190 MILLIONS DE DOLLARS... c'est le prix qu'a coûté cette super production hollywoodienne dans laquelle joue Brad Pitt... déjà plus d'un million deux cent milles entrées en France pour ce film qui vient de sortir et qui est inspiré d'un roman de Max Brooks.
Difficile vu le budget du film de ne pas imaginer que les producteurs ont pu recevoir un petit coup de pouce des pharmas et de l'OMS qui ne rêvent que de ça, une pandémie mondiale avec à la clé aussi, une vaccination mondiale. Les projets de nouveaux vaccins n'arrêtent pas de se succéder, avec le H7N9 notamment. L'OMS vient encore il y a peu de modifier une nouvelle fois sa définition de pandémie, tout étant fait pour assouplir cette définition et pouvoir décréter quasiment à tout moment une pandémie de ceci ou de ça.
Et cette suspicion nous semble d'autant plus fondée que la fin initialement envisagée du film n'est pas celle qui fut finalement retenue. En effet, initialement, il n'était pas prévu qu'on finisse par trouver un vaccin. Le site de Lavoixdunord titre en effet un article "World War Z: découvrez la fin étonnante qui a été annulée par le studio." : « La fin de World War Z telle qu'on peut la voir au cinéma n'est pas du tout (mais alors pas du tout) la même que celle qui était prévue au départ. Rien à voir avec ce qu'on a pu voir au cinéma donc, et le "vaccin" n'est donc jamais trouvé. Une fin plus facile pour lancer une suite mais qui ne devait pas convenir au studio car bien trop sombre pour un film interdit aux moins de 13 ans. »
Dans ce film, on tente évidemment de préparer l'opinion publique à une vaccination massive et profilée comme "salvatrice", tout en faisant passer pour respectables et utiles des institutions comme l'ONU ou l'OMS.
Le film présente la Nature comme coupable et pourrie (sic!) et raconte une pandémie dans laquelle les zombies s'attaquent aux gens sains et non aux malades, pseudo raison pour laquelle les gens ne pourraient soi-disant se protéger qu'en s'infectant avec des virus pour lesquels il existerait "fort heureusement" des vaccins, comme... le virus du H1N1!
Il s'agit donc clairement d'un film qui essaie de blanchir la gestion calamiteuse du H1N1 par l'OMS tout en essayant de redorer l'image des vaccins. Il s'agit donc d'un film politique commandité par ceux qui trouvent leurs casseroles trop lourdes à traîner dans la perspective des prochaines pandémies tant attendues... Evidemment, les gens incultes ou crédules n'y verront que du feu. Ce n'est pas le premier film qui véhicule de gros messages subliminaux. Hollywood a de tout temps été un instrument socio-politique non négligeable. Et la critique est comme par hasard dithyrambique. La critique va souvent dans le sens de ce que le système souhaite en général...
L'analyse suivante est très intéressante sur ce film et mérite d'être lue.
Pour tous les analystes sérieux du domaine de la vaccination, il est évident qu'il y a une préparation et un rêve de certains d'une vaccination massive, mondiale et si possible forcée, sous couvert de telle ou telle menace grave. Tous les signaux l'indiquent. Notre site regorge d'indices à ce propos. Mais ça fait sans doute peur à certains qui préfèrent se mettre la tête dans le sable... jusqu'au jour où. La vraie menace n'est pas un microbe X ou Y mais le prétexte qui sera pris de vacciner massivement avec des vaccins forcément expérimentaux.
Voir aussi cette vidéo-ci de Christophe Alévêque qui oppose finalement "le salut du bon sens citoyen" à la dictature et à la tyrannie des technocrates et autres "experts" de l'OMS ou d'ailleurs....