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4 avril 2013 4 04 /04 /avril /2013 19:58

STIGMATISATION-fotolia

Nous avions déjà évoqué plusieurs fois la situation scandaleuse des enfants Guéret, d'Allevard-les-Bains, dont les parents Rémi et Stéphanie, sont ainsi obligés de leur faire la classe à la maison, parce qu'ils sont tout simplement privés d'école, bien que pourtant totalement en règle au regard de la loi.

 

En France, pays des "libertés" qui porte décidément bien mal son nom puisque les sanctions pour refus de vaccination ont été durcies et s'élèvent à 3750 euros d'amende et à 6 mois de prison avec sursis, il s'avère aussi que les autorités ne respectent même pas les conditions des obligations vaccinales qu'elles ont elles-mêmes imposées!!

 

En effet, la législation prévoit normalement la possibilité de dérogation médicale en cas de contre-indication, ce qui était pourtant le cas d'un des deux enfants. L'autre enfant a été considéré comme à jour de ses vaccinations obligatoires par les services de la PMI locale. (PMI= services de protection maternelle & infantile= équivalent français de l'ONE)

 

Mais surtout, il faut savoir qu'en France, il n'existe plus aucun vaccin trivalent sans aluminium et/ou ayant une autorisation de mise sur le marché pour les enfants en bas-âge (le vaccin DTP Revaxis n'ayant ainsi pas d'AMM pour les enfants de moins de 6 ans). Ce faisant, les autorités rendent volontairement inapplicables les obligations vaccinales imposées aux enfants, tout en espérant qu'une majorité de parents accepteront ainsi de bon coeur qu'on leur force de facto la main avec des valences non obligatoires et dont les effets secondaires ne seront ainsi nullement assumés.

 

On en est en réalité arrivé à un degré de pression tel que les enfants qui n'auraient reçu "que" le minimum légal, pourtant déjà très élevé, sont l'objet d'une véritable stigmatisation qui sert surtout à dissuader le moindre effet "tache d'huile" vis-à-vis d'autres parents qui seraient éventuellement tentés de suivre ce "dangereux" chemin de la réflexion personnelle.

 

Ceci est donc le tableau général. Mais revenons-en à présent au cas concret de la famille Guéret, qui a choisi, à fort juste titre, de dénoncer le non respect des autorités locales vis-à-vis de leur devoir d'instruction publique. Cette famille courageuse et admirable a réalisé un site internet qui relève bien sûr de la plus élémentaire liberté d'expression et qui expose au grand jour le cas ubuesque de leurs enfants, injustement privés d'école depuis maintenant plus de 577 jours soit 17 mois! Il s'agit donc d'une (rare) famille qui choisit de ne pas courber l'échine face à des autorités non complexées de bafouer jusqu'à leurs propres règles.

 

Le maire de leur commune leur a répondu que c'était la directrice d'Académie qui refuse de scolariser leurs enfants alors que cette dernière renvoie la balle au maire! Cette famille ne comprend pas, alors que toutes les justifications d'usage ont été apportées, pourquoi, leurs enfants ne pourraient pas réintégrer l'école locale où ils avaient tous leurs amis. Pourquoi ces enfants pourraient-ils aussi être légalement admis ailleurs, dans la commune voisine de Saint Maximin et pas à Allevard, comme le maire espèrerait ainsi "se débarasser" du problème Guéret sans avoir jamais voulu le résoudre?

 

Mais alors, que faire pour "se débarrasser" du problème Guéret??

 

Diaboliser les parents et tenter ainsi de justifier qu'on ne réponde plus à pareils parents "indignes"... le subterfuge est vraiment pitoyable, mais c'est pourtant ce qui est clairement appliqué, comme en témoigne le contenu d'un PV d'une réunion extraordinaire du Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail  (CHSCT) de l'Académie de Grenoble daté du 19 novembre 2012.

 

Ce PV, qui était vraisemblablement disponible depuis le 28 janvier dernier sur le site de l'Académie de Grenoble et que nous avions pu consulter sur leur site il y a encore quelques jours, est à présent indisponible au lien suivant. Comme "par hasard", ce document est devenu indisponible très peu de jours après que l'UNACS (Union Nationale des Associations Citoyennes de Santé) ait révélé l'existence de ce document. Les autres PV restent par ailleurs disponibles sur ce site, rendant carrément improbables des problèmes techniques aussi "sélectifs". L'UNACS ayant eu la bonne idée de sauvegarder un document aussi précieux, il nous est donc possible de vous en faire part également, après l'avoir nous aussi sauvegardé, pour plus de sécurité.

 

Dans ce PV, on peut lire qu'on parle de "la famille X", il s'agit en réalité sans l'ombre d'un doute de la famille Guéret, au vu des éléments contextuels énumérés.

 

On peut se rendre compte à la lecture de ce texte qu'on accuse ainsi les parents de harcèlement (alors qu'il s'agit en réalité de l'inverse), d'intimidation, d'injures et d'agression vis à vis du corps enseignant de l'école maternelle d'Allevard:

 

"Le CHS-CT constate que tous les personnels sont en danger de manière récurrente, aussi bien psychologiquement que physiquement, aussi bien sur leur lieu de travail dans leur vie professionnelle que sur la commune dans leur vie privée et familiale, du fait des agissements problématiques d'une famille: agressions, injures, intimidations diverses, menaces... Par ailleurs, le CHS-CT propose que le médecin de prévention prenne contact sans délai avec les enseignantes de l'école."

 

Ce texte est contradictoire et pue littéralement le coup monté: alors qu'il parle dès les premières lignes d'"agissements agressifs d'une famille par l'intermédiaire d'un blog.", il en arrive comme par enchantement à conclure en fin de texte à "un danger récurrent, y compris physique" pour tous les personnels de l'école, que ce soit sur leur lieu de travail ou dans la ville, dans le cadre de leur vie privée. On croit vraiment rêver.

 

Tout dans ce document démontre que le cas de ces parents gêne et que ces gens-là cherchent l'ultime solution pour se débarasser du problème, même via des actions en justice abusives, des signalements à la protection de l'enfance, des auditions auprès du juge des enfants etc.

 

Tout est-il bon à faire pour ne plus voir ces parents à l'école? Il semble bien que oui. Le fait que le Recteur ne puisse pas porter plainte semble les gêner car il faut "avoir un intérêt à agir" pour agir en justice et visiblement, le cas de ces prétendues victimes ne semble pas si criant que cela, au point qu'il faut vraiment réfléchir, se casser la tête pour trouver des motifs d'action en justice!

 

Mme Rosset (à qui nous avions envoyé un courrier recommandé le 30 août 2012) qui dit dans ce PV être suivie par un psychiatre depuis juin 2012 "pour pouvoir continuer à exercer son métier dans ce contexte d'agression" considère alors peut-être aussi que notre démarche était "une agression" elle aussi? Mme Rosset précise également au sujet de la famille Guéret que "leurs agissements ne peuvent être juridiquement considérés comme relevant de "harcèlement" car il n'existe aucun lien hiérarchique entre les parents et les enseignants, et que seule une décision de justice pourrait interdire à la famille de poursuivre ses actions négatives." Mme Rosset déclare aussi un peu plus loin dans le texte "Notre dernier recours, c'est vous, les membres du CHSCT". Comment cela est-il possible si les preuves des agressions alléguées sont si criantes? Pourquoi les enseignants n'ont-ils pas alors d'emblée déposé une plainte à la police?

 

Certains interlocuteurs dans cette sordide réunion évoquent l'urgence d'éviter "un drame", lequel? Si ce n'est celui des enfants déjà privés d'école depuis plus de 570 jours?

 

Il conviendrait même selon eux de prévenir la presse. On parle aussi de la nécessité d'une protection de l'école voisine de Saint Maximin où ces gens rêveraient pourtant d'expédier les enfants Guéret.

 

Un certain Monsieur Bouteille précise que "dans les 6 mois à venir, les procédures de plainte en cours devraient aboutir." Si la justice est réellement indépendante, comment peuvent-ils déjà savoir que ces plaintes aboutiront??!

 

Nous apprenons ce jour un Xième rebondissement dans l'affaire de harcèlement administratif dont sont victimes ces parents Guéret et leurs enfants. En gros, c'est la fameuse suite des actions judiciaires abusives qui étaient évoquées dans ce PV de réunion de l'Académie de Grenoble...

 

Hier, Stéphanie Guéret, la maman des enfants, était convoquée à la gendarmerie pour manquement à l'obligation scolaire suite au signalement de la Directrice d'Académie et au conseil général de l'Isère, un comble quand on sait que ce sont précisément les instances publiques qui sont défaillantes par rapport à leur devoir d'instruction publique et le fait que ces parents assument courageusement l'instruction scolaire de leurs enfants à domicile depuis tout ce temps. Le motif même de cette plainte est donc la preuve irréfutable que ces parents ne sont pas victimes de ce dont on les accuse (prétendues agressions Pffff!!).

 

L'autre motif de convocation de la maman à la gendarmerie était une plainte en diffamation déposée contre la famille Guéret en janvier dernier. La raison de cette prétendue "diffamation" est la mention sur le site des parents que Mme Rosset, la directrice de l'école maternelle des enfants, est l'épouse d'un adjoint au maire d'Allevard (ce maire qui a fait de belles promesses électoralistes mais sans jamais les respecter dans le cas concret des Guéret, comme l'immense majorité des politiciens!)

 

Cette situation nous fait immanquablement penser à des procédés similaires de stratégies d'évitement et d'intimidation par rapport à "des gens debout" dans le contexte de harcèlement vaccinal sans précédent que nous connaissons. Nous allons donc donner quelques exemples qui permettront aux lecteurs de mieux comprendre les similitudes entre ces genres de dossiers et voir que les méthodes sont souvent les mêmes.

 

- En 2012, les parents de la petite Stacy, décédée une semaine seulement après ses trois premiers vaccins réalisés dans un bureau ONE (équivalent belge de la PMI) sont reçus, non sans difficulté par la direction médicale de l'ONE qui n'avait en réalité nullement envie de les recevoir, d'autant que les parents étaient accompagniés d'une journaliste de l'Agence Belga!

 

Les parents sont finalement reçus, en compagnie de la journaliste. Etaient également présent selon ce que les parents nous ont confié, une personne du groupe "Anonymous", qui tenait également à assister à l'entretien, cette personne ayant préféré garder son masque et son anonymat. Le 17 octobre 2012, la télé RTBF diffuse une émission sur la vaccination, assez partiale. Alors qu'on s'attendait évidemment dans le cadre de cette émission à entendre les réponses de la direction médicale de l'ONE sur le fond du débat concernant la sécurité des vaccins, on n'a simplement entendu une pitoyable "victimite" de la part de l'Administrateur général de l'ONE qui prétendait que le personnel de l'ONE aurait reçu des menaces de la part du groupe Anonymous et qu'il aurait peur d'aller travailler. Et bien sûr, sans l'ombre d'une vérification ou la démonstration d'un début de preuves de telles allégations faciles et invérifiables, le journaliste a intégré ces pleurnicheries dans son émission sans demander son reste à l'ONE. L'ONE en a aussi profité pour se plaindre de la vidéo de Me Vanlangendonck qui rappelait les risques pénaux encourus par les médecins ONE qui n'informent pas les parents des risques des vaccins qu'ils injectent aveuglément. Le tour était joué, l'ONE avait donc évité les questions embarrassantes sur le fait qu'il exige tout sans rien assumer en contre partie des risques qu'impliquent ces obligations!

 

- En 2012 toujours, l'Administrateur général de l'ONE prétend dans la presse, pour faire bonne figure, qu'il y a des possibilités de dérogations médicales et que celles-ci, lorsqu'établies par les médecins traitants, sont généralement respectées par les conseillers pédiatres de l'Office, qui pratiquent en réalité une médecine à distance illégale selon les textes de loi en vigueur. Benoît Parmentier, intervient dans la presse pour tenter d' "éteindre l'incendie" suite à une nouvelle exclusion d'un enfant d'une crèche en dépit d'un certificat médical de contre-indication en bonne et due forme et parfaitement justifié compte tenu que l'enfant avait très mal réagi aux précédentes doses et avait dû être admis aux urgences! Les propos de Mr Parmentier n'étant pas conformes à la réalité des faits qu'il nous a été donné de constater, via les parents mais aussi via des médecins, et compte tenu aussi des autres graves mensonges de l'Office qui avait affirmé dans la presse et sur son site que "pour la quasi totalité du monde médical à l'échelle de la planète, il n'existe pas de complication grave des vaccins" ou encore que "jamais les vaccins ne provoquent les complications des maladies contre lesquelles ils protègent", nous décidons d'écrire en avril une lettre à tous les médias pour y demander la fin des mensonges de l'ONE ainsi que la fin de la complaisance médiatique dont bénéficie l'Office à cet égard. Très peu de temps après, nous y apprenions d'une source bien informée du milieu, que l'ONE aurait convié la presse lors d'une réunion en juin et y aurait répandu le bruit que nous étions une mouvance sectaire qu'il ne fallait pas relayer.

 

- La même année, toujours en 2012, la direction juridique de l'ONE a introduit une plainte en diffamation auprès du bâtonnier de Bruxelles contre notre avocat, Me Philippe Vanlangendonck, qui est aussi l'avocat de plusieurs parents ayant eu leur enfant injustement exclu des crèches ONE. L'ONE se basait pour cette plainte sur une vidéo de Me Valengendonck sur youtube qui leur avait été transmise par le CIAOSN (équivalent belge de la Miviludes, l'organe qui voit des sectes partout). Dans cette vidéo, Me Vanlangendonck rappelait le caractère franchement expérimental des vaccins et le danger associé notamment à la présence de métaux lourds. Il y expliquait qu'il était aussi absurde de nier systématiquement tous les décès et les accidents vaccinaux que de nier le lien de cause à effet entre la proximité géographique des pharmas et la sinistre activité dans les camps de la mort lors de la Seconde Guerre Mondiale. L'ONE a tenté cette action pour essayer de dégommer un avocat gênant. Cette plainte n'a jamais abouti et fut classée sans suite.

 

- En janvier dernier, nous avions publié un communiqué de presse sur les conflits d'intérêts non révélés de la Ministre de la santé communautaire Fadila Laanan dont deux soeurs travaillent chez GSK. Une situation qui nous paraissaît (mais pas qu'à nous, à la revue satyrique Ubupan également) mériter un communiqué dès lors que les experts sanitaires sont, eux, à présent tenus de déclarer publiquement les liens entre les membres de leurs familles et les firmes pharmaceutiques! A un peu plus d'un an des régionales, nous avons reçu une lettre de mise en demeure intimidatrice de Me Uyttendaele, avocat proche du parti socialiste et époux de la Ministre fédérale de la Santé, Laurette Onkelinx, du même parti, nous menaçant de poursuites civiles et pénales, au motif que nous salirions l'image de la Communauté Française et que cela relèverait de la diffamation! Notre avocat lui a envoyé une réponse urgente par fax dès le lendemain afin de lui demander s'il agissait au nom de la Ministre, de ses soeurs ou de la Communauté Française.... il n'a jamais reçu la moindre réponse.

 

- Cette situation d'intimidation ou de chasse aux sorcières est vraiment récurrente dans le domaine des vaccins, quelqu'un comme le Dr Andrew Wakefield en a aussi fait les frais. Ses travaux dérangeants aux résultats inacceptables pour l'industrie du vaccin (et pour les autorités qui ont aveuglément recommandé leurs vaccins hasardeux) sont à la base de l'acharnement sans précédent dont il a été l'objet: traité de fraudeur, radié de l'Ordre des Médecins et même interdiction de vente de son livre "L'impitoyable mépris; Autisme & vaccins, la vérité derrière la tragédie" dans son pays d'origine, le Royaume-Uni! Il fallait éviter qu'un nombre croissant de parents n'arrêtent de faire vacciner leur enfant avec le ROR, comme c'était le cas et donc, forcément diaboliser le Dr Wakefield et faire voler en éclats sa crédibilité. C'est ainsi que des accusations totalement injustes et farfelues ont été faites à son encontre, le tout sur un terrain de conflits d'intérêts frappants, là encore:

 

- un journal pour lequel travaillait le journaliste dénigrant (le Sunday Times) détenu par le magnat Ruppert Murdoch

- le fils de Ruppert Murdoch engagé chez GSK par l'ex propriétaire du Lancet (un certain Davis)

- Le juge Crispin Davis, le frère de celui qui travaille chez GSK, qui coupe l'aide juridique aux familles qui avaient déposé plainte pour les dégâts du ROR et dont Wakefield réalisait les travaux d'expertise dans le cadre du procès.

 

Etiqueter les gens de "fraudeur", de "secte" ou de "parents agresseurs" est tout ce qu'il reste à ce système aux abois qui recourt en fait toujours aux mêmes méthodes pour tenter de se débarrasser de ceux qu'il considère comme des obstacles, comme des gêneurs.

 

Soyons conscients de ces méthodes et soutenons tous ceux qui en font injustement les frais. Il y va de l'intérêt de nos démocraties mais aussi bien sûr de notre santé et de celle de nos enfants.

 

Ecouter aussi l'interview de Stéphanie Guéret sur Radio Grésivaudan (le 16 mars 2013)

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commentaires

D
J'ai fait ce DTVax l'année dernière.<br /> Or la caducité à laquelle vous faites référence devait le voir retirer en 2011 (3ans)...<br /> Bref, c'est un vaste foutoir.<br /> Bien heureux de ne plus vacciner, et de m'être sorti de ce sac de noeuds. Si j'avais continué, je ne vivrais plus, à la pensée des dégâts que je pouvais provoquer à chaque injection. Illusion ou<br /> pas, j'ai le sentiment que mes petits patients sont bien moins souvent malades qu'avant.<br /> Bref, si ce n'est pas bon pour mon commerce, c'est bon pour mon moral.
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C
Je vis en France docteur x, effectivement un grand coup de balai au niveau des experts et des décideurs ferait du bien, de plus en plus de députés ont compris l'ampleur du problème de cette<br /> obligation qu'il est impossible de satisfaire et ont posés des questions au ministre de la santé Madame Touraine, malheureusement aucune réponses à ce jour.<br /> <br /> Docteur x j'ai pris note de votre lien de l'ANSM, le Dtvax a obtenu une nouvelle autorisation de mise sur le marché du 17 juillet 2008 MAIS aujourd'hui ce vaccin n'est plus dans le circuit<br /> pharmaceutique. A cette page on trouve le principe de caducité des AMM http://ansm.sante.fr/Activites/Autorisations-de-Mise-sur-le-Marche-AMM/Caducite-des-AMM-et-des-enregistrements/ alors l'AMM<br /> est-elle toujours valide pour le DTVax?
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D
Non, en France.<br /> Et si votre Ministre de la santé ne vaut pas plus que les nôtres, j'envie par contre les facilités que vous avez à vous procurer certains médicaments interdits en France. C'est par chez vous que je<br /> passe pour me les procurer, ou par la Suisse. Mais nos démocraties sont toutes relatives, dans tous les cas...Il faudra faire un jour un grand coup de balai dans le panier de crabes, et l'affaire<br /> Cahuzac (et ses probables magouilles avec l'industrie pharmaceutique portant sur, en fait, sans doute 16 millions d'euros) pourrait bien en être le point de départ.<br /> On peut rêver...
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C
Je vous confirme que le DTVax est compliqué à obtenir aujourd'hui car il faut faire une demande spécifique au laboratoire en suivant un protocole tout aussi spécifique. Il a été retiré du marché en<br /> 1999, suite au recommandations de l'EMA. Le laboratoire Sanofi n'a plus le droit de le vendre alors il l'OFFRE à qui voudra bien l'injecter, les laboratoires seraient-ils devenus altruiste?<br /> Vous exercez en Belgique docteur X?
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D
Vous avez failli me laisser aller à croire que j'étais gâteux...<br /> J'ai eu à ma disposition le DTVax en unidose, que vous trouverez ici, sous cette rubrique:<br /> DT VAX, suspension injectable en seringue préremplie Vaccin diphtérique et tétanique adsorbé,<br /> Commercialisé par Sanofi-Pasteur,<br /> à la page 3 de ce document (Commission d’autorisation de mise sur le marché du 17 juillet 2008):<br /> http://ansm.sante.fr/var/ansm_site/storage/original/application/77c051a38d47c451109d214a236685ee.pdf<br /> <br /> Ah mais!
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