Le Pr Pierre Bégué est membre de l'Académie de Médecine, c'est toujours le même où presque au sein de cette institution pour le moins poussiéreuse et peu indépendante, qui monte au créneau dans les médias lorsqu'il s'agit de défendre bec et ongles les sacrosaints vaccins...
Récemment sur le site de l'Académie de Médecine, on pouvait lire un article du Pr Bégué intitulé "Jusqu'où peut aller le refus vaccinal en France?".
Extraits:
Pr Pierre Bégué: « L’Europe a des résultats inégaux et décevants, à cause de la négligence du programme vaccinal et surtout d’une opposition croissante aux vaccinations. »
« Plus les vaccins sont élaborés, plus le public et les médias y font obstruction ! La vaccination de masse s’oppose aux tendances individualistes de nos sociétés occidentales, mais également d’autres régions du monde en raison des progrès de l’information et d’internet. Il suffit d’une rumeur pour déclencher un cataclysme vaccinal. »
Réponse : Là, pour le coup, on assiste à une très grosse bouffée de mauvaise foi car les médias ne font justement jamais d’obstruction aux annonces enthousiastes sur les vaccins, c’est plutôt l’inverse qui est vrai : les médias ayant une responsabilité écrasante et ayant hélas toujours été trop partiaux sur le sujet, cela explique qu’un nombre accru de victimes choisissent de faire parler d’elles et/ou d’investiguer en dehors du circuit biaisé des grands médias classiques et optent pour Internet, plus libre. CQFD !
Pr Pierre Bégué: « En Grande-Bretagne, la peur d’une relation entre le vaccin rougeole et l’autisme a déclenché une chute de la couverture vaccinale suivie d'une épidémie de 1220 cas de rougeole dont 2 décès, et cela parce que le Dr Wakefield, après avoir réussi à susciter des plaintes de parents d’enfants autistes et vaccinés contre la rougeole, avait obtenu dans la prestigieuse revue Lancet une publication sur cette relation. Le Lancet, au vu de la supercherie, s’excusa, ce qui n’empêcha pas une épidémie de rougeole de sévir en Europe depuis 2006. En France, avec 1525 cas en 2009, on est loin de l’élimination prévue pour 2010. »
« Les « affaires vaccinales » entraînent le refus global de tout vaccin : on l’a vu avec le vaccin rougeole en Grande-Bretagne ou le vaccin hépatite B en France, accusé sans preuve scientifique sérieuse de provoquer la sclérose en plaques. Mais, on peut s’inquiéter maintenant de l’augmentation possible des cas d’hépatites B lorsque les adolescents actuellement non vaccinés atteindront l’âge adulte. Et le réflexe anti-vaccin est toujours là. La récente expérience de la vaccination contre la grippe pandémique a montré aussi que les craintes de la population vis à vis des adjuvants et des effets secondaires rares, s’inspiraient de cette polémique sur la vaccination hépatite B. »
Réponse : Il est risible que quelqu’un au poste de Pr Bégué se montre si peu au courant (à moins qu’il s’agisse encore une fois de mauvaise foi ?) en osant réduire la controverse mondiale sur le ROR à la seule Grande-Bretagne et à la seule étude de Wakefield puisque d’autres équipes de chercheurs qui n’ont jamais, eux, été traînés dans la boue, sont parvenues aux mêmes résultats. Mais il est tout aussi honteux de réduire la polémique mondiale liée au vaccin anti-hépatite B à la France puisque plusieurs spécialistes internationaux l’ont à juste titre incriminée dans la genèse de maladies auto-immunes diverses et variées (Pr Bonnie Dunbar du Texas, Yehuda Shoenfeld d’Israël etc) et que le Dr Jane Orient, qui préside l’Association américaine des Médecins et Chirurgiens (AAPS) a même déclaré que "pour la plupart des enfants de moins de 14 ans, les risques du vaccin anti-hépatite B sont 100 fois plus grands que le risque d'une hépatite B."
Pr Pierre Bégué: « Il faut d’abord expliquer que la vaccination doit être maintenue puisque l’agent pathogène circule toujours et menace d’autant plus que la couverture vaccinale deviendrait insuffisante .Il faut aussi améliorer la formation en vaccinologie et infectiologie des médecins et une information plus accessible au public. Pour une meilleure compliance du calendrier vaccinal, on pourra sans doute compter un jour sur les voies transcutanée, nasale et orale, moins invasives. Enfin, il faut impérativement rembourser les vaccins ... mais aussi tarir la source des rumeurs et des mensonges. »
Réponse : Une fois encore, tout repose sur la peur, la peur de tel microbe ou tel autre, ce qui donne ainsi faussement à penser que nous serions tous à la merci de toutes les complications possibles et imaginables alors que nous sommes dotés d’un système immunitaire et que notre risque de complications dépend étroitement du bon entretien de celui-ci ! Pour contourner la volonté accrue d’un certain nombre de gens, assimilés fort opportunément à des gens « mal informés » par ce Pr Bégué, de ne pas se faire vacciner, on évoque les astuces déjà commentées en ce sens sur Initiative Citoyenne, que sont d’autres voies de vaccinations : nasale, orale ou peut-être bientôt sans aiguille, des voies qui ne vont pas forcément changer la sécurité de ces vaccins eux-mêmes ! Le Pr Bégué détourne donc bien sur la forme car il n’a absolument aucune réponse scientifique solide à apporter sur le fond (à part des arguments d’autorité qui ne sont jamais que des affirmations hélas !). C’est ainsi que ces personnages qualifient de « rumeurs et de mensonges » toutes les critiques, et elles sont innombrables, auxquelles il est scientifiquement INCAPABLE DE REPONDRE. Plus ces questionnements se feront puissants, plus évidemment ce genre de potentats risquent d’entrer dans une phase de ballotage particulièrement hasardeuse et effrayante à leurs yeux… car cela va faire tomber les masques bien sûr… les sacrosaints experts en qui nous croyions ne savaient en réalité pas grand-chose et ils affirmaient beaucoup des choses en réalité non prouvées ou juste « prouvées » par Big Pharma ! Dans ces conditions, on comprend mieux les volontés pour le moins autoritaristes du Professeur de « faire taire » toute dissidence…
« Le refus de vaccination date de la découverte même de la vaccination, mais le combat contre la vaccination ne se limite plus aujourd’hui aux actions marginales des ligues anti-vaccinales qui, depuis toujours et partout dans le monde, manifestent à grand bruit leur opposition systématique au principe même de la vaccination. Aujourd’hui, le refus apparaît comme un vrai problème de société. Le « mensonge », voire le « complot », vaccinal alimentent des polémiques successives, largement relayées dans les médias et sur internet, génératrices d’inquiétudes à l’origine d’une chute significative de la couverture vaccinale. »
Réponse : Le Pr Bégué fait exactement comme l’OMS a fait avec le fiasco du H1N1 à savoir reporter la faute sur Internet. C’est là assez pitoyable car il n’y a pas de fumée sans feu et c’est en réalité l’insécurité flagrante des vaccins depuis + de 200 ans qui incite tout naturellement des personnes conscientes à partager fort légitimement ces données à qui de droit, c'est-à-dire au plus grand nombre possible de gens ! Comme il est plus commode de ne surtout rien résoudre à l’insécurité très nette des vaccins, on choisit d’accuser sans le moindre argument scientifique les contestataires de « propager des mensonges » ou de les accuser d’être « complotistes » ou « paranos ». Attaque classique mais si peu efficace et qui ne convaincra hélas pas grand monde.
Pr Pierre Bégué: « Les vaccins s’adressent à des personnes généralement bien portantes, en prévention d’un risque souvent mal perçu ; il est d’autant plus difficile de faire prendre un « médicament » à une personne qui n’est pas malade, en prévention d’une éventuelle maladie sans susciter au minimum de l’inquiétude et au maximum un refus. L’injection, la douleur et la crainte d’effets secondaires sont aussi un frein à la vaccination malgré les bénéfices infiniment plus importants qu’on peut en attendre... La vaccination reste avant tout une question de pédagogie. »
Réponse : Il est normal et logique quand on est sain et bien portant qu’on réfléchisse à deux fois avant de se faire injecter à la va-vite un vaccin (dont on sait qu’ils sont SI MAL évalués !) qui risque donc de faire pire que bien. La pédagogie ne changera rien à cela, elle ne sera qu’un effort manipulatoire de plus pour augmenter la crainte des maladies (susciter donc un faux besoin) tout en minimisant ou niant les risques d’effets secondaires graves. La recette est hélas connue depuis près de 200 ans mais grâce à internet, le vent tourne.
« Mais, il faut savoir que le refus de vacciner un enfant, qui confine au refus de soins, est considéré comme une forme de maltraitance ; c’est pourquoi le Code de déontologie impose au médecin de défendre d’abord les enfants, en expliquant aux parents que le risque zéro n’existe pas mais que, par exemple, le pourcentage de complications d’une rougeole ou d’une varicelle, même faible, est toujours nettement supérieur à celui des effets indésirables graves, mais très rares, des vaccins. Ne pas faire vacciner son enfant, c’est un peu comme ne pas utiliser un siège d’auto ou la ceinture de sécurité parce qu’on pense qu’on n’aura pas d’accident... sachant qu’il s’agit de protéger son propre enfant, et, du même coup tout l’entourage. Ainsi, si tous les petits sont vaccinés contre le pneumocoque, ils vont à la fois protéger leurs grands parents des infections à pneumocoques souvent mortelles et favoriser une couverture vaccinale optimale des 1 à 24 ans pour le méningocoque. Si, malgré tout, le médecin ne parvient pas à persuader les parents, il doit leur faire signer ce refus et le consigner sur le carnet de santé. Tout faux certificat est passible de sanctions. »
Réponse: Rien de tel pour des scientifiques en mal de preuves scientifiques d’essayer de trouver diverses entourloupes destinées à éluder ce vide scientifique et à présenter ainsi l’objet du litige comme « incontestable ». L’OMS aussi essaie ce filon en souhaitant que la vaccination devienne un droit, dans le but bien sûr d’y associer un devoir, qui sait de ne pas diffuser des informations commercialement dérangeantes sur les vaccins ? Ici, on est dans le même registre : en dépit de preuves accablantes démontrant que la mortalité infantile est accrue dans les pays qui vaccinent le plus ou encore que le vaccin DTC multiplie par 3 la mortalité des bébés filles par rapport aux enfants non vaccinés (et même dénutris !), on a des gens qui espèrent et trépignent encore pour être crus sur parole car selon eux « le refus de vacciner un enfant est considéré comme une forme de maltraitance. » En réalité, si on analyse la littérature médicale plutôt que de croire aveuglément le Pr Bégué, on se rend compte que le fait de ne pas vacciner un enfant, vu tous ces risques de mort et d’infirmités accrues après les vaccins, constitue plutôt un acte de grande bienveillance vis-à-vis de jeunes enfants vulnérables qui risquent ainsi de payer toute leur vie le prix fort de ces vaccins qu’ils n’arriveront même peut-être jamais, par ignorance et par désinformation, à relier à leurs maux !
L’affirmation selon laquelle les effets indésirables graves sont très rares et infiniment inférieurs aux complications des maladies est anti-scientifique et complètement fallacieuse puisqu’en réalité, seuls 1 à 10% de ces effets indésirables GRAVES de vaccins sont effectivement comptabilisés au niveau de la pharmacovigilance (admis dans la Revue du Praticien fin 2011) et que ceux-ci ne sont l’objet d’aucun redressement correcteur pour une plus juste évaluation du rapport bénéfices/risques réel, contrairement aux cas d’infections naturelles contre lesquelles il existe un vaccin. Ceci prouve donc bien la vision idéologique grossière qui sous-tend la vaccination et qui consiste à vouloir prouver à tout prix, y compris en recourant au besoin à toutes sortes de biais et de manipulations, que les vaccins sont plus bénéfiques que délétères. La réalité est que ces gens préfèrent se voiler la face et ne surtout jamais avoir à tirer la moindre conclusion contraire à leurs croyances.
Pr Pierre Bégué: « Toute politique de prévention repose sur un calendrier vaccinal, et, dans une société qui privilégie le libre-arbitre et la responsabilité de chacun, il ne devrait pas être nécessaire, face aux enjeux et à la gravité de la maladie, qu’un vaccin soit obligatoire pour être effectué … Entre le droit au refus et le droit à la santé, la vaccination est en mal de statut… Fondée sur le principe d’un accès aux soins égal pour tous, elle offre à tous la possibilité, y compris financière, de bénéficier des vaccins. Mais, depuis la loi du 4 mars 2002 relative au droit des patients, « toute personne prend, avec le professionnel de santé et compte tenu des informations et des préconisations qu’il lui fournit, les décisions concernant sa santé », ce qui laisse une porte ouverte au refus. Entre les deux plateaux, c’est au professionnel de santé de convaincre que la balance bénéfices-risques est largement en faveur de la vaccination. »
Réponse : Le Pr Bégué semble donc clairement regretter cette loi sur les droits du patient car dans son optique paternaliste, le citoyen gagnerait à se soumettre docilement ou au besoin avec son « information » orientée, à la sacrosainte vaccination, qu’elle quelle soit et ce de plus en plus, pour satisfaire les labos. Franchement… où va-t-on ? Comment cette personne ne se rend-t-elle pas compte du côté tout à fait contre-productif de ses propos par rapport au soi-disant « noble but » qu’elle se figure poursuivre ?! Ce Professeur semble en outre oublier de rappeler à ces praticiens leur devoir d’informer suffisamment objectivement, y compris sur les risques connus des vaccins, sans quoi ils s’exposent à des poursuites… Le droit au refus et le droit à la santé ne sont pas deux choses différentes comme voudrait le faire croire Bégué, pour ceux qui ont suffisamment creusé ce sujet sans opinions préconçues, en toute liberté et indépendance, savent très bien que les deux vont au contraire de pair, la santé des enfants non vaccinés étant d’ailleurs globalement bien meilleure que celle des enfants ayant docilement suivi tout le calendrier vaccinal !
Pr Pierre Bégué: « L’enquête Baromètres santé 2010 réalisée auprès de 27 653 personnes montre que le médecin généraliste est un élément clé dans le dispositif vaccinal. Pour 42 % des personnes interrogées, le médecin traitant est celui qui a décidé ou conseillé au patient de faire sa dernière vaccination, et pour 16 %, il s’agit d’un autre médecin. Au total, le médecin décide 60 % des personnes interrogées à se faire vacciner. A contrario, les motifs de non vaccination des enfants de moins de 16 ans contre la rougeole ou l’hépatite B (VHB) seraient le fait du médecin (contre-indication, enfant trop jeune). Cependant, si un médecin proposait de vacciner les enfants qui ne le sont pas, seuls 41 % des parents accepteraient le vaccin contre l’hépatite B, et 56 % contre la rougeole. »
Réponse : Eh oui, le Pr Bégué semble découvrir seulement maintenant qu’il y a des parents qui savent encore réfléchir et décider par eux-mêmes sans se soumettre aveuglément aux « bonnes recommandations » de ces médecins conseilleurs mais jamais payeurs !
Pr Pierre Bégué: « Dans le cas de la rougeole, par exemple, 1 enfant sur 1 000 subissait une méningite avant l’immunisation de masse. Actuellement, on estime que le vaccin provoque une méningite seulement dans 1 cas sur 1 million. »
Réponse : Les preuves, Pr Bégué ? On en a ras-le bol de vos affirmations non prouvées ! Vos estimations sont cousues de fil blanc étant donné la sous-estimation des effets secondaires graves de vaccins, les chiffres donnés sont non crédibles et pour tout effet grave, bon nombre de soignants vous répètent ces assertions apprises par cœur dès la faculté « 1 sur 1 million ». Si c’était si vrai, le gouvernement américain n’aurait pas déboursé 2,5 milliards de dollars en dédommagement des victimes de vaccins dans ce pays depuis 1986 et la Cour Suprême de ce pays n’aurait jamais eu besoin d’accorder l’impunité juridique aux firmes en cas d’effets secondaires. Les effets secondaires graves de vaccins sont loin d’être anecdotiques en termes de fréquence, bien au contraire, et il faut aussi bien concevoir que le risque de méningite s’ajoute aux dizaines d’autres effets secondaires graves possibles, chaque fréquence réelle propre d’un effet secondaire étant évidemment à additionner à celle des autres effets secondaires possibles. On est donc censé se protéger d’UNE SEULE MALADIE (voire de quelques unes) mais en contrepartie d’un nombre nettement plus élevé de différents effets secondaires possibles si on tient compte de leur grande variété.
Pr Pierre Bégué: « On aurait observé des cas de bécégites chez les enfants ayant certains déficits immunitaires d’origine génétique, des manifestations cliniques parfois très graves après vaccination contre la rougeole en Afrique ou des paralysies du nerf facial après administration d’un vaccin nasal contre la grippe. Mais, il s’agit de manifestations très rares, et nous disposons, sur le modèle de la pharmacovigilance pour les médicaments, d’une « vaccinovigilance » efficace, avec des réseaux bien organisés et réagissant rapidement, au niveau international, européen en particulier, aptes à déceler ces effets très rares sur le long terme, après une large utilisation, et à en tirer les conséquences. »
Réponse : Là encore, incroyable… une affirmation sans preuve de plus, « pour faire joli » ! Mais dans la réalité, comme expliqué supra, seuls 1 à 10% des effets secondaires graves sont comptabilisés or, si cette pharmacovigilance marchait si bien, ces gens-là ajusteraient leurs chiffres pour tenir compte de la sous-notification, seulement ils ne le font pas car cela les amènerait inévitablement à devoir revoir leurs conclusions et leurs recommandations, ce qui est à leurs yeux tout bonnement impensable ! Voilà pourquoi à chaque effet grave évoqué dans la presse, on se retrouve face au même grand tabou à chaque fois. Voilà aussi d’ailleurs pourquoi le Pr Marc Tardieu, neuropédiatre qui avait mis en évidence un sur-risque significatif de sclérose en plaques chez les enfants dans les 3 ans qui suivent leur vaccination avec Engerix B (hépatite B de GSK) avait tout bonnement été « interdit de conférence de presse » selon Libération en octobre 2008 !! A chaque problème ou alerte qui se pose, la seule conséquence que ces gens estiment devoir tirer consiste à répondre à cette question : « comment faire pour occulter ou minimiser au maximum ces effets, de sorte que les gens gardent confiance envers et contre tout en la vaccination ? » Si cela n’est pas se foutre du monde ça….
Pr Pierre Bégué: « Les rumeurs, les peurs et la défiance sont principalement à l’origine de la chute de la couverture vaccinale. Ainsi, certaines allégations non validées et abusives font le lit, selon les pays, de graves risques sanitaires. L’épidémie de rougeole qui sévit aujourd’hui en Europe est la conséquence directe d’une véritable escroquerie scientifique en Grande Bretagne de la part d’un « chercheur » dont l’étude, publiée dans une des revues les plus réputées au monde, imputait au vaccin la responsabilité de l’autisme (article paru dans The Lancet du 28 février 1998) ... Le même « chercheur », n’hésite pas aujourd’hui à soutenir ouvertement la nouvelle croisade anti-vaccinale dirigée contre l’aluminium dans les adjuvants ! Le risque est d’attribuer à la vaccination des effets déclarés qui n’ont rien à voir avec la vaccination, dont on dira plus tard qu’ils ne lui étaient pas imputables, mais qui, sur le moment, sont déclarés comme tels. Il ne s’agit souvent que d’une association temporelle et l’on confond alors l’augmentation des cas et les progrès de leur identification. Le meilleur exemple en est la controverse autour de la vaccination contre l’hépatite B accusée de déclencher des scléroses en plaques. Fin 1998, lorsque Bernard Kouchner décide de ne plus vacciner systématiquement les adolescents, il est vigoureusement critiqué par l’OMS. Soulignant que « plus d’un milliard de doses (de vaccin) avaient été utilisées depuis 1981 avec un exceptionnel niveau de sécurité et d’efficacité », celle-ci dénonçait alors les « énormes pressions exercées (en France) par des groupes hostiles aux vaccinations ». D’ailleurs les événements signalés en France ne l’ont jamais été… qu’en France. En 2002, l’OMS réaffirme le bien-fondé de la vaccination. En 2003, un consensus international de l’INSERM fondé sur un nouveau bilan de pharmacovigilance, recommande « la vaccination universelle de tous les nourrissons, un programme de rattrapage (…) à destination des enfants et des adolescents, le renforcement de la vaccination des personnes exposées et l’accompagnement (…) par des mesures d’information du grand public et des professionnels de santé ». Position réitérée en avril 2008 par le Haut Conseil de la Santé publique. En effet, même dans les pays de faible endémie comme la France, le virus de l’hépatite B (VHB) est plus fréquent que celui du SIDA (VIH). Il y a donc plus de risque d’y être exposé qu’au VIH. Or, ce virus est 50 à 100 fois plus infectieux que le VIH. (OMS). Il y aurait 300 000 porteurs chroniques en France, 1 500 décès par an et une transplantation hépatique sur dix en France (INSERM). Cependant, malgré l’absence avérée de lien entre le vaccin hépatite B et la sclérose en plaques, la France reste le seul pays où le vaccin hexavalent (DTCoqPolio+ Hémophilus + Hépatite B ) est encore contesté... [1 ] »
Réponse : Le vaccin hexavalent est critiqué dans bien d’autres pays, que le Pr Bégué « se rassure ». Son discours sur la vaccination anti-hépatite B ne tient absolument pas la route comme l’explique parfaitement le pédiatre français Dominique le Houezec dans le récent livre de Virginie Belle, qui consacre une section à cette question sous le titre "Sclérose en plaques, une conséquence vaccinale occultée." « Le nombre de cas déclarés dans la population vaccinée est inférieur au nombre de cas attendus dans la population générale » (elle aussi déjà survaccinée) précise l’Agence française du médicament dans son rapport de février 2012. « Sachant que l’incidence de la sclérose en plaques en France est de 4,1 à 8,2 pour 100 000, variable selon les régions, ce résultat peut sembler en apparence normal. Cependant, comme il y a beaucoup moins de scléroses en plaques post-vaccinales depuis plusieurs années puisque l’on vaccine moins les adultes, le fait de cumuler des données de juin 1981 à décembre 2010 permet de « diluer le poison », analyse le Dr Le Houezec, membre de l’Association de victimes Revahb.
Chiffres par année des cas de sclérose en plaques (SEP) et d'atteintes démyélinisantes du système nerveux central (ADSNC)- Les années 1994-1998 correspondent à la grande campagne de vaccination contre l'hépatite B lancée en France. [Données Afssaps/ANSM de 2012].
« Si l’on s’occupe d’une courte période, en pleine vague de vaccination massive, l’incidence devient alors 3 fois plus forte. C’est pour cette raison que j’ai demandé à l’Afssaps (actuelle agence ANSM) de connaître, non pas le chiffre global des scléroses en plaques, mais les données chiffrées année par année. On observe ainsi que l’incidence des scléroses en plaques et affections démyélinisantes est alors nettement majorée, atteignant des incidences significatives de 10,6/100 000 en 1998 et 11,2/100 000 vaccinés en 1999. L’étude conjointe de Fourrier et Costagliola en 1998 commandée par l’Afssaps, montrait d’ailleurs « un nombre réel de cas significativement supérieur au nombre de cas attendus », et ce, en prenant en considération le facteur de sous-notification compris entre 2 et 2,5, comme le recommande aujourd’hui l’Inspection Générale des Affaires Sociales (IGAS). Curieusement cette étude significative est devenue à présent « non significative ». La réticence de l’Agence à nous fournir ces données montre que ceci était couvert par le « secret-défense », regrette le Dr Le Houezec. »
Si on ajoute à ces risques gravissimes, le fait que la vaccination de + de 30 millions de français contre l'hépatite B n'a pas du tout réussi à réduire la mortalité liée à cette maladie en France et au fait que le vaccin anti-hépatite B détruit les cellules du foie, on se trouve face à un scandale sanitaire assez monumental. Les enfants qui ont été vaccinés contre l'hépatite B ont 2,57 fois plus de risques de souffrir de problèmes hépatiques que les enfants n'ayant pas reçu ce vaccin... cherchez l'erreur ou allez exiger une réponse du Pr Bégué!
En outre, la réunion dite « de consensus » en France en 2003 a consisté à n’inviter que des experts dont la majorité étaient en conflits d’intérêts en prenant le soin d’éviter toutes les voix dissonantes. Quant à l’OMS, oser encore la citer comme référence fait sourire, puisque cette agence constitue en fait une sorte de « service de relations publiques » des industriels qui la noyautent. Déjà dans les années 90’, les industriels du vaccin avouaient « En lien avec l’OMS, nous ouvrons des marchés ». Et l’histoire a montré que cela s’est aussi passé comme ça avec les vaccins anti-HPV, avec le H1N1 mais aussi avec des vaccins comme ceux contre le rotavirus et les pneumocoques, à présent largement écoulés dans le Tiers-Monde !
Le Pr Bégué inverse aussi très dangereusement la notion de principe de précaution en faveur des vaccins, inversant ainsi l’évidence qui est que le vrai risque, c’est de continuer aveuglément de vacciner alors qu’on finira inévitablement à devoir admettre que les vaccins ont causé beaucoup (trop) d’autres maladies !
Pr Pierre Bégué: « Ne pas vacciner quand c’est possible contre une maladie mortelle ou lourdement invalidante relève de la non assistance à personne en danger. Et, loin d’agresser notre système immunitaire, le vaccin est l’arme qui peut lutter contre son ennemi, qu’il s’agisse d’un virus ou d’une bactérie. Vacciner c’est une goutte d’eau dans l’océan d’une exposition antigénique précoce, et donner plusieurs vaccins simultanément aux enfants ne produit pas de surcharge sur leur système immunitaire en augmentant le risque de réponse négative aux vaccins... Au cours des premiers mois de sa vie, un nouveau né ingère de grandes quantités de bactéries nouvelles qui vont coloniser son tube digestif, ce qui constitue une confrontation immunitaire bien plus importante, bien que naturelle. De même, un enfant en crèche va rencontrer en permanence des virus. Chaque jour, les enfants, comme les adultes, sont en contact de façon continue avec des milliers d’antigènes, susceptibles de déclencher une réaction immunitaire. Notre système immunitaire est conçu pour ça. De plus, bien qu’on immunise aujourd’hui contre plus de maladies, les vaccins contiennent beaucoup moins d’antigènes qu’avant. Ainsi, par rapport aux années 1980, le nombre total d’antigènes dans l’ensemble de vaccins est passé de 3 000 à 130 environ. Les vaccins sont aussi plus purifiés, grâce au génie génétique et à la biologie moléculaire. En termes de surcharge antigénique, on a beaucoup plus agressé les enfants lorsqu’on leur pratiquait par exemple le vaccin contre la variole. C’est donc au plus tôt dans leur vie qu’il faut protéger les enfants car c’est à ce moment là qu'ils risquent certaines maladies graves. Même les prématurés doivent être vaccinés. »
Réponse : Là encore, la manipulation du Pr Bégué nous semble grossière. En affirmant que ne pas vacciner un enfant contre une maladie mortelle relève de la non assistance à personne en danger, il cherche surtout à consolider le monopole de la prévention erronément attribué aux vaccins, au détriment d’autres méthodes de renforcement aspécifiques du système immunitaire qui peuvent aussi éviter des infections même mortelles et leurs complications. Que le Pr Bégué se rassure, ne pas vacciner ses enfants ne signifie nullement que ces parents qui font ce choix souhaitent pour autant que leur enfant tombe malade !
Affirmer que les vaccinations actuelles n’endommagent pas le système immunitaire est grotesque compte tenu de l’ensemble des données scientifiques disponibles. Toute vaccination disait déjà le Pr Bastin il y a plus de 20 ans constitue toujours « biologiquement et immunologiquement une offense pour l’organisme ». La littérature montre que les vaccinations dépriment le système immunitaire et peuvent inverser le rapport T4/T8 au niveau de nos sous-populations de lymphocytes, c’est exactement ce qu’on observe en cas de sida mais ici de façon plus temporaire. Ces observations sont aussi compatibles avec les observations convergentes des parents qui ont eu certains enfants vaccinés et d’autres non, les premiers étaient sans cesse malades et choppaient tout ce qui passe et les autres jamais ou quasiment jamais.
Les Drs Dettman & Kalokerinos du Biological Institute australien qui ont pu observer et suivre des milliers d’enfants concluent d’ailleurs :
« Selon des recherches sophistiquées (…) les effets produits par les programmes vaccinaux de l’enfance sur les lymphocytes T (…) montrent que le système immunitaire s’avère substantiellement endommagé à la suite des vaccinations de routine. Une part importante des lymphocytes T est mobilisée par les antigènes spécifiques présents dans les vaccins. Une fois ainsi mobilisés, ces lymphocytes T deviennent immunologiquement inertes, incapables de réagir ou de se défendre contre d’autres antigènes, infections ou maladies. Ces découvertes tendraient à montrer que le capital immunologique se trouve substantiellement amoindri chez les nombreux enfants soumis aux programmes vaccinaux courants. »
Mais ce n’est pas tout, non ! Voyez plutôt d’autres citations, et notamment celle parue dans une revue médicale que Bégué n’a pas lu (ou pas voulu lire ?) :
« Les vaccinations en bas âge ne peuvent pas aider car elles ont des effets dangereux sur le système immunitaire de l’enfant laissant peut-être ce système tellement atteint qu’il ne peut plus protéger l’enfant durant sa vie ouvrant la voie à d’autres maladies suite à une dysfonction immunitaire. » Drs. H. Buttram et J. Hoffmann
«Le système immunitaire s'avère particulièrement endommagé à la suite de vaccinations de routine... » « ...Le capital immunologique se trouve substantiellement amoindri chez les nombreux enfants soumis aux programmes vaccinaux courants.» Le Concours Médical, 20 janvier 1974
Un autre point où le Pr Bégué semble se tromper sciemment, c’est quand il tente de présenter la vaccination comme « une goutte d’eau dans l’océan » par rapport aux autres contacts naturels avec des antigènes dans la vie de tous les jours. Dire que le système immunitaire est « fait pour ça » oui mais notre système immunitaire n’a jamais été créé ni préparé à la vaccination, bien au contraire. La vaccination n’est pas du tout comparable aux autres antigènes présents dans la vie de tous les jours et la raison en est que la voie de pénétration de ces antigènes dans le corps est totalement différente. Le corps est prévu pour entrer en contact avec différents antigènes mais via des interfaces prévues et bien balisées que sont la peau et les différentes muqueuses de l’organisme tandis que la vaccination court-circuite toutes ces interfaces nécessaires à l’obtention d’une réponse immune solide, durable et harmonieuse. Ce faisant, la vaccination favorise sans surprise toutes sortes de maladies liées à des dysfonctionnements, des « bugs immunitaires en tous genres » : allergies et maladies auto-immunes quand le système immunitaire se déchaîne et immunodépressions et cancers quand le système immunitaire s’épuise.
Les vaccins transgéniques sont loin d’être idéaux : loin d’être « plus purs », ils sont toujours porteurs d’impuretés issues de la manipulation génétique, ce qui pose en réalité un risque de cancers à terme (de l’aveu même de l’OMS dans un de ses rapports techniques !!). En effet, ces fragments d’ADN hétérogènes pourraient interférer avec notre ADN et favoriser des mutations ou le développement de cancers.
Pr Pierre Bégué: « Pourtant, avec le déplacement des maladies infantiles vers l’âge adulte et l’augmentation du nombre de personnes très âgées, un calendrier alternatif et sélectif risquerait de retarder encore davantage certains vaccins et de laisser trop longtemps des enfants sans protection. Ce serait particulièrement grave dans le cas des nourrissons pour qui l’application exacte du calendrier de vaccination est essentielle. Toutefois, on ne peut pas obliger le médecin à ne pas céder aux souhaits des parents d’étaler les vaccins ni les parents à refuser, en cas de séparation des vaccins combinés, à augmenter les visites … et les piqûres... »
Réponse : Si on assiste à un déplacement des maladies infantiles à l’âge adulte, c’est bien à cause de la vaccination et cela, plus aucun épidémiologiste n’oserait le nier de peur de devenir la risée d’un auditoire mais cela, le Pr Bégué se garde bien de le rappeler explicitement. Il voit là-dedans une raison de s’entêter de plus belle pour surtout vacciner dès le plus jeune âge. Il évoque le cas des prématurés alors que le scandale est qu’on vaccine ces enfants en âge réel et non en âge corrigé alors que le risque d’apnées (pouvant conduire à la mort) est encore plus élevé chez ces enfants en cas de vaccination ! Tenter de faire croire comme Pierre Bégué que les enfants ne sauraient pas survivre sans suivre scrupuleusement le calendrier officiel de vaccination n’a aucun bon sens. C’est exactement comme la grande Pr Claire-Anne Siegrist qui osait déclarer que sans vaccination, les enfants reviendraient à une espérance de vie de 35 ans !
Pr Pierre Bégué: « L’efficacité d’un vaccin se mesure à l’aune de son effet et de sa durée de protection. Un vaccin ne peut donc pas être homéopathique. En 2006, le Conseil supérieur d’hygiène publique de France mettait en garde contre les préparations homéopathiques ayant une indication dans la prévention des états grippaux, et parfois même présentées comme « vaccin homéopathique ». Il rappelait que « l’autorisation de mise sur le marché octroyée à ces médicaments homéopathiques ne nécessite pas l’existence de preuves scientifiquement établies... » soulignant que « l’utilisation de ces médicaments homéopathiques à la place du vaccin anti-grippal constitue une perte de chance, notamment chez les personnes à risque de complications » dans la mesure où la promotion des thérapies « alternatives », homéopathie en tête, envahit Internet, mais aussi de nombreux magazines, surfant sur la vague de peur et d’inquiétudes que suscite la vaccination, et l’attrait du prétendu « naturel ».
Réponse : Une ineptie de plus, de la part de quelqu’un qui ne connaît rien de rien à l’homéopathie ! C’est là bien la preuve que Bégué est dans l’idéologie et non dans une saine curiosité scientifique, ce pourquoi il ne conçoit l’efficacité d’une substance qu’à travers le filtre des vaccins classiques. Car s’il s’était donné la peine de se renseigner, il aurait trouvé que des préventifs homéopathiques (qu’on les appelle nosodes, biothérapiques ou « vaccins homéopathiques ») se sont déjà avérés efficaces, contre la leptospirose à Cuba notamment ainsi que contre le méningocoque au Brésil. Quand on sait que le vaccin contre le méningocoque ne prévient pas les méningites du groupe B (contrairement au préventif homéopathique) et que ces vaccins anti-méningocoques C sont statistiquement infiniment plus risqués que la maladie elle-même, on comprend de quel côté se situe la « perte de chances » pour les patients…Quand on voit le nombre de critiques scientifiques au sujet de l’efficacité plus que douteuse du vaccin antigrippal, on comprend encore mieux pourquoi le Pr Bégué essaie en désespoir de cause de présenter le vaccin antigrippal comme le seul moyen de prévention reconnu !
Pr Pierre Bégué: « La perception du risque joue plus que le risque lui-même dans la décision d’une vaccination et, si la plupart des gens ont une confiance forte dans les vaccins anciens, surtout pédiatriques, dont ils ont l’habitude, tout nouveau vaccin suscite de la méfiance !. Ainsi, si la maladie ne fait pas peur, on ne fait rien, même si le vaccin est considéré comme n’étant pas dangereux. Si elle fait très peur, on se vaccine, en acceptant un certain risque vaccinal. Mais si la peur est modérée, on calcule, on compare et on hésite... »
Réponse : Bégué démontre ici bien que la base de toute vaccination est donc bien LA PEUR. La dramatisation de la maladie pour écouler des vaccins… merci de ces aveux professeur, cela confirme en tous points la perception d’un nombre accru de personnes lassées de ces procédés déloyaux !
Pr Pierre Bégué: « Même si les adjuvants sont devenus les boucs émissaires du refus de vaccination, ils restent en effet indispensables pour potentialiser la réaction immunitaire induite par les vaccins. […] Parmi les nombreux adjuvants ajoutés aux vaccins, les plus anciens sont les sels d’aluminium, hydroxyde ou phosphate d’aluminium, longtemps seuls utilisés depuis 1926 : leur tolérance n’a jamais été remise en cause après des centaines de millions de vaccinations dans le monde jusqu’en 1998 où un groupe de neurologues français a rapporté des douleurs diffuses s’accompagnant de fatigue chez des patients dont la plupart avaient reçu un vaccin de l’hépatite B contenant de l’hydroxyde d’aluminium. […] Pour le moment, non seulement il n’est pas question de se dispenser des adjuvants, mais au contraire d’en trouver de nouveaux, à la fois efficaces et bien tolérés, notamment pour vacciner contre la grippe, le paludisme et la tuberculose. »
Réponse : Cela fait déjà des années que Bégué nie farouchement tout danger à l’aluminium vaccinal, ayant déjà accusé les contestataires d’irresponsabilité car ils feraient peur aux gens sans preuves. Son déni ne suffit hélas pas à nier les résultats accablants de centaines de publications dont beaucoup datent de bien avant 1998 sur les dangers de l’aluminium à fortiori quand on l’injecte, ce qui est encore beaucoup plus toxique qu’une simple ingestion bien sûr ! Plus on injecte profondément, plus la toxicité s’accroît : l’aluminium n’a rien à faire dans nos muscles, et depuis les « bons conseils » des labos de se mettre à vacciner en IM dans les années 90 (plutôt qu’en sous-cutané), on voit bien les tristes résultats, l’apparition de la myofasciite à macrophages n’étant qu’un exemple visible.
Les dangers des adjuvants sont bien réels même s’ils ne résument hélas pas à eux seuls les problèmes de sécurité liés aux vaccins. Même l’OMS, fort peu indépendante, a déjà admis que « la sécurité des adjuvants est un domaine important mais négligé ». En attendant, pendant que Bégué continue de se mettre la tête dans le sable, différents scientifiques internationaux comme Exley, Shaw, Shoenfeld et Gherardi participeront quant à eux à une conférence ce 12 novembre prochain à Paris à l’initiative de l’eurodéputée française Michèle Rivasi. Cette conférence s’intitule « Nocivité des sels d’aluminium dans les vaccins : du soupçon aux certitudes.» Dans l’invitation à cette conférence, on pouvait notamment lire « Au cours de cette conférence de presse, seront présentés les travaux de plusieurs chercheurs internationaux. Ils sont suffisamment probants pour que le gouvernement prenne ses responsabilités. Il s'agit d'une question majeure de Santé Publique. » (Lieu et heure : 288 boulevard Saint-Germain, 75007 Paris, de 10 à 12h)
Voir aussi Sels d'aluminium dans les vaccins, attention danger?