Et voici comment l'Agence française des Médicaments représentait elle-même la "sous-notification inévitable" des effets secondaires de vaccins, dans un document de 2007:
Seuls 1 à 10% des effets secondaires graves des vaccins sont rapportés et comptabilisés (Revue du Praticien, novembre 2011). Il n'y a pas de consensus au sein du monde médical sur le délai de survenue ni sur les symptômes à réunir pour pouvoir considérer qu'il s'agit bien d'un effet secondaire de tel ou tel vaccin. Un tel flou profite bien sûr à l'industrie, mais pas à vos enfants. En outre, il n'y a aucune étude sur le long terme et très long terme. Comment savoir donc si votre enfant ne va pas échanger une rougeole (majoritairement curable et bénigne) contre une sclérose en plaques, une épilepsie ou un autisme (dont la majorité des cas seront chroniques à vie selon les propres constats du corps médical)???
Il y a deux choses qui ne sont pas de mise en matière de vaccins et qui devraient pourtant l'être car cela constitue pourtant le b.a-ba de la démocratie:
1. LA SCIENCE (qu'on nous prouve que les évaluations des vaccins sont véritables scientifiques, que cela est "de la Bonne Science")
2. LE CHOIX (que les parents, sur base de preuves scientifiques solides, puissent se prononcer et choisir ce qui leur semble le mieux pour la santé de leur enfant; si c'est réellement scientifique, l'immense majorité des parents accepteront sans nul doute de faire vacciner leur enfant l'esprit tranquille.)
Hélas, dans nos sociétés qui n'ont de "démocratique" que le nom, non seulement les vaccins ne sont pas évalués de façon scientifique, mais en plus, on les impose sur base de la peur, de l'intimidation et de la culpabilisation. Nos enfants ne méritent-ils pas mieux??