire peur au public), les médecins soucieux de l’éthique ont souligné que le coût élevé du vaccin le rend prohibitif et non rentable. Une étude a pu montrer qu’en Inde, les problèmes de diarrhée et les décès étaient directement liés à la pauvreté, au manque d’eau potable, d’assainissement et que dans la plupart des cas, ce sont d’autres agents pathogènes que le rotavirus qui provoquent les diarrhées.

 

Les médecins qui ont essayé de signaler les cas d’effets secondaires en ont été empêchés par l’Académie Indienne de Pédiatrie (IAP) – une agence qui dépend entièrement des fonds fournis par les fabricants de vaccins. Pour elle, le profil de sécurité du vaccin ne peut être terni !

 

Afin de contrer l’argument de rentabilité, les scientifiques indiens ont entrepris une grande campagne de publicité pour un vaccin contre le rotavirus à un prix moins élevé.

 

Même si la publicité soutenue par le Département Indien de Biotechnologies a été reprise par la presse nationale et internationale, il est apparu que les résultats des essais cliniques n’ont pas encore été rendus publics. On a également appris que le vaccin ne comprenait qu’une seule souche de rotavirus et qu’il avait été testé sur 4.532 nourrissons, alors que pour pouvoir déterminer clairement les effets indésirables, il devrait être testé sur plus de 50.000 nourrissons. Il existe par ailleurs un aspect de ce problème particulièrement controversé : on exige que pour le vaccin indien, les mères cessent d’allaiter leur enfant au cours de sa période d’administration et pour un certain temps dans la suite.

 

Faire de la publicité par rapport à des résultats cliniques avant que ceux-ci ne soient publiés est en violation avec les lois de l’éthique médicale. Comment, dans ces conditions, un journal dont les articles sont revus par des pairs, pourrait-il publier quoi que ce soit ?

 

L’implication d’agences controversées comme PATH et la Fondation Bill et Melinda Gates dans l’histoire de ce vaccin a aussi contribué à agacer des militants pour la santé, en raison de leur récente complicité active avec les agences gouvernementales indiennes pour tester illégalement le vaccin controversé et peu sûr contre le cancer du col de l’utérus sur des filles de l’Andhra Pradesh et de Gujarat, sans le consentement des parents. Ces vaccins ont entraîné plusieurs décès et nombre d’effets secondaires.

 

Il reste à voir si la tentative soutenue par l’industrie d’administrer un produit commercial douteux et dangereux pour la prévention de la diarrhée va l’emporter sur les besoins de santé publique les plus élémentaires comme l’éradication de la pauvreté, la fourniture d’eau potable, l’assainissement, et les problèmes d’alimentation pour les mères et les enfants. Maintenant, la balle est dans le camp du gouvernement indien qui a malheureusement fait l’objet de graves critiques pour avoir autorisé l’administration du vaccin polio oral qui a provoqué des cas de paralysies, passant de 3.000 cas à 60.000 par an, et qui, en outre, voudrait se targuer d’être un pays où la polio a été éradiquée !.

 

Source : Gaia Health

 

Méthode

VACCINS (ROTARIX & ROTATEQ)

SOLUTES DE REHYDRATATION ORALE (SRO)

PRIX

Rotarix : 131 euros

Rotateq :150 euros

6,2 euros la boîte de 10 sachets

EFFICACITE

50 à 64%

90%

SECURITE

Divers risques, dont celui d’invagination intestinale (risque multiplié par 6,7 dans la première semaine qui suit la vaccination)

Aucun risque

Tableau comparatif des diverses solutions possibles, selon les données publiées dans le livre de Virginie Belle, « Faut-il faire vacciner son enfant ? », aux Editions Max Milo. 

  

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commentaires

B
Mon Dieu ce qu'on peut voir comme conneries ecrites sur internet ... Bref chères Mamans passez votre chemin et renseignez vous auprès de votre pédiatre ... si je devais défendre chaque point écrit<br /> ici j'en aurai pour la journée.<br /> <br /> Pour information les gastroentérites à rotavirus c'est 18 000 hospitalisations en France et par AN ... à 3j d'hospitalisation en moyenne par nourisson et donc 3j de congés en plus pour un des<br /> parents au moins ... Un vaccin c'est prévenir plutot que guérir ...<br /> <br /> Allez plutot polémiquer sur les adjuvants qui ont des effets graves (PS : il y a eu plus de 1 milliards de doses de vaccins administrés avec ces adjuvants ... bref remettez les choses dans leurs<br /> contextes)
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I
<br /> <br /> Pour relayer des âneries et attribuer la responsabilité de celles-ci à autrui, vous semblez assez fort parce que là, vous avez<br /> vraiment choisi le plus mauvais exemple:<br /> <br /> <br /> Les gastro-entérites ne débouchent sur des hospitalisations qu'à cause du risque de déshydratation associé qui peut être prévenu à quasi 100%<br /> et sans effets secondaires pour un prix dérisoire avec les solutés de réhydratation orale (SRO) disponibles en pharmacie sans<br /> prescription, là où l'efficacité des vaccins contre le rotavirus est à peine plus de 50% avec des risques graves d'invagination intestinale (nécessitant une opération lourde et pouvant<br /> entraîner le décès) et un prix pour les patients ou contribuables d'environ 150 euros pour les 2 ou 3 doses de vaccins!<br /> <br /> <br /> Nous vous renvoyons notamment à l'article suivant:<br /> <br /> <br /> http://www.initiativecitoyenne.be/article-affaire-cahuzac-encore-un-ministre-proche-de-big-pharma-et-de-ses-vaccins-116895584.html<br /> <br /> <br /> Par ailleurs, l'excellent livre de Virginie Belle (Faut-il faire vacciner son enfant?) aborde en détail, chiffres et données épidémiologiques<br /> précises à l'appui, l'aberration indicible de la vaccination contre le rotavirus qui multplie par 6 ou 7 au moins ce risque d'invagination intestinale chez les enfants après la vaccination et<br /> dont les parents ne sont bien sûr jamais informés. Aux USA, déjà avant l'arrivée des vaccins Rotarix ou Rotateq (pour lequel le tristement célèbre Paul Offit touche autant de royalties), un<br /> précédent vaccin Rotashield avait démontré toute sa nocivité et un rapport coût/bénéfices également lamentable; il a d'ailleurs dû être retiré du marché après une dépense<br /> (contre-productive) de 300 millions de dollars par l'état américain et donc les contribuables!<br /> <br /> <br /> Donc franchement, essayez de vous renseigner de façon plus soignée pour ne pas vous ridiculiser car votre simplisme consistant à n'associer<br /> un risque qu'aux seuls adjuvants trahit assez fortement votre méconnaissance totale de ce sujet: l'aluminium, le squalène présentent des risques comme d'autres composants mais ne résument<br /> évidemment pas à eux seuls la question des risques vaccinaux!<br /> <br /> <br /> Dès 1987 par exemple, dans son rapport n°747, les "grands experts" de l'OMS évoquaient déjà leurs préoccupations sur le RISQUE DE MALIGNITE<br /> associé aux produits fabriqués sur des lignées cellulaires continues. Ces vaccins transgéniques que sont le ROTARIX et le ROTATEQ, outre les problèmes déjà constatés de contamination (par des<br /> virus porcins) posent donc un problème de risque de cancer à long terme et de mutation génétique. Vous pouviez ne pas le savoir, vous pouvez encore ne pas le comprendre mais en continuant à<br /> le nier, vous pouvez tout aussi bien apparaître ridicule et déservir le droit des gens à l'intégrité physique et à l'information.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
É
J'attends avec impatience de lire ça, je suis amoureux de ce type !
Répondre
D
Hygiène, eau propre, alimentation saine, refus des conduites à risque, voilà ce qui permet de progresser dans la lutte contre les maladies. Rien d'autre.<br /> Si Bill Gates avait le souci de bien faire, ce sont des adductions d'eau, des WC, des vitamines et du riz qu'il offrirait aux peuples défavorisés.<br /> Mais ceux qui le connaissent bien savent qu'en lieu et place d'être un bienfaiteur de l'humanité, c'est un eugéniste notoire, malade mental de surcroît, comme tous ces gens que l'argent a rendus<br /> fous.
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É
Paul Offit ? Paul Offit ?<br /> Ha oui, le gars qui veut bien recevoir dix mille vaccins en même temps pour prouver que c'est sans danger aucun, c'est bien ça ?<br /> Je suis toujours volontaire pour les lui injecter...<br /> Comment, ça, ce n'est pas sur lui qu'on peut injecter les dix mille vaccins, mais sur les bébés ? Bah, et alors ? Si un bébé peut recevoir dix mile vaccins en une fois, un grand garçon comme lui<br /> doit pouvoir le supporter aussi, non ?
Répondre
I
<br /> <br /> Oui c'est bien lui, mais attendez, on est tombés récemment sur une autre énorme perle de sa part, vous verrez  sous peu ;-)<br /> <br /> <br /> <br />

                    

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