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30 juin 2012 6 30 /06 /juin /2012 21:17

Soldat--Fotolia.jpg

Le 25 juin dernier, Christina England de Vactruth commentait de façon pertinente les preuves irréfutables que les soldats sont utilisés comme cobayes faciles et gratuits en subissant ainsi des vaccinations obligatoires dont on ne leur révèle cependant pas le caractère expérimental...

 

En octobre 2000 en effet, le Ministre italien de la Défense a adressé une lettre à l'éditeur de JAMA, le Journal de l'Association Américaine de Médecine, dans laquelle il expliquait qu'en Italie, ils ont décidé d'introduire en 1998 la vaccination ROR obligatoire des militaires, contenant la souche rougeoleuse Schwarz, celle des oreillons Urabe Am9 et la souche de rubéole Wistar RA27/3 et ce, dans le but de tester l'efficacité de ce triple vaccin. (1) Endéans le mois qui a suivi l'administration du vaccin aux soldats, l'incidence des oreillons a augmenté de façon significative.

 

La lettre mentionne: "L'introduction récente (d'avril 1998) de la vaccination obligatoire des recrues a fourni une opportunité de tester l'efficacité et les effets secondaires du vaccin ROR (contenant la souche rougeoleuse Schwarz, la souche d'oreillons Urabe Am9 et la souche rubéoleuse Wistar RA27/3) dans le milieu militaire."

 

La lettre se poursuit alors en ces termes : "Pour établir l'efficacité du vaccin ROR et la réactogénicité liée à la souche Urabe Am9, les taux d'incidence  de la rougeole, des oreillons et de la rubéole dans les forces armées italiennes en 1999 (période post-vaccinale) furent comparés à ce qu'ils étaient en 1997 (période pré-vaccinale)."

 

Le libellé de la lettre suggère que l'armée italienne a organisé à cette époque une vaccination expérimentale et que les soldats ont donc reçu à cette époque un ROR contenant une souche Urabe des oreillons encore non testée (Urabe Am9) et non le vaccin ROR Pluserix qui fut retiré du marché en 1992 en raison de ses effets secondaires. Selon Christina England, il est difficile de déterminer avec certitude si ces soldats auraient reçu ou non le Pluserix car une certaine confidentialité demeure sur les vaccins exacts administrés aux militaires.

 

Elle estime que si les militaires italiens ont reçu à cette époque le vaccin Pluserix (alors déjà retiré du marché depuis 6 ans, en 1992), cela serait également grave car cela signifierait que le Ministre italien de la Défense cautionnait l'administration d'un vaccin dangereux et précédemment retiré du marché à ses soldats.

 

Il est donc plus probable, selon Christina England, qu'il s'agissait du test d'un nouvel autre vaccin ROR expérimental puisque la réactogénicité du Pluserix était déjà connue en 1998 (car retiré en 1992) et que le Ministre mentionnait l'opportunité d'évaluer la réactogénicité de cet autre vaccin ROR en question. (2)

 

Le paragraphe suivant est possiblement le passage le plus intéressant de tout le courrier parce que, bien qu'ils rapportent une baisse d'incidence de la rougeole et de la rubéole, l'incidence des oreillons, elle, augmentait, indiquant ainsi que la souche des oreillons Urabe qu'ils utilisaient, était problématique:

 

"Comme attendu, l'incidence de la rougeole et de la rubéole ont décru très fortement en 1999. Par contraste, le taux d'incidence des oreillons augmenta après l'introduction du vaccin ROR."

 

On ne pouvait donc pas prétendre à un échec de l'"effet de groupe" souligne Christina England, comme c'est souvent le cas pour justifier tous les échecs vaccinaux qui surviennent, puisque tous les soldats étaient alors obligés de recevoir cette vaccination en question.

 

Il y avait dans ce courrier plusieurs graphes et tableaux reprenant les résultats obtenus sur les militaires, avant que le courrier ne conclue que:

 

"La souche rougeoleuse Schwarz et la souche rubéoleuse  Wistar RA 23/7 semblent hautement efficaces dans cette population. L'efficacité de la souche des oreillons Urabe Am9 pourrait ne pas être déterminable en raison des difficultés à définir les nouveaux cas survenus chez les vaccinés, mais elle est au moins efficace à 70%, ce qui est cohérent avec d'autres données récentes. Cependant, la relation temporelle étroite entre la vaccination et la survenue des oreillons suggère une forme de pseudo oreillons, due à une sorte de virulence résiduelle de la souche vaccinale."

 

Christina England estime vraiment étrange qu'un tel courrier soit resté caché pendant autant d'années et que celui-ci n'ait pas fait l'objet de discussions approfondies. En outre, elle se dit particulièrement choquée, et on la comprend, que les soldats qui offrent ainsi leurs vies au service de leur pays aient ainsi reçu "en remerciement" des vaccins dangereux et non testés.

 

Mais Christina England de bien préciser également que ce courrier du Ministre italien de la Défense n'est pas la seule preuve d'expérimentations vaccinales effectuées sur les forces armées.

 

Elle mentionne en effet aussi un contrat original d'achat de vaccins Pluserix conclu en 1988 entre Smith Kline France et les autorités sanitaires britanniques (National Health Services), pour la fourniture de 1 400 000 doses de ce vaccin à destination des forces armées et des jeunes enfants et ce, dans le cadre de la campagne de vaccination nationale contre la rougeole, les oreillons et la rubéole qui commençait le 3 octobre 1988.

 

Christina England, qui rappelle que copie de ce contrat a pu être obtenue grâce à la Loi sur la Liberté de l'Information (Freedom of Information Act/FOI), mentionne qu'il est hautement probable qu'il ait été signé au nom des autorités sanitaires britanniques par le Pr Salisbury ou que celui-ci ait,  à tout le moins, participé au groupe d'experts ayant conseillé d'introduire si tardivement cette vaccination qui était alors déjà fameusement contestée et suspectée voire bannie depuis plusieurs années de plusieurs autres pays en raison de ses effets secondaires.

 

Ces documents sont donc de nature à prouver que les forces armées font office de cobayes dociles et utilisables à merci. Les soldats, dont plusieurs souffrent déjà du Syndrome dit de la Guerre du Golfe, une maladie associée à plusieurs adjuvants vaccinaux toxiques (aluminium, squalène etc), paient donc un lourd tribu aux essais de vaccins forcés et qui constituent une bien drôle de récompense en contrepartie des services qu'ils rendent pourtant à la nation.

 

Références

 

(1) JAMA The Journal of the American Medical Association Measles-Mumps-Rubella vaccine in the Italian Armed Forces http://jama.jamanetwork.com/article.aspx?articleid=193199

 

(2) Glossary of Malaria Vaccine http://www.malariavaccine.org/malvac-glossary.php

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