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4 décembre 2014 4 04 /12 /décembre /2014 07:00

VACCINS : IGNORANCE MEDICALE OU TROMPERIE ?

 

Une maman en a eu par-dessus la tête !

 

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FAITES-MOI CONFIANCE, JE SUIS MEDECIN

 

TLB Staff, 29 novembre 2014 – Préface Roger Landry

 

Je suis récemment tombé sur le texte d’une lettre qui a de suite attiré mon attention pour de nombreuses raisons :

 

Cette lettre était manifestement écrite par des parents conscients,  bien informés et manifestant un haut niveau de préoccupation au sujet de la santé de leurs enfants.

 

Les arguments de la lettre sont précis et révèlent un niveau de connaissances que la majorité du personnel médical ne pourrait imaginer chez des parents ou chez un profane, ceci dit avec tout le respect que l’on doit à tout un chacun.

 

J’ai contacté l’auteur de la lettre et lui ai demandé la permission de la publier. La personne s’est montrée heureuse de constater notre intérêt. De notre côté, nous sommes aussi heureux de vous en faire prendre connaissance.

 

Pendant trop longtemps, une grande partie de la société a cru que les vaccins étaient les sauveurs de la société moderne, et qu’ils avaient protégé des millions de personnes de la maladie et de la mort. Cependant, les preuves du contraire sont à la fois crédibles et abondantes. Toutes mes recherches personnelles et tous mes écrits ont pu prouver que la réalité était en fait tout le contraire de ce qu’on veut bien nous dire.

 

Les vaccins administrés dans le monde au cours du siècle dernier sont en fait responsables de plus de décès de plus de dommages à l’humanité que n’importe quelle guerre moderne. En conséquence, ceux qui profitent des vaccins, ceux qui les administrent, tout en étant au courant des faits, semblent bien être parmi les personnes les plus dépravées de la planète.

 

Protéger nos proches, en particulier nos chers enfants, est une tâche dans laquelle nous ne faillirons pas. Nos enfants sont le futur de nos communautés, ainsi que de l’humanité elle-même. Notre groupe voit ces parents comme de véritables étoiles qui vont montrer à tous le meilleur des exemples. Nous ne saurions surestimer l’admiration et la reconnaissance que nous leur portons.

 

Ce que vous vous apprêtez à lire est rafraîchissant. Ce texte constitue un exemple de parents qui veulent sortir des sentiers battus pour protéger l’enfant qu’ils aiment.

Faites part de cet exemple aux médecins et personnel médical que vous connaissez… Ces personnes ne peuvent pas tout savoir. Et c’est précisément ce qu’ils ne savent pas qui risque d’endommager la santé de nos enfants et mettre l’avenir de l’humanité en danger.

 

Aimable contribution au projet de «  Liberty Beacon »

 

Par Trina Ricketts

 

En Colombie Britannique (Canada), les infirmières scolaires pourchassent délibérément les jeunes de 14 ans et plus qui présentent des formulaires de consentement sur lesquels les parents ont écrit NON à tous les vaccins. Ces infirmières déploient beaucoup d’efforts pour persuader ces enfants de se faire vacciner en se basant sur la loi ayant trait au « consentement de maturité » qui stipule que les enfants de plus de 14 ans peuvent prendre leurs propres décisions à propos d’interventions médicales. Plusieurs enfants d’amis ont ainsi été poussés à faire les vaccins contre la volonté de leurs parents. Un de ceux-ci a porté l’affaire devant l’Association pour les Libertés Civiles de Colombie Britannique.

 

J’ai voulu garder ma fille à la maison le jour de la vaccination. Je sais que beaucoup de parents finissent par accepter que leurs enfants soient vaccinés bien que leur intention initiale soit de refuser les vaccins. Ces parents sont souvent victimes d’intimidation par des infirmières ou des médecins. Je peux aussi facilement comprendre combien il est difficile pour un enfant de refuser face à pareilles pressions.

 

Bien que j’aie initialement décidé de garder ma fille à la maison le jour de la vaccination, cette dernière n’a pas voulu rater ses cours favoris. J’ai donc entraîné ma fille par rapport à ce qu’il fallait dire si quelqu’un essayait de la pousser à la vaccination. J’ai aussi pris la précaution d’envoyer une lettre demandant que ma fille ne soit pas vaccinée. Dans cette lettre, j’avertissais ceux qui auraient voulu obliger ma fille à se faire vacciner, que je porterais l’affaire devant les tribunaux et que j’en informerais les médias.

 

A ma grande surprise, le responsable médical a répondu à ma lettre. C’était la propagande habituelle avec un soupçon de condescendance et un fameux paquet d’ignorance. Je n’y tenais plus et n’ai pas pu m’empêcher de répondre…

 

19 novembre 2014

 

Au responsable médical

 

Bonjour,

 

Je ne m’attendais pas à une réponse de votre part. Mais puisque vous avez pris la peine de me répondre, j’ai pensé que l’élémentaire politesse était d’aussi prendre la plume. Vous m’aviez en effet encouragé à vous contacter si j’avais des questions ou des préoccupations.

 

J’ai en effet un certain nombre de préoccupations au sujet des vaccins en général. Mais je suis tout particulièrement préoccupée par les infirmières qui cherchent à identifier les enfants non vaccinés en déployant tous leurs efforts pour que ces enfants soient vaccinés même contre la volonté de leurs parents. Je vais vous présenter toutes mes questions et vous serais très obligée de bien vouloir y répondre. Pourrais-je aussi vous demander de me fournir les preuves (avec les sources) de ce que vous affirmez dans votre lettre.

 

Mon premier groupe de questions a trait au « consentement éclairé ». Puis-je vous demander :

 

* Quelle est la procédure que vous suivez pour « informer » l’enfant des avantages et des risques associés aux vaccins que vous administrez ?

 

* Fournissez-vous la notice et parlez-vous des ingrédients de chaque vaccin, leur toxicité connue et la raison pour laquelle ces ingrédients sont nécessaires ?

 

* Informez-vous les enfants du risque de contracter la maladie en question ?

 

* Informez-vous les enfants des risques éventuels de décès s’il contracte la maladie ?

 

* Donnez-vous des explications sur les symptômes de la maladie, pour que l’enfant puisse décider s’il veut prendre le risque de faire le vaccin ou de faire éventuellement la maladie ?

 

* Enumérez-vous les effets secondaires potentiels qui sont repris dans la notice qui accompagne le vaccin ?

 

* Demandez-vous aux enfants si des membres de leur famille ont déjà connu des effets secondaires après vaccinations ?

 

* Offrez-vous un consentement éclairé aux enfants qui se présentent avec un formulaire précisant que leurs parents ont répondu « oui » dans la case destinée aux vaccins recommandés ? Leur avez-vous expliqué qu’ils ont le droit de refuser le vaccin en dépit du souhait de leurs parents ? Avez-vous donné une information sur les risques et avantages comme je l’ai précisé plus haut ?

 

* Si vous ne faites pas ces choses avant d’administrer un vaccin, surtout quand il s’agit d’enfants, alors vous ne pouvez prétendre obtenir un « consentement éclairé ».

 

Mon second groupe de questions concerne le problème des preuves.  Dans votre lettre, vous dites que « la vaccination est une mesure de santé publique importante et efficace pour la protection des individus et de la communauté contre les maladies à prévention vaccinale. »

 

* S’il vous plaît, veuillez me fournir les preuves montrant que cette affirmation est vraie en me faisant parvenir copie des études ou liens d’études que je pourrais examiner  en toute indépendance, et qui prouvent que les vaccins sont sûrs et efficaces. Ces études devraient montrer la causalité et non une corrélation quelconque. Prenons un exemple, si une maladie a disparu au moment où le vaccin a été introduit, je vous saurais gré d’inclure les dates, ainsi qu’un graphique montrant la corrélation avec le déclin de la maladie, et aussi la raison pour laquelle on considère qu’il s’agit d’une preuve causale.

 

* Veuillez s’il vous plaît me citer la source des études qui ont été à la base de la modification du nombre de vaccins HPV administrés aux filles (Fraser Health). J’ai reçu un courrier qui indiquait que les filles ne devaient désormais pas recevoir plus de deux vaccins contre le HPV. J’aimerais savoir ce qui, dans ces études, a entraîné une telle décision.

 

* Pourriez-vous s’il vous plaît me fournir la preuve que le vaccin contre le HPV prévient le cancer ?

 

* Veuillez s’il vous plaît me conseiller les études qui montrent, sur le plan de la santé, les différences entre enfants vaccinés et enfants non vaccinés ?

 

* Veuillez s’il vous plaît me préciser la durée de formation que des infirmières reçoivent avant d’administrer des vaccins ?

 

* Dans votre lettre, vous mentionnez que les infirmières «  reçoivent des informations sur les contre indications spécifiques aux vaccins » Qu’est-ce que cela veut dire ? Comment réalisez-vous la chose ?

 

* En ce qui concerne les preuves, je vous prie de savoir que je ne puis accepter des études au cours desquelles le groupe contrôle reçoit de l’aluminium ou d’autres vaccins en guise de « placebo ». Le fait d’utiliser des substances toxiques dans un groupe de contrôle en guise de « placebo » ne relève nullement d’une science soucieuse de l’éthique. Le fait de comparer des personnes auxquelles on injecte des vaccins avec d’autres personnes auxquelles on injecte les ingrédients des vaccins, relève d’une science de pacotille.

 

Votre lettre relève les étapes suivantes pour obtenir, comme vous dites,  un « consentement mature » :

 

* Informer l’enfant qu’il peut se faire vacciner contre la volonté de ses parents ;

* Evaluer la capacité de la personne à donner son consentement ;

* Fournir des « informations standard ».

* Accorder du temps pour les questions et les réponses ;

* Assurer l’enfant qu’il peut refuser ou révoquer son consentement.

 

Au sujet de ces différents points, j’aurais quelques questions à vous poser :

 

* Qu’entendez-vous par « information standard » ; en d’autres mots quelle information donnez-vous ?

 

* Comment une infirmière peut-elle évaluer la capacité d’une personne à fournir un consentement » ? Possède-t-elle une formation en évaluation psychologique ? Si l’évaluation est une affaire de quelques minutes, comment peut-elle être considérée fiable ?

 

En conclusion, je souhaiterais  vous partager une petite histoire sur le « consentement éclairé ».

 

Il y a peu un médecin m’a recommandé de faire le vaccin contre le tétanos. Il m’a dit que j’avais de fortes chances de mourir si je ne faisais pas le vaccin avant mon intervention. Il m’a aussi dit que le tétanos était une bactérie qui provenait de l’intérieur de l’estomac. Cette bactérie pouvant donc provoquer la mort d’une personne non vaccinée contre le tétanos. Voici ce que moi je sais du vaccin antitétanique que ce médecin ne connaît pas :

 

* La bactérie qui provoque le tétanos, Clostridium tetani, se trouve dans le sol, les poussières et les excréments d’animaux. Et non pas dans nos estomacs.

 

* En 2009, 19 cas de tétanos ont été rapportés (la plupart chez des personnes au-delà de 65 ans), dont deux décès.

 

* Jusqu’à août 2012,  22.143 effets secondaires ont été rapportés chez les enfants et les adultes à la suite des vaccins antitétaniques ou des vaccins combinés comprenant Diphtérie-Tétanos-Coqueluche et 67 décès. Ces effets secondaires ont fait l’objet de rapports envoyés au VAERS.

 

* En 1994, l’Institut de Médecine a conclu qu’il existait des preuves scientifiques irréfutables qui arrivaient à la conclusion que les vaccins contre le tétanos, les vaccins Diphtérie Tétanos et le Vaccin Td pouvaient causer le syndrome de Guillain Barré, la névrite brachiale, les décès et la mort par choc anaphylactique.

 

* J’ai refusé le vaccin en dépit des tentatives du médecin de me persuader au moyen de fausses informations. Je n’ai pas fait un tétanos et je ne suis pas morte.

 

J’ai passé de nombreuses heures à effectuer des recherches sur les vaccins, j’ai lu de nombreuses études et je me suis documentée sur les vaccins par rapport aux maladies que ces derniers sont censés prévenir. En revanche, je trouve que la plupart des professionnels de la santé savent très peu de choses sur les vaccins, sauf pour dire qu’ils sont sûrs et efficaces parce que c’est ce qui est écrit dans leurs manuels.

 

Je suis consciente du danger qu’encourent les professionnels de la santé quand ils refusent de se conformer au discours officiel sur les vaccins. Ils risquent de perdre leur licence, d’être virés, exclus ou couverts de honte pour avoir choisi d’exercer leur droit à la liberté en matière de santé. Bien que je sympathise avec les membres de la profession, je ne puis pour autant fermer les yeux sur cette pratique qui consiste à cibler les enfants et à les persuader de se faire vacciner contre la volonté de leurs parents. En général, les infirmières ont très peu de connaissances sur les risques des vaccins et n’informent pas correctement les enfants sur les effets secondaires possibles ou sur les risques associés aux vaccins.


Le vaccin contre le HPV en particulier a déjà provoqué des insuffisances ovariennes, la stérilité, l’invalidité et le décès de nombreux enfants dans le monde entier. Plusieurs pays ont retiré le vaccin HPV de leur programme de vaccination. Expliquez-vous tout cela à chaque enfant ? L’expliquez-vous aux parents ? Si non vous négligez de donner des renseignements qui seraient en mesure d’assurer un véritable « consentement éclairé ».

 

Mon espoir, c’est d’avoir soulevé des questions dans votre esprit sur la sécurité et l’efficacité des vaccins. J’ose aussi espérer que vous pourrez vous rendre compte de l’hypocrisie d’un système médical dont la devise est « d’abord ne pas nuire » et qui est dans le déni quand une personne a subi des dommages vaccinaux. Les statistiques  d’effets secondaires des vaccins sont assez faibles parce que les médecins refusent d’admettre les accidents quand ils se produisent. Et même avec de faibles statistiques, le système VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) ne fait que montrer un faible aperçu du nombre astronomique de personnes dont la santé a été endommagée par les vaccins. Les vaccins peuvent causer des dommages. Les vaccins provoquent des dommages. Nier cette vérité est un mauvais service qui détruit des vies.

 

Les gens méritent d’être correctement informés quand ils doivent prendre des décisions au sujet de leur santé. Et il s’agit que l’on respecte leurs décisions.

 

J’attends votre réponse avec impatience, ainsi que les documents qui appuient votre position. Veuillez avoir l’amabilité de me répondre par mail s’il vous plaît.

 

Cordialement,

Trina Ricketts

 

Source : The Liberty Beacon

 

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commentaires

D
Des parents bien, ou même un peu informés, n'auront aucun mal à contrer les arguments de leur médecin: je confirme ici, au travers des conversations que j'ai pu avoir avec eux, ainsi qu'en suivant<br /> les études de ma fille en 5ème année de médecine, qu'ils ne connaissent strictement rien aux vaccins qu'ils imposent au nom d'une idéologie périmée.<br /> Ceci dit, ça bouge un peu, on sent un frémissement de prise de conscience, et les conseils ne sont plus tout à fait aussi impératifs, les convictions moins assurées.<br /> Il faudrait se cotiser pour leur offrir les bouquins de Georget et de Berthoud...<br /> Mais les liraient-ils?... Ce n'est pas facile de se renier, et l'intox est profonde...
Répondre
G
Connaissez-vous les 5 tactiques psychologiques que votre médecin utilise pour vacciner votre enfant ?<br /> <br /> http://expovaccins.over-blog.com/article-cinq-tactiques-psychologiques-utilisees-par-les-medecins-pour-vacciner-vos-enfants-113621056.html<br /> <br /> Conclusion :<br /> <br /> Les médecins veulent vous fourguer des vaccins – et nombreux sont ceux qui utilisent les tactiques dont on vient de parler. Certains ne sont pas conscients de leurs propres manipulations. Mais les<br /> parents qui ne se doutent de rien sont d’autant plus vulnérables à ces pressions.<br /> <br /> La seule manière de ne pas être affecté par ces tactiques psychologiques est de devenir des parents bien informés – quantités de livres existent, comme aussi les notices propres à chaque vaccin. Au<br /> mieux, les parents seront informés au plus grandira leur courage et leur confiance pour faire face à des médecins qui sont dans l’émotionnel.
Répondre
D
Faites-moi confiance, je suis médecin:<br /> NE VOUS FAITES PAS VACCINER!!!!
Répondre
P
Merci, docteur.

                    

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